Bioparc Zoo de Doué la Fontaine :
Un bout d'Amérique du Sud aujourd'hui & des okapis dans le futur
Le Bioparc a achevé la construction de la grande volière sud-américaine. Les derniers arrivés sont des manchots de Humboldt installés dans la nouvelle zone humide.
Ce sont d'abord les cris des oiseaux et le bruit de la rivière artificielle qui annoncent l'arrivée dans la grande volière. On y pénètre par un tunnel troglodytique sombre et frais. Puis, une fois la porte grillagée ouverte, les visiteurs peuvent commencer à déambuler à travers les canyons.
Il aura fallu trois ans et deux millions d'euros pour constituer cette grande volière qui accueille des espèces venant d'Amérique du Sud. « Nous voulions recréer un véritable écosystème avec des espèces parfois menacées », explique le directeur général du Bioparc, Pierre Gay. Les mini-canyons ont été creusés dans un champ et recouverts par un énorme filet, à vingt mètres de hauteur. La grande volière s'est achevée avec l'arrivée récente de manchots de Humboldt installés près de la rivière artificielle.
500 oiseaux, 35 espèces
« Fais attention, il ne faut pas toucher aux perroquets, ils risquent de te pincer. » Sylvanie, soigneuse et animatrice, veillent sur les enfants qui découvrent les volatiles. Car dans cette volière, les visiteurs évoluent parmi les oiseaux. D'un côté, des flamants roses du Chili barbotent dans un petit étang. De l'autre, des échasses d'Amérique ou des ibis à face noir. Près de 500 oiseaux de 35 espèces différentes vivent dans cette volière. Et quelle surprise lorsque l'un des deux imposants condors déploie ses ailes ! « Nous les nourrissons avec des morceaux de boeuf ou des poulets », précise Sylvanie.
« Il se passe toujours quelque chose ici, s'enthousiasme François Gay, directeur du parc. Nous assistons à de nouvelles interactions entre les animaux, entre les espèces parfois. »
La protection des espèces menacées comme objectif
Si Pierre Gay a voulu cette volière sud-américaine, c'est aussi pour participer à la protection des espèces menacées. Le directeur général du Bioparc a créé une fondation pour financer des programmes de préservation : les projets nature. « Nous nous investissons dans des projets en Afrique et en Amérique latine. » Dans la volière, sept espèces sont extrêmement menacées. « Ce lieu permet aux animaux de se reproduire et de faire perdurer l'espèce », explique le directeur. À l'avenir, le zoo envisage de créer de nouveaux espaces du même type avec des okapis, des vautours ou des léopards.
Source : http://www.angers.maville.com/sortir/in ... 3_actu.Htm
Un bout d'Amérique du Sud aujourd'hui & des okapis dans le futur
Le Bioparc a achevé la construction de la grande volière sud-américaine. Les derniers arrivés sont des manchots de Humboldt installés dans la nouvelle zone humide.
Ce sont d'abord les cris des oiseaux et le bruit de la rivière artificielle qui annoncent l'arrivée dans la grande volière. On y pénètre par un tunnel troglodytique sombre et frais. Puis, une fois la porte grillagée ouverte, les visiteurs peuvent commencer à déambuler à travers les canyons.
Il aura fallu trois ans et deux millions d'euros pour constituer cette grande volière qui accueille des espèces venant d'Amérique du Sud. « Nous voulions recréer un véritable écosystème avec des espèces parfois menacées », explique le directeur général du Bioparc, Pierre Gay. Les mini-canyons ont été creusés dans un champ et recouverts par un énorme filet, à vingt mètres de hauteur. La grande volière s'est achevée avec l'arrivée récente de manchots de Humboldt installés près de la rivière artificielle.
500 oiseaux, 35 espèces
« Fais attention, il ne faut pas toucher aux perroquets, ils risquent de te pincer. » Sylvanie, soigneuse et animatrice, veillent sur les enfants qui découvrent les volatiles. Car dans cette volière, les visiteurs évoluent parmi les oiseaux. D'un côté, des flamants roses du Chili barbotent dans un petit étang. De l'autre, des échasses d'Amérique ou des ibis à face noir. Près de 500 oiseaux de 35 espèces différentes vivent dans cette volière. Et quelle surprise lorsque l'un des deux imposants condors déploie ses ailes ! « Nous les nourrissons avec des morceaux de boeuf ou des poulets », précise Sylvanie.
« Il se passe toujours quelque chose ici, s'enthousiasme François Gay, directeur du parc. Nous assistons à de nouvelles interactions entre les animaux, entre les espèces parfois. »
La protection des espèces menacées comme objectif
Si Pierre Gay a voulu cette volière sud-américaine, c'est aussi pour participer à la protection des espèces menacées. Le directeur général du Bioparc a créé une fondation pour financer des programmes de préservation : les projets nature. « Nous nous investissons dans des projets en Afrique et en Amérique latine. » Dans la volière, sept espèces sont extrêmement menacées. « Ce lieu permet aux animaux de se reproduire et de faire perdurer l'espèce », explique le directeur. À l'avenir, le zoo envisage de créer de nouveaux espaces du même type avec des okapis, des vautours ou des léopards.
Source : http://www.angers.maville.com/sortir/in ... 3_actu.Htm
