Zoo Osnabrück (Allemagne) :
Un nouveau directeur à la tête du parc
Prof. Dr. Michael Böer a pris ses fonctions le 1er juin à la tête du zoo d'Osnabrück. Après avoir travaillé en tant que vétérinaire puis directeur au SerengetiPark Hodenhagen, c'est maintenant à Osnabrück, un parc en plein développement, qu'il va officier. Il a expliqué à la presse ses première démarches "Le but de mon travail est de développer dans les 12 prochains mois un enrichissement du milieu intensif. Nous allons réfléchir avec les soigneurs-animaliers à la façon dont pourrait être stimulé le comportement de chaque animal du parc, que ce soit par de nouveaux végétaux, des rochers ou des morceaux de viande cachés. Une façon d'occuper leur quotidien et de permettre aux visiteurs de voir les animaux en activité comme dans le milieu naturel. Par ailleurs, une évolution des groupes d'éléphants et de rhinocéros est absolument nécessaire. Pour obtenir au plus vite des naissances, il faudra effectuer des transferts pour augmenter les effectifs des troupeaux et éviter la consanguinité". Vétérinaire confirmé, il espère également tenter de nouvelles pratiques comme l'homéopathie ou la médecine naturelle. La conservation animale n'est, évidemment pas oubliée : "Nous voulons soutenir de plus en plus de programmes européens d'élevage tout en soutenant les animaux dans leur pays d'origine, en organisant des évènements comme la soirée du loup qui permettront de récolter des dons. Le principal bénéficiaire de cet argent : Saruta Tayja, le projet de conservation des tapirs.

(c) http://www.zoodirektoren.de/magazin/art ... topmenu=10
Un nouveau directeur à la tête du parc
Prof. Dr. Michael Böer a pris ses fonctions le 1er juin à la tête du zoo d'Osnabrück. Après avoir travaillé en tant que vétérinaire puis directeur au SerengetiPark Hodenhagen, c'est maintenant à Osnabrück, un parc en plein développement, qu'il va officier. Il a expliqué à la presse ses première démarches "Le but de mon travail est de développer dans les 12 prochains mois un enrichissement du milieu intensif. Nous allons réfléchir avec les soigneurs-animaliers à la façon dont pourrait être stimulé le comportement de chaque animal du parc, que ce soit par de nouveaux végétaux, des rochers ou des morceaux de viande cachés. Une façon d'occuper leur quotidien et de permettre aux visiteurs de voir les animaux en activité comme dans le milieu naturel. Par ailleurs, une évolution des groupes d'éléphants et de rhinocéros est absolument nécessaire. Pour obtenir au plus vite des naissances, il faudra effectuer des transferts pour augmenter les effectifs des troupeaux et éviter la consanguinité". Vétérinaire confirmé, il espère également tenter de nouvelles pratiques comme l'homéopathie ou la médecine naturelle. La conservation animale n'est, évidemment pas oubliée : "Nous voulons soutenir de plus en plus de programmes européens d'élevage tout en soutenant les animaux dans leur pays d'origine, en organisant des évènements comme la soirée du loup qui permettront de récolter des dons. Le principal bénéficiaire de cet argent : Saruta Tayja, le projet de conservation des tapirs.

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