Arrivée d'un compagnon pour Léa, la loutre naine d'Asie !
Léa commençait à s’ennuyer seule dans son bel enclos du zoo d’Asson où elle est arrivée il y a trois semaines. Mais depuis hier matin, une nouvelle vie commence pour la petite loutre cendrée. Arrivé par avion d’Amsterdam, son compagnon est resté dans sa cage toute la nuit. Hier matin ont eu lieu les présentations. Léa met le museau à la porte tandis que son compagfnon, pas encore baptisé, reste cloitré dans sa cage, encore stressé du voyage. Puis il s’aventure dans l’enclos, renifle ici et là, marque son territoire, entre rochers et plantes exotiques. Léa sort à son tour, en quête du nouveau locataire. Les deux animaux se découvrent, se sentent, se frottent. Le courant a l’air de passer. «J’ai toujour peur avec les carnivores, mais là c’est parti pour une love story» pronostique Luc Lorca, cogérant du zoo.
Les deux loutres naines font ensuite le tour du propriétaire, frottant les rochers et mêlant leurs odeurs. Léa lui montre la rivière, le bassin, puis enfin, le terrier où ils disparaissent pour faire plus ample connaisance...
«Ces animaux ont une structure sociale très familiale. Les parents vivent avec leurs portées et sont les seuls à se reproduire. Si l’un de smembres de la famille veut se reproduire, il quitte le groupe» détaille Luc Lorca. Originaire d’Asie du Sud-Est où elle est menacée par la pollution des eaux, le drainage et la chasse, la loutre naine d’Asie ou loutre cendrée semble bien s’adapter au ciel béarnais. Nous avons quitté Léa et son compagnon aux portes du terrier. Peut-être verrrons nous les premiers rejetons béarnais du nouveau couple d’ici quatre mois ?
Source : http://www.larepubliquedespyrenees.fr/2 ... 192928.php
Léa commençait à s’ennuyer seule dans son bel enclos du zoo d’Asson où elle est arrivée il y a trois semaines. Mais depuis hier matin, une nouvelle vie commence pour la petite loutre cendrée. Arrivé par avion d’Amsterdam, son compagnon est resté dans sa cage toute la nuit. Hier matin ont eu lieu les présentations. Léa met le museau à la porte tandis que son compagfnon, pas encore baptisé, reste cloitré dans sa cage, encore stressé du voyage. Puis il s’aventure dans l’enclos, renifle ici et là, marque son territoire, entre rochers et plantes exotiques. Léa sort à son tour, en quête du nouveau locataire. Les deux animaux se découvrent, se sentent, se frottent. Le courant a l’air de passer. «J’ai toujour peur avec les carnivores, mais là c’est parti pour une love story» pronostique Luc Lorca, cogérant du zoo.
Les deux loutres naines font ensuite le tour du propriétaire, frottant les rochers et mêlant leurs odeurs. Léa lui montre la rivière, le bassin, puis enfin, le terrier où ils disparaissent pour faire plus ample connaisance...
«Ces animaux ont une structure sociale très familiale. Les parents vivent avec leurs portées et sont les seuls à se reproduire. Si l’un de smembres de la famille veut se reproduire, il quitte le groupe» détaille Luc Lorca. Originaire d’Asie du Sud-Est où elle est menacée par la pollution des eaux, le drainage et la chasse, la loutre naine d’Asie ou loutre cendrée semble bien s’adapter au ciel béarnais. Nous avons quitté Léa et son compagnon aux portes du terrier. Peut-être verrrons nous les premiers rejetons béarnais du nouveau couple d’ici quatre mois ?
Source : http://www.larepubliquedespyrenees.fr/2 ... 192928.php
