Créations

[Antoine6259]

Oui je ne comprends pas trop Giradaire ? Rare dans la nature ou en culture ?
Dans la nature aucune idée mais c'est possible ! Plusieurs arbres n'existent plus qu'en culture, comme le Ginkgo ou certains camélias théiers.
Ou alors voudrais-tu dire que le cèdre que l'on appelle "du Liban" chez nous n'est pas le vrai ? (Un peu à l'image d'Aesculus hippocastanum originaire du Sud-Est de l'Europe que l'on appelle à tort "marronier d'Inde", alors que ce terme ne devrait logiquement n'être utilisé que pour désigner A. indica.)

Vinch, à vrai dire je vérifierai, mais il me semblait que désormais le regroupement des deux espèces était validé. Même si pour moi la distinction traditionnelle était plus parlante. Et les cultivars c'est encore plus compliqué, pour certains botanistes ce serait plutôt des formes ou des variétés...

[Vinch]

Il reste quelques gingko dans la Nature mais ils sont effectivement rarissimes...

D'accord pour le Marronnier, il y a une certaine incohérence dans les noms vernaculaires, mais ce n'est pas la seule espèce concernée, très loin de là...

Vérifie si tu veux pour les Cèdres, mais ce n'est à priori pas validé... Pour ma part, bien que je ne sois pas spécialement botaniste, c'est très nettement deux espèces différentes et les hybrides ne sont pas très nombreux, même en culture.
Il y a une distinction à faire entre les cultivars et les variétés...
Cultivar désigne une variété obtenue en culture, qu'on propage le plus souvent par clonage (c'est le plus pratique pour conserver toutes les caractéristiques obtenues, surtout les formes naines, issues de "balais de sorcières" pour la plupart, ou les formes monstrueuses, issues de "sports") ou de semis (lorsqu'elles sont bien fixées).
Variété est un terme plus générique qui peut englober cultivars, formes géographiques, variétés chromatiques, sous-espèces parfois, etc... Dans ce cas, il faut bien préciser de quoi on parle, lorsqu'on évoque une variété...
Certaines variétés en culture sont effectivement issues de spécimens aberrants trouvés dans la nature, comme c'est le cas pour le Hêtre pourpre, mais c'est quand même pas toujours le cas, loin de là.

[Antoine6259]

J'ai toujours entendu le contraire en ce qui concerne les Ginkgo... Peut-être que c'est la même chose que pour le théier dont je parlais plus haut : Il n'y a plus de spécimens strictement sauvages, mais on a quand même des sujets considérés ainsi dans des veilles plantations abandonnées, ou dans les semis spontanés (quand ce n'est pas les deux.)

Les incohérences dans les noms, il y en a aussi dans les noms scientifiques. On a quelques absurdités comme Pyrus pyrifolia (qui donne si on le transpose "poirier à feuilles de poirier") ainsi que des noms trompeurs sur l'origine géographique comme Cornus florida (pas originaire de Floride) ou Cercis canadensis (pas originaire du Canada.) Mais c'est certain qu'avec les plantes, les noms communs seraient souvent davantage à réserver pour la poésie et les chansons.

Pour moi aussi les deux cèdres sont des espèces différentes, mais je ne sais pas ce qui est pris en compte exactement pour les différencier. Parce qu'à l'inverse, pour moi par exemple le Liquidambar acalycina et le L. formosana ce sont les mêmes, et là aussi certains botanistes sont de cet avis.

Sinon je suis tout à fait d'accord avec toi pour la différence entre les cultivars et le reste (la confusion est souvent faite dans les revues qui parles de "variétés" au lieu de parler de "cultivars") mais ce n'est pas ce que je voulais dire.
De nos jours, c'est très clair : Les cultivars obtenus doivent obligatoirement être nommés dans une langue "vulgaire" (ex : Betula albosinensis 'Princesse Sturdza', Deutzia scabra 'Pink Pompon', Cercidiphyllum japonicum 'Rotfuchs', Acer palmatum 'Senkaki'...)
Mais pour certains vieux cultivars qui ont encore des noms latins, on peut parfois se demander s'il s'agit réellement de cultivars, ou pas plutôt d'une forme ou d'une variété. L'exemple que je prends souvent est le sureau lacinié, que l'on appelle généralement Sambucus nigra 'Laciniata' mais que l'on trouve assez régulièrement dans la nature et qui me fait dire qu'on devrait plutôt l'appeler S. nigra f. laciniata. Et justement pour le cèdre "bleu", certains parlent de Cedrus atlantica 'Glauca', d'autres de Cedrus atlantica f. glauca ou var. glauca. Donc si en plus on rajoute le fait que atlantica est peut-être une sous-espèce de libani, on complique encore l'écriture du nom de la plante. C'est ça que je voulais dire.
Le hêtre poupre là c'est l'exemple qui complique tout, car il y a les deux. Si je ne me trompe pas Il y a des hêtres poupres dans la nature (en Europe de l'Est je crois) que l'on nomme donc Fagus sylvatica var. purpurea (ou pour certains f. purpurea) et qui se ressèment à l'identique. Et normalement, Fagus sylvatica 'Purpurea' c'est un cultivar de hêtre pourpre sélectionné, que l'on multiplie par greffe.

[giradaire]

Je parle de la nature en effet, mais de mon point de vue, le vrai libani n'est pas très courant dans les parcs et jardins et beaucoup d'identifications semblent fausses, mais je ne suis pas un grand botaniste (juste un petit ) .

[Antoine6259]

C'est déjà ça Giradaire ! Moi je m'y intéresse juste un petit peu, et il y a des plantes que je ne connais pas très bien comme les conifères justement (identifier les pins par exemple c'est souvent difficile, et j'ai du mal à reconnaitre certains genres qui ressemblent beaucoup à d'autres comme les Cephalotaxus ou les Thujopsis.)
Pour les cèdres, c'est vrai que bon nombre de gens parlent du cèdre du Liban, alors qu'en réalité je n'en vois pas tant que ça. Le plus courant est justement le cèdre bleu de l'Atlas. Je pense que cela vient en partie du fait que dans les années 70-80, les catalogues style Willemse ou Baker, qui avaient un choix de plantes assez restreint, l'avaient systématiquement dans leur liste.

[Alexis]

Bonjour,

j'ai décidé d'actualiser le plan de "mon" zoo virtuel (1er semestre 2011).
Depuis 6 mois, il y a eu des changements un peu partout chez pas mal d'espèces, des naissances, décès, départs et arrivées.
Pas d'espèce sensationnelle mais de nouvelles installations d'ordre logistique et pédagogique viennent d'être créées.

Le plan ici :
http://img155.imageshack.us/i/planjanv11.jpg/

La légende ici :



2- Chez les Flamants roses, 8 mâles et 10 femelles viennent d'arriver. Le groupe de ces oiseaux compte désormais 15 mâles et 14 femelles.
8- 2 couples de Loirs gris ont été transférés vers un autre parc ; le groupe de Loirs comprend actuellement 3 mâles et 5 femelles.
15- Une femelle Gaur vient d'arriver dans la plaine indienne, qui compte 3 mâles et 2 femelles. Un jeune mâle de Nilgaut est né, 2ème naissance de l'espèce sur le parc
21- Naissance de 2 femelles Bulbuls orphées.
23- Naissance d'un mâle Lori à cou pourpré, 2ème pour le parc ; chez cette espèce, 1 mâle est arrivé et 1 femelle adulte est décédée.
24- 5 Perruches ondulées et 5 Tourterelles diamants (nées dans le parc) ont été transférées dans d'autres parcs.
28- Départ de 4 Porcs-épics à crête ; seuls 2 animaux de cette espèce sont encore présents, ils occupent chacun une fosse.
29- L'enclos des Magots a été légèrement agrandi, il atteint maintenant 700 mètres carrés d'espace vallonné avec un ravin où les animaux peuvent s'abriter des regards.
Des Cèdres de l'Atlas Cedrus atlantica ont été implantés dans cet enclos. Une des femelles Magot est morte, le groupe comporte actuellement 1 mâle et 5 femelles.
34- Arrivée d'un mâle adulte de Gorille des plaines ; des reproductions pourront donc être espérées chez cette espèce, dont 3 femelles étaient déjà présentes dans le zoo. Par ailleurs, la superficie de leur enclos sera prochainement triplée. Egalement l'arrivée d'un mâle Cercopithèque de Brazza (le groupe comporte actuellement 2 mâles) et la naissance de 4 Dendrocygnes fauves (2ème couvée enregistrée dans le parc).
37- Le mâle de Céphalophe bleu qui était présent dans l'enclos des Bongos est décédé, de même qu'une des deux femelles de Bongo. Actuellement, seule une femelle âgée de Bongo est encore présente dans cet enclos, qui sera prochainement rasé pour l'agrandissement de l'enclos des Gorilles. La volière des Cordons-bleus a aussi été démolie pour la construction du nouvel enclos des Primates.
38- Naissance de 8 jeunes Suricates dans le pavillon africain, fait usuel pour cette espèce très prolifique. Les 2 mâles de Cordons-bleus ont été rentrés dans la cage intérieure des Damans des rochers.
40- 2 Lions mâles d'âge moyen ont été transférés d'un autre parc ; le groupe de Lions comprend aujourd'hui 2 mâles et 4 femelles. La reproduction n'est pas envisagée.
45- Naissance d'un Margay mâle; ce rare félin se reproduit chaque année dans le parc. 1 jeune femelle de cette espèce est également arrivée, et la rénovation de l'installation qu'ils partagent avec les Coatis est attendue. Actuellement, les félins (3 mâles et 2 femelles) sont présentés en alternance dans les installations intérieures et extérieures de leur bâtiment.
47- 6 Ibis rouges ont quitté la volière néotropicale pour un autre parc.
48- Naissance de 6 poussins chez les Sternes incas, première nidification de l'espèce dans le parc. 1 nouveau couple de cette espèce est également arrivé pour consolider la colonie, qui comporte actuellement 16 oiseaux.
49- Naissances de 2 Paroares dominicains, 1 Tamandua dans le pavillon amazonien ; la femelle Tatou à neuf bandes a quitté le parc pour des raisons de sociabilité, seul le mâle est toujours présent dans le pavillon.
50- Une femelle Cabiai est arrivée dans la plaine sud-américaine, qui présente désormais 3 mâles et 4 femelles de cette espèce. Pour l'acclimater, la nouvelle femelle est maintenue dans un pré-enclos, non représenté sur le plan. Elle rejoindra le reste du groupe au printemps prochain. Chez les Maras, 5 jeunes sont nés (3 survivants au début de l'année 2011), et 2 couples sont partis vers un autre parc ; actuellement le groupe de Maras comporte 13 animaux de tous âges. Naissance de 3 jeunes Siffleurs de l'île Chiloé, 2ème couvée de l'espèce dans le zoo, seuls 2 (1 mâle et 1 femelle) survivent. Le mâle Nandou est parti dans un autre parc, seule la femelle est encore présente.
52- Dans le vivarium, naissance de 2 Boas de Duméril (une première dans le parc). Départ du dernier Basilic à casque. Arrivée de 2 femelles de Basilic vert ; actuellement 1 couple de B. vert cohabite avec l'Anolis chevalier dans l'ancien terrarium des B. à casque, l'autre couple vit dans un autre terrarium. Chez les amphibiens, 1 Axolotl, 1 Discophus d'Antongil et 5 Mantelles de Madagascar sont transférées vers d'autres parcs. Un projet de réaménagement du vivarium est à l'étude, avec l'éclairage des cages par "puits de lumière" et l'aménagement de bassins pour de grandes espèces de reptiles (tortues, crocodiles voire certains boïdés).
53- Le vivarium européen accueille la seule nouvelle espèce arrivée au 2ème semestre 2010 : une vingtaine de Tritons ponctués Triturus vulgaris, et l'arrivée de 4 nouvelles Couleuvres vipérines. Les 3 enclos accueillent donc les espèces suivantes : 1/ Lézard ocellé (1.0) cohabitant avec Triton crêté (0.0.20) dans la plus grande installation ; 2/ Couleuvre vipérine (0.0.6) ; 3/ Triton ponctué (0.0.20). Ces reptiles et amphibiens étant en hibernation, ils ne sont bien évidemment pas visibles en cette saison.

H- Un des mâles de Fuligule nyroca, né dans le parc, a été transféré dans un autre parc pour un programme de reproduction.
K- L'écloserie et nurserie est désormais visible du public, qui peut voir de jeunes reptiles, oiseaux et petits mammifères derrière des baies vitrées. Depuis l'été 2010, les visiteurs ont pu voir les espèces suivantes : Lori à cou pourpré, Dendrocygnes fauves, Tamandua, Siffleurs de l'île Chiloé et Boas de Duméril (les boas y toujours présents en janvier 2011).
M- Une ferme biologique (dont la superficie est actuellement de 5 000 mètres carrés) a été aménagée pour fournir une partie de la nourriture distribuée aux animaux. Elle inclut notamment une "ferme verticale" produisant des légumes-feuilles en culture hydroponique, un potager "classique" et un verger. Pour le moment ces espaces ne sont pas ouverts au public mais des visites occasionnelles pourront y être organisées, de même que sur le site de la station d'épuration-lagunage du zoo (L).
N- Une femelle de Faucon crécerelle est morte durant l'automne 2010 dans les volières de récupération des rapaces.

J'essaierai de poster des plans des intérieurs des bâtiments dans les semaines qui viennent.

Maintenant, à vos impressions !

Alexis

[tiao]

C'est passionnant !
Bravo pour tes naissances !
Ma seule suggestion est que le zoo d'Heidelberg te contacte pour te proposer des lionnes, car l'enclos allemand est bien trop petit pour e frère et les 3 soeurs, devenues adultes, et que ce zoo voudrait réaménager cet espace !
A quand un enclos pour manchots ?

[Alexis]

Bonsoir, et merci tiao pour ta réaction !

J'ai en effet le projet "d'inclure" un enclos pour Manchots dans mon zoo.
Comme tu peux le voir sur le plan, une "zone antarctique" est en projet dans un coin du zoo, près de l'espace dédié à la faune d'Amérique du Sud.
Mais je ne préfère pas dévoiler ce qui y sera fait

Bonne soirée,

Alexis

[Simon38]

Me revoilà avec un tout nouveau projet :

le plan du parc, cliqué dessus pou l'agrandir.



La description se fera par parties :

Mon parc est divisé en zones géographiques,

Le visiteur rentre de la première : Madagascar et les îles de l’Océan Indien occidental.
Il longe une série de volières (1) présentant des oiseaux des îles, elles ont une bonne surface au sol, et une grande hauteur permettant aux oiseaux de voler sur une grande distance.
Une végétation dense et de nombreux perchoirs sont également à la disposition des animaux.
Il faut noter que le filet des volières est du style « grande volière des vautour de Vincennes » facilitant l’observation des oiseaux.

Espèces présentées :
Pigeons roses (Nesoenas mayeri) et foudis de Maurice (Foudia rubra) pour la première :
Les pigeons sont représentés par un groupe de 7 individus adultes, et les foudis par 3 individus, 2 mâles et 1 femelle, le parc enregistrent régulièrement des couvées et des éclosions pour les 2 espèces.

La deuxième volière présente des bulbuls de la Réunion (Hypsipetes borbonicus) représenté par un couple et des tuits-tuits (Coracina newtoni) représenté par 2 femelles, le parc essai de se procurer un mâle pour s’engager dans la reproduction de cette espèce en grand danger d’extinction.

La dernière volière est le lieu de vie d’un couple reproducteur de tecs-tecs (Saxicola tectes) et d’un jeune couple de zostérops de la Réunion (Zosterops olivaceus).

Le visiteur rentre alors dans les enclos de contact avec les lémuriens (2).
Ces enclos sont en fait des parcelles de forêts totalement laissées vierges, délimitées par des grillages électrifiés. Offrant aux lémuriens l’opportunité de testé leurs talents d’acrobates à la cime des arbres. Le parc organise également des séances de nourrissages pendant lequel les soigneurs expliquent les menaces qui pèsent sur Madagascar et sa biodiversité.

Espèces présentées :
Les enclos sont aux nombres de 2 :

Le premier offre une végétation très dense, mise à part sur le chemin de visite, un ruisseau le parcours, il est le lieu de vie d’un groupe reproducteur de 11 lémurs aux ventres roux (Eulemur rubriventer) et d’un groupe reproducteur de Makis varis roux (Varecia variegata rubra) composé de 8 individus.

Le deuxième enclos est plus sec, il abrite 5 lémurs couronnés (Eulemur coronatus) qui se reproduise régulièrement ainsi que 9 Makis cattas (Lemur catta) mâles, le parc est en collaboration avec Madagascar pour obtenir des lémuriens plus rare qui les remplaceraient.

Le visiteur arrive à 2 grandes volières en formes de huttes (3) qui présentent des roussettes, les animaux aiment se percher directement sur le grillage, mais des arbres intégrés à la volière et des buissons sont aussi à leur disposition.

Espèces présentées :

La première volière présente un groupe reproducteur de 15 roussettes de Livingstone (Pteropus livinstonii), tandis que la deuxième volière présente 9 roussettes de Rodrigues (Pteropus rodricensis), cette dernière espèce ne c’est pas encore reproduite au parc.
Le visiteur se détourne un peu du sentier pour arriver à l’observatoire de l’enclos des fossas (4). L’observatoire est surélevé par rapport à l’enclos.
Ce dernier est à l’air libre, il est entouré d’un grillage électrifié, il est très forestier est offre de nombreuse possibilités d’évolution dans les arbres, un ruisseau s’écoule au centre de l’enclos et se jette dans un plan d’eau juste devant l’observatoire.
Le parc présente 4 fossas (Cryptoprocta ferox) (3 femelles et 1 mâle) qui sortent en alternance de manière à respecter les mœurs solitaires de l’espèce. De la reproduction a déjà été enregistré.

Une volière est accolé à l’observatoire, la végétation basse est très développée, tandis que des arbres mort serve de perchoir aux animaux.

Espèces présentées :
3 mangoustes aux dix raies (Mungotictis decemlineata) sont présentées, le parc héberge 2 femelles et 1 mâle, le petit groupe c’est déjà reproduit plusieurs fois.

Plusieurs volières non marquées sur le plan sont présentes dans ce secteur, elles présentent des lémuriens rares, elles sont grandes, végétalisées et intègrent de vraies arbres.

Espèces présentées :
La première volière présente un groupe reproducteur de 6 propithèques de Verreaux (Propithecus verreauxi), la deuxième volière présente 3 femelles grands hapalémurs (Hapalemur simus), le parc espère recevoir un mâle pour entamer la reproduction de cette espèce très menacée.

La maison des hapalémurs (5) a été transformée il y a 10 ans pour montrer au public une espèce rarement hébergée en zoos : le aye-aye (Daubentonia madagascariensis).
Le cycle jour nuit est inversé pour permettre au public de voir les animaux actifs, un enchevêtrement de branches a tété créer pour permettre de nombreuses possibilités d’évolution arboricoles. De nombreux enrichissement comme des insectes dans un tronc d’arbre ont été mis en place.

Le parc héberge 5 individus de cette espèce mais seulement 2 sont présentés au public, la première loge sert de lieux de vie à la femelle reproductrice, en période de reproduction, elle est transportée en coulisse pour voir les 3 mâles du parc, une fois enceinte, elle est ramenée à sa loge, une fois nés, ses petits peuvent être observer avec elle.
Un enrichissement de toute autre nature, la cohabitation avec une famille reproductrice de 6 tanrecs (Tenrec ecaudatus).

L’autre loge héberge une vieille femelle cohabitant avec un couple reproducteur de rat sauteur géant de Madagascar (Hypogeomys antimena).

Une autre volière à lémuriens est juste à coté, elle est du même type que les autres volières, elle héberge un petit groupe de lémurs du Lac Alaotra (Hapalemur alaotrensis), le groupe est composé d’1 mâle et de 2 femelles, il ne c’est pas encore reproduit mais le parc croise les doigts pour obtenir des naissances de cette espèce rarissime.

Pour clore cette zone, le visiteur rentre dans une grande volière, semi forestière, semi marécageuse abritant un petit aperçu de l’avifaune malgache. La volière est très végétalisée, elle est plantée de joncs, d’arbres, de roseaux, possède 2 plans d’eau et une rivière.
Espèces présentées :
Cette volière héberge 9 canards de Meller (Anas melleri), 5 sarcelles de Bernier (Anas bernieri), 7 Ibis huppés (Lophotibis cristata) et 3 fuligules de Madagascar (Aythya innotata).
Toutes ces espèces se sont déjà reproduites mis à part les fuligules.

A suivre…

[Simon38]

Le visiteur arrive ensuite dans une zone nommée : Le Marais (7).
Cette partie du zoo est en fait un centre de reproduction pour des échassiers menacés, principalement des échassiers africains et asiatiques.
Le Marais forme ainsi une zone de transition entre Madagascar et l’Indonésie qui suit.

Les volières sont directement construite dur un étang, elles sont très grandes et haute, permettant aux oiseaux de voler, elles possèdent toutes une partie terrestre et un grand bassin, la végétation est composée de joncs, de roseaux, de buissons et d’arbres morts.

Espèces présentées :
La première volière est le lieu de vie de 3 grues de paradis (Grus paradisea) (2 femelles et 1 mâle), d’un couple de grues royales (Balearica regulorum) et de 5 ibis du Cap (Geronticus calvus). Les trois espèces cohabitent parfaitement et se reproduise régulièrement.
Il faut noter que des becs en sabots ont été présentés ici.

La deuxième volière présente un couple reproducteur de grues antigones (Grus antigone) qui cohabite avec 3 femelles aigrettes de Chine (Egretta eulophotes).

La dernière volière présente un couple reproducteur de jabirus d’Asie (Ephippiorhynchus asiaticus) un groupe reproducteur de 7 chevaliers de Nordmann (Tringa guttifer) ainsi qu’un mâle tantale indien (Mycteria leucocephala), le parc essaie de se procurer une femelle de cette espèce.

A suivre…

[Simon38]

Voici un petit dessin des volières de début de post:

[palou63210]

Voici mon zoo avec la zone sud-américaine avec :

Des tapirs, des capybaras, des nandous et des fourmiliers dans le grand enclos
Des Ocelots dans le premier
Des loups à crinières dans le deuxième
Des jaguars dans le 3ème
Des flamands dans celui qui a le plus grand bassin des 3 petits enclos
Des coatis dans celui d'a cotté
Des tamarins lions doré dans le plus petit enclos
Des Vigognes dans l'enclos situé à côté de l'enclos des Jaguars
Des Tamaduas dans le dernier enclos

Le marron et une passerelle les animaux peuvent passer dessous
Le bleu de l'eau
Le gris des faux rochers

[palou63210]

Avec l'image c'est mieux :

[palou63210]

La suite dans plus de 2 semaines car je suis en colo du 3 au 11 mars

[palou63210]

Malheureusement donc pour vous faire saliver après il y a les zone d'afrique sèche, humide. L'Asie et ensuite l'Europe