Le zoo de Lunaret reste toujours des plus fréquentés
C'est assurément le lieu le plus fréquenté de toute la ville et l'une des balades récurrentes les plus courues des Montpelliérains. C'est bien simple, Florence « en a arpenté toutes les allées des dizaines de fois » en compagnie de son jeune fils, Clément, et « les connaît par coeur ». Si bien que même après avoir quitté le Clapas, elle ne peut s'empêcher d'y faire un tour à chaque fois qu'elle revient voir la famille et propose même ses conseils avisés aux promeneurs égarés... Couvrant quelque 80 ha, le parc zoologique de Lunaret est une telle institution, qu'échanger sa gratuité contre une entrée tarifée provoquerait une révolution. Ouvert depuis 1964, le zoo de Montpellier offre en effet gratuitement ses 11 km de sentiers, aux visiteurs d'ici ou d'ailleurs, ses 90 espèces et 500 animaux répartis sur 52 enclos.
Il abrite, au coeur de ses différents vallons, de larges enclos où ont élu domicile les espèces sauvages familières (lions, zèbres, autruches, guépards, antilopes...), mais aussi de nombreux ressortissants aux noms ésotériques et savants, exotiques et dépaysants comme les amazones à ailes orange, le calao d'Abyssinie, le damalisque à front blanc ou encore l'hapalémur du lac d'Alaotra ou la pintade de Numidie... Mais plus qu'une simple et formidable ménagerie à ciel ouvert, le zoo de Lunaret est aussi une formidable nurserie.
L'an dernier, s'est révélé une année phare pour les naissances en captivité. Qu'il s'agisse de bébés douroucouli (tout petit singe nocturne) ou tamanoir, de louveteaux ibériques ou même d'un lionceau ! Et en 2010, le Lunaret a eu l'insigne honneur d'accueillir quatre girafons de 2 ans et demi - autant dire des bébés -, dont on peut apercevoir, même lorsqu'ils se cachent, le long cou et les grands yeux veloutés. S'il ne fallait lui trouver qu'un défaut à ce zoo, ce serait celui de son stationnement. Un capharnaüm sans nom. La volonté municipale d'y voir réaliser un parking aménagé semble avoir fondu comme neige au soleil. Le site est peut-être classé mais les outrages que les véhicules lui font subir sont encore pires qu'un peu de bitume bien cantonné..
Source : http://www.midilibre.com/articles/2010/ ... 56730.php5
C'est assurément le lieu le plus fréquenté de toute la ville et l'une des balades récurrentes les plus courues des Montpelliérains. C'est bien simple, Florence « en a arpenté toutes les allées des dizaines de fois » en compagnie de son jeune fils, Clément, et « les connaît par coeur ». Si bien que même après avoir quitté le Clapas, elle ne peut s'empêcher d'y faire un tour à chaque fois qu'elle revient voir la famille et propose même ses conseils avisés aux promeneurs égarés... Couvrant quelque 80 ha, le parc zoologique de Lunaret est une telle institution, qu'échanger sa gratuité contre une entrée tarifée provoquerait une révolution. Ouvert depuis 1964, le zoo de Montpellier offre en effet gratuitement ses 11 km de sentiers, aux visiteurs d'ici ou d'ailleurs, ses 90 espèces et 500 animaux répartis sur 52 enclos.
Il abrite, au coeur de ses différents vallons, de larges enclos où ont élu domicile les espèces sauvages familières (lions, zèbres, autruches, guépards, antilopes...), mais aussi de nombreux ressortissants aux noms ésotériques et savants, exotiques et dépaysants comme les amazones à ailes orange, le calao d'Abyssinie, le damalisque à front blanc ou encore l'hapalémur du lac d'Alaotra ou la pintade de Numidie... Mais plus qu'une simple et formidable ménagerie à ciel ouvert, le zoo de Lunaret est aussi une formidable nurserie.
L'an dernier, s'est révélé une année phare pour les naissances en captivité. Qu'il s'agisse de bébés douroucouli (tout petit singe nocturne) ou tamanoir, de louveteaux ibériques ou même d'un lionceau ! Et en 2010, le Lunaret a eu l'insigne honneur d'accueillir quatre girafons de 2 ans et demi - autant dire des bébés -, dont on peut apercevoir, même lorsqu'ils se cachent, le long cou et les grands yeux veloutés. S'il ne fallait lui trouver qu'un défaut à ce zoo, ce serait celui de son stationnement. Un capharnaüm sans nom. La volonté municipale d'y voir réaliser un parking aménagé semble avoir fondu comme neige au soleil. Le site est peut-être classé mais les outrages que les véhicules lui font subir sont encore pires qu'un peu de bitume bien cantonné..
Source : http://www.midilibre.com/articles/2010/ ... 56730.php5