





Entre « Dierenpark » néerlandais, fameux zoos du futur…





…Et « Tierpark » allemands, célèbres institutions du passé.





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Jour 2) Visite du ZOO DUISBURG
Mülheimer Strasse 273
Duisburg
ALLEMAGNE

Tarif d’entrée (par adulte) : 14.50 €
1) Le Zoo en Chiffres :
2600 animaux
295 espèces
16 hectares
1 098 032 visiteurs en 2009 (1 088 270 en 2008)
95 employés et 40 bénévoles
Participe à 35 EEP et 20 ESB
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2) Historique :
Contrairement à la plupart des grandes institutions allemandes qui existent depuis plus de 100 ans, l’historique du Zoo de Duisburg ne se résume qu’à 76 ans d’histoire. 76 ans toutefois particulièrement intenses.
Dès 1920, les premières idées d’introduire un parc animalier au sein de Duisburg naissent dans la tête des dirigieants de la grande ville, l’une des dernières de l’ouest de l’Allemagne à ne pas posséder son propre zoo.
Ce souhait se concrétise en 1934, plus précisément le 12 mai, qui marque l’ouverture du « Duisburger Tierpark », où, sur une surface de 6 hectares, les visiteurs peuvent admirer différentes espèces locales (sangliers, cervidés…) mais également les premiers animaux exotiques, comme le condor des Andes, le python molure ou le lion d’Afrique, hébergés dans de petites cages bétonnées. Le succès est au rendez-vous et 4000 personnes franchissent les grilles du parc dès la première journée.


Fort de sa réussite (300 000 visiteurs la première année), l’année suivante marque l’ouverture de la première maison des singes et d’un vaste aqua-terrarium baptisé « la maison des 1000 poissons » où le public peut découvrir tortues marines, crocodiles et bien sûr poissons des mers chaudes.

Des naissances sont rapidement enregistrées chez les lions et les ours et de nouveaux enclos à l’air libre sont créés, notamment pour les carnivores, sur le modèle du Tierpark Hagenbeck.

En 1944, le parc n’échappe pas à la seconde guerre mondiale et de nombreux animaux périssent sous les feux. Seuls un émeu, quelques chèvres, un âne et trois flamants, survivent. L’aquarium est même entièrement détruit. Il faut tout reconstruire et l’équipe du parc entreprend un important travail de restructuration du parc.

Pour attirer les visiteurs, atteints par cette terrible guerre, une fosse pour ours baribals est aménagée à l’extérieur du zoo, en bordure de route, faisant office de « vitrine » et invitant les passant à s’arrêter pour admirer les animaux et rentrer à l’intérieur du zoo.

5000 m² sont également érigés pour construire une installation dédiée aux animaux marins. Manchots, phoques et otaries font leur apparition dans des bassins à l’air libre révolutionnaires, dominés par Moritz, un éléphant de mer de plus d’une tonne considéré comme le plus imposant jamais été gardé en captivité en Europe.

Courant 1958-1959, le zoo, à l’étroit, inaugure une extension de l’autre côté de l’autoroute, reliée à la première partie par une longue passerelle.

Dans cette extension de 5 hectares, makis cattas, tigres, daims et flamants prennent place dans des enclos modernes où les barreaux laissent place aux fossés secs, et le béton à des formations rocheuses.

1961, avec l’importation de quatre okapis et d’un bonobo en provenance directe du Congo, marque le début de l’apogée du Zoo de Duisburg.

Grâce à une équipe de chercheurs motivée ayant pour but de ramener à Duisburg les plus grandes raretés animales de la planète, les importations se succèdent et la collection du parc devient l’une des plus importantes d’Europe.
Les primates, notamment, font partie des points forts de l’établissement : langurs, douroucoulis, cercopithèques, semnopithèques de François, hocheurs à nez blancs, callithricidés, nasiques, capucins… En tout 200 primates de 100 espèces font leur apparition dans les cages de la maison des singes.

Il est nécessaire de loger l’ensemble de ces primates dans un bâtiment d’une ampleur exceptionnelle : en 1962 s’ouvre dans l’extension « l’Äquatorium », considéré, avec une superficie de 12 000 m², comme la plus grande maison à singes jamais réalisée au monde.

L’une des plus grandes attractions dans l’histoire du zoo de Duisburg, l’arrivée des dauphins tursiops, a lieu en 1965 avec l’ouverture du premier delphinarium couvert de toute l’Allemagne. Sous un petit chapiteau, un bassin ovale de quelques milliers de litres d’eau attire pendant de nombreuses années une foule spectaculaire.

Fort est de constater que les mammifères marins, et plus particulièrement les cétacés, attirent les visiteurs par milliers. Les expéditions, qui étaient jusqu’alors tournées vers les forêts tropicales d’Amérique du Sud, changent complètement d’horizon et l’on décide de commencer les captures dans les océans. En été 1969, Dr. Gewalt et son équipe embarquent vers le Canada à la recherche d’un animal mythique : la baleine blanche. 2 femelles et un mâle bélougas débarquent à Duisburg au sein d’un espace intitulé le « Walarium » (litérallement le « Baleinarium ») du jamais vu auparavant.

En tout, 6 espèces de cétacés sont détenues à Duisburg : le dauphin tursiops et le bélougas, mais également le dauphin de Commerson (une vingtaine au total), la sotalie de l’Amazone (4 mâles au total), le marsouin commun (un couple) et bien sûr, le dauphin rose de l’Amazone. 5 individus, importés directement du Vénézuéla, prennent place dans l’aquarium du parc.

Les raretés s’enchaînent et les expéditions aux quatre coins de la planète permettent de ramener sur le sol allemand des espèces jamais vues auparavant, comme les wombats à museau velu, les diables de Tasmanie, les linsangs, les bec-en-sabot, les oryctéropes, les tatous géants, les lamantins, les écureuils volants, les grenouilles goliath, les outardes, les fossas…


Mais bientôt, outre la nécessité d’attirer le grand public avec des espèces rares, apparaît au sein du parc le besoin d’une rénovation majeure car les conditions de vie des animaux deviennent rapidement dépassées, à l’aube du XXIème siècle où les enclos priment sur la collection. La naissance d’installations relativement modernes sur le continent enfoncent le zoo de Duisburg à une bien mauvaise place et le parc doit réagir. Il choisit donc de réduire sa collection pour augmenter la surface des enclos et leur proposer un aménagement correct.
Le bélouga (Ferdi) et le dauphin de Commerson (Yogi) sont ainsi transférés à San-Diego en 2004.

Et le dauphin de l’Amazone, dernière espèce de cétacé sud-américaine détenue au parc, prend place au sein d’une serre tropicale grandiose : Rio Negro.

Dr. Achim Winkler prend la tête du zoo le 1er janvier 2007, et avec lui, de nombreux projets, comme celui d’un nouvel enclos à ours à lunettes, devraient voir le jour dans les années à venir…
© Photos : 75 jahre Zoo Am Kaiserberg, de Achim Winkler
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3) Présentation de ma visite :
Le lendemain de notre visite du Burgers’Zoo, nous décidons de traverser la frontière allemande pour visiter le zoo de Duisburg, établissement que j’avais découvert en août 2006. Déjà à l’époque il m’avait particulièrement charmé par son mélange de nouveautés et d’installations modernes, tout en conservant ses vieilles installations typiquement allemandes. Certains enclos, toutefois, restaient particulièrement inadaptés à leurs occupants.
Nous entrons dans le parc par l’entrée secondaire dès 9 heures, pour l’ouverture, et nous sommes les premiers visiteurs de la journée ! Forcémment, le temps est loin d’être au rendez-vous : des trombes d’eau s’abattent sur nos parapluies et les allées, en plus d’être trempées, sont totalement vides, quelques soigneurs exceptés. Le moral assez bas par cette météo désastreuse, nous commençons tout de même la visite et nous dirigeons rapidement vers l’Equatorium, le bâtiment des singes, dans le quel nous serons à l’abri. Lorsque nous ressortons, le temps a complètement changé et la tempête a laissé place à un grand soleil ! La chance nous sourit, et nous en profitons donc pour découvrir l’étonnant parc qu’est le zoo de Duisburg. Celui-ci a en effet su gardé le charme de ses premières années d’ouverture tout en ouvrant des installations modernes et impressionnantes. Rio-Negro, la serre sud-américaine, est gorgée d’émotions grâce à la présence du dernier dauphin rose de l’Amazonie.
Malgré la présence vieilles installations qui mériteraient une rénovation, beaucoup d’efforts ont été faits ces dernières années et de nombreux projets sont encore à l’étude pour améliorer les conditions de vie des pensionnaires. L’enclos des gorilles et l’installation australienne sont particulièrement intéressantes tandis que certaines cages pour félins sont totalement inadaptées. La collection, typiquement allemande, est particulièrement impressionnante et la présence d’éléphants, de girafes, de deux espèces de grands singes, de fauves dans un parc urbain est toujours extraordinaire. Les espèces rares (lotures géantes, gloutons, dendrolagues, échidnés, wombats…) ont également une place de choix et font de ce parc une véritable découverte du monde des animaux.
Temps de visite : 6h
Météo du jour : Temps ensoleillé

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4) Compte-rendu - photos:
1) Les tigres de Sibérie (Panthera tigris altaica) :
Une installation aménagée tout en longueur en 1959 accueille, peu après l’entrée, un couple de tigres sibériens (Elroy et Gisa) sortant en alternance. Pendant que l’un des individus dispose de la demi-île, agrémentée d’une abondante végétation et d’un large bassin, l’autre est isolé dans une cage grillagée au sol bétonné faisant également office de bâtiment de nuit.
--> Présentation depuis 1959. Reproduction enregistrée (jusqu’en 1994).



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2) Les antilopes : grands koudous (Tragelaphus strepsiceros) et bongos (Tragelaphus eurycerus isaaci) :
Deux enclos entourés d’un fossé sec, l’un terreux et l’autre herbeux, accueillent deux imposantes espèces d’antilopes africaines : Des grands koudous et des bongos de montagnes. Quelques branchages et zones ombragées agrémentent les installations.
Il faut noter qu’autrefois, l’enclos des bongos constituait le lieu de vie de 4 okapis importés directement du Congo.
--> Présentation depuis respectivement 1964 et 1979 . Reproduction enregistrée chez les deux espèces.




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3) Jardin chinois
Inauguré en 1988 comme cadeau de la ville de Wuhan, jumelée avec celle de Duisburg, le jardin chinois s’étend sur une surface de près d’un hectare (8000 m²) et permet aux visiteurs de se promener au cœur d’un espace réfléchi et serein tel un havre de paix où les étangs, les cascades, les pontons, les rochers et les pagodes se succèdent au milieu d’une abondante végétation de bambous. Coût total estimé : 8 millions d’euros.



A proximité du jardin chinois, deux enclos vitrés aménagés en 1990 sous le couvert des arbres hébergent deux espèces asiatiques, en cohabitation : le petit panda (Ailurus fulgens) et le mutnjac de Reeves (Muntiacus reevesi). Cette présentation mixte, tentée avec échec au Tiergarten Nürnberg (Allemagne), se déroule bien à Duisburg notamment grâce à la présence d’une double-installation qui permet notamment, lors des naissances chez les muntjacs, qui se reproduisent régulièrement depuis leur arrivée en 2007, d’isoler les deux espèces.
Un couple de petits pandas est hébergé dans cette instalaltion :
Ayuko, né en juin 2006 à Beekse-Bergen (Pays-Bas) et
Ping, née en juin 2003 à l’ErlebnisZoo Eichberg (Suisse).





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4) Gorilla Bush : Gorilles des plaines de l’Ouest (Gorilla gorilla gorilla)
Inaugurée le 22 mai 2002 après 4 mois de travaux, cette installation extérieure exclusivement dédiée à la présentation de gorilles s’étend sur une surface de 1400 m² (dont 1200 sont accessibles aux primates) et a été inaugurée à l’emplacement de l’ancien enclos des gorilles, qui consistait en une cage circulaire entourée de baies vitrées.
L’enclos, entièrement herbeux et vallonné, est agrémenté de différentes structures d’escalade artificielles (branchages, troncs nus de 10 mètres de haut, 240 mètres de cordages…) mais également, fait rare pour des grands singes, de buissons (notamment des masssifs de bambous) qui leur sont entièrement accessibles. En tout, 700 bambous, 200 épines-vinettes et 700 m² d’herbe (jamais tondue) ont été plantés. Une zone ombragée, aménagée sous le couvert des arbres, est également mise à leur disposition tandis qu’une importante politique d’enrichissement du milieu a été testée. Ainsi, une termitière artificielle leur permet de goûter, à l’aide de brindilles, des gourmandises introduites dans de petites ouvertures, tandis que 5 « jardins d’herbe » ont été installés. Ces zones végétalisées de 3 m2 et de 20 cm de profondeur recouvertes d’une grille permettent aux gorilles, lorsque les plantes ont atteint une hauteur suffisante et dépassent de la grille, de les attraper et de s’en nourrir.
Les visiteurs, eux, ont l’opportunité de découvrir les animaux depuis différents observatoires (surélevé, derrière un fossé sec, derrière un cours d’eau mais également depuis une grotte rocheuse munie de baies vitrées).





6 individus sont actuellement hébergés à Duisburg :
Mapena, le mâle dominant, né en 1996 à Jersey,
Momo, femelle née en 1982 au Wilhelma Stuttgart,
Vizuri, femelle née en 1995 à Zürich,
Safiri, femelle née en 1996 à Apenheul, et
Kiburi et Uzuri, nées en 2008 à Duisburg.


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5) Äquatorium : Le bâtiment des primates

Considérée à son inauguration comme la plus vaste « maison à singes » jamais réalisée au monde, ce bâtiment baptisé « Äquatorium » s’étend sur une surface de 12 000 m² et a été inauguré en novembre 1962 pour loger quelques 200 primates qui avaient été importés d’Amérique du Sud, d’Asie et d’Afrique. En tout, 100 espèces différentes, du ouistiti pygmée au gorille en passant par le nasique ou le langur, y ont été logées en 48 ans, un record en Europe. Un budget d’1 million d’euros a été nécessaire à son éllaboration.
Aujourd’hui, après plusieurs rénovations (dont l’une en 2002 aura permis d’offrir de nouvelles loges aux grands singes) et plusieurs départs, la collection a été largement diminuée et les enclos agrandis et rénovés.
Aujourd’hui, la plupart des espèces (de taille moyenne à grande) hébergées dans ce bâtiment possèdent au moins une loge intérieure (sol bétonné recouvert de paille avec agrès en bois) reliée à un espace extérieur qui peut consister en un enclos vitré herbeux pour les orangs-outans ou à une cage grillagée pour les gibbons et les cercopithèques.
Une liste des primates actuellement hébergés dans ce complexe pourrait être la suivante :
Gorille des plaines de l’Ouest (Gorilla gorilla gorilla), qui disposent également à l’extérieur du « Gorilla Bush » précédemment décrit :

Orangs-outans de Bornéo et de Sumatra (Pongo pygmaeus & Pongo abelii), dont un grand mâle capturé dans la nature, baptisé Siam, a atteint l’âge vénérable de 50 ans :


Gélada (Theropithecus gelada), espèce arrivée en 1961 :


Gibbon agile (Hylobates agilis), gibbon à favoris blanc (Hylobates leucogenys) et siamang (Symphalangus syndactylus), cette dernière espèce ayant accès à une vaste île végétalisée :


Des cercopithèques de Brazza (Cercopithecus neglectus), des macaques ouandérous (Macaca silenus) et des cercopithèques dianes (Cercopithecus diana diana) :

Et pour finir cette impressionnante collection, deux très rares hocheurs à nez blanc (Cercopithecus nictitans nictitans) arrivés en 2001 de la Ménagerie du Jardin des Plantes (Paris) :


Vues d’ensemble de l’Äquatorium :



Différentes volières plus végétalisées, sans accès à l’extérieur, accueillent quelques callithricidés sud-américains tels des tamarins-lions dorés (Leontopithecus rosalia), des callimicos de Goeldi (Callimico goeldii), des ouistitis à pinceaux blancs (Callithrix jacchus), des ouistitis pygmées (Cebuella pygmaea), des tamarins pinchés (Saguinus oedipus) mais également des oiseaux tels des roulrouls couronnés (Rollulus roulroul) et des tyrans quiquivis (Pitangus lictor).



Tamarin pinché (Saguinus oedipus)
Deux enclos, munis de baies vitrées hautes de 1 mètre, ont été aménagés au milieu des deux salles principales de l’Äquatorium. Reliés entre-eux par un important nombre de cordages, ils sont particulièrement végétalisés et accueillent un aperçu de la faune sud-américaine qui évolue ici en totale liberté au-dessus de la tête des visiteurs. Il s’agit de paresseux didactyles (Choloepus didactylus) et d’iguanes verts (Iguana iguana). Des tatous velus (Chaetopractus villosus) sont également présentés sur la surface terrestre de l’un des deux enclos.




Un enclos extérieur boueux largement végétalisé et garni d’une mare naturelle, situé à quelques mètres du « Gorilla Bush », accueille une autre espèce originaire des forêts tropicales africaines : l’hippopotame pygmée (Hexaprotodon liberiensis). Il est relié, à l’intérieur de l’Äquatorium, à un vaste enclos au sol recouvert d’écorces couplé d’un petit bassin bétonné où ils passent les mois hivernaux.
Importée directement du Libéria en 1974 (4 individus), cette espèce méconnue était alors présentée pour la première fois en Allemagne de l’Ouest, à Duisburg. Aujourd’hui, seules deux femelles (Quirly, âgée de 38 ans, et sa fille Ayoka, née en 2007) sont présentées dans cette installation, inaugurée en 2001.




A l’Est de l’Äquatorium, une extension rénovée en 2006 permet la présentation de colombes diamants (Geopelia cuneata) et d’une bruyante colonie de loriquets de Swainson (Trichoglossus haematodus) dans une large volière australienne où le public avait auparavant l’opportunité de pénétrer.

Une exposition sur les gorilles du Zoo de Duisburg, agrémentée de photographies et d’informations sur les menaces qui pèsent sur leur vie en Afrique Centrale, se tenait à cet endroit en août 2010.

Juste en face, la dernière installation de l’Äquatorium, accueille l’espèce la plus rare du complexe : le colobe à manteau, ou à camail (Colobus polykomos). Cette espèce de singe africaine au pelage noir et dense, surmonté d’une couronne blanche, est arrivée à Duisburg pour la première fois en 1967. Depuis, plusieurs naissances ont été observées au sein du groupe. Ils évoluent dans un enclos intérieur ancré dans le faux-rocher, agrémenté d’un arbre artificiel et de différentes structures d’escalade, relié à l’air libre à un enclos vitré enrichi de branchages et d’un sol naturel. Il faut noter qu’en dehors du Royaume-Uni, seuls les établissements de Duisburg et d’Erfurt (Allemagne) présentent cette espèce au public sur le continent et que son programme d’élevage (ESB) est géré à l’échelle européenne par Duisburg.



