Connu pour sa tête dure depuis de nombreuses années, l’ours mâle de Juraparc a toujours refusé d’hiberner, sortant le museau de sa caverne tous les jours malgré les températures polaires. Cette année, il semble avoir transmis le virus au reste de sa tribu.
Ni la mère, «Ursina», ni les trois oursons nés en janvier 2007, «Punk», «Guz» et «Zut», n’ont encore entamé leur long sommeil hivernal. «En général, ils s’endorment avant Noël, mais on n’est pas encore trop loin du compte», relativise Olivier Blanc. Le patron de Juraparc garde un œil aussi attentif qu’amusé sur le comportement de ses plantigrades.
