Nouveautés 2015 dans les parcs français

[Philippe]

Concernant le nouveau vivarium du zoo des 3 Vallées ouvert jeudi 9 juillet 2015, voici la liste des espèces mentionnées sur le site du parc : crocodiles (...), boas, pythons royaux, iguanes, dragons barbus, geckos léopards, axolotls, serpents ratiesr de Taïwan, serpents des blés et tortues Pelomedusa.

[Philippe]

Voici quelques clichés mis en ligne sur la page Facebook du parc de la Haute-Touche à Obterre (Indre) afin de présenter la volière des gris du Gabon, l'une des nouveautés 2015 de l'établissement :

Cette volière a été aménagée à la place de l'ancienne volière des coatis, à proximité des zèbres et des oryx beisa.

[Philippe]

Cinq coatis à nez blanc (Nasua narica) viennent de rejoindre le Natur'Zoo de Mervent, a indiqué ce lundi 27 juillet le parc vendéen sur sa page Facebook.

[nico]

Une espèce qui commence à bien s'intégrer dans les parcs français. Mervent devient le cinquième zoo à en présenter.

[Antoine6259]

Pas si sur, car ceux de Beauval ont été transférés à la Boissière. Je ne sais pas d'où viennent ceux de Mervent, ni s'il y en a encore à la Bourbansais ?

[nico]

Je n'étais pas au courant pour ceux de Beauval, ils étaient encore présents à ma visite de Mai cette année.
Qui sont les nouveaux occupants de leur ancien enclos ?

[NRJMelvinT]

Des coatis à queue annelée (Nasua Nasua).

[Philippe]

Zoo de La Flèche : un nouveau lodge autour des grizzlis

Le zoo de La Flèche lance samedi 1er août 2015 un nouveau lodge, le 9ème, voué à l'univers des grizzlis. Deux mâles et une femelle ont quitté l'Allemagne pour intégrer le parc sarthois, ce mercredi 29 juillet.

Source : Ouest-France.

[Philippe]

Les colibris du Parc des oiseaux : petits mais costauds

Villars-les-Dombes (Ain). Le Parc des oiseaux a inauguré cette année un tout nouvel espace consacré aux colibris. Dix représentants de la plus petite espèce d’oiseaux du monde ont ainsi pris leurs quartiers dans l’Ain.

Au premier coup d’œil, l’animal n’est pas facile à apercevoir, entre les feuillages de la végétation qu’abrite son terrarium . Enfin, sauf quand il décide de quitter sa branche pour offrir aux visiteurs, une démonstration de vol d’une vitre à l’autre, qui peut atteindre 200 battements d’ailes par seconde.

C’est vrai qu’il est mythique ce colibri. Le plus petit représentant du monde avicole, dont les plus grands spécimens atteignent tout juste une dizaine de centimètres. « Le plus petit des colibris doit faire la taille d’un gros bourdon », précise Christophe Bec, responsable animalier au Parc des oiseaux de Villars-les-Dombes.

Un projet à 250.000 euros

Grande nouveauté du site animalier, ces colibris, dont les espèces sont originaires des Antilles, ont permis d’honorer la thématique 2015 du Parc. Lequel souhaitait en effet rendre hommage à tous les types d’oiseaux présents sur le territoire français, DOM-TOM inclus.

Mais jonchée d’un certain nombre de difficultés, la mise en place de ce projet a nécessité des années de préparation. Et provoqué quelques doutes au passage : « Le premier éleveur que nous avions rencontré faisait état de règles de suivi très strictes, qui imposaient une logistique trop complexe, ajoute Christophe Bec. Il y a encore trois ans, on pensait qu’on ne pourrait pas y arriver. Et puis, en prenant contact avec d’autres éleveurs, plus souples, on a réalisé au bout du compte, que ça pouvait devenir faisable. »

Deux ans et 250.000 euros plus tard, voici donc nos petits volatiles en terres villardoises. Sur les 350 espèces que comptent les colibris, le parc en a choisi deux, des falle-vert et des ariane.

Le site a accueilli les animaux en deux temps. Les quatre premiers spécimens sont arrivés fin février. Les autres fin avril. Dix en tout. Dont seulement cinq sont visibles du public toutefois.

Âgés de 5 à 8 ans, chacun d’entre eux évolue dans un espace individuel : « C’est un animal solitaire dans son environnement naturel, poursuit Christophe Bec. Il ne tolère la présence d’un congénère que dans le cadre de l’accouplement. » Et d’accouplement il sera très vite question, puisque le parc villardois ambitionne de constituer son propre élevage. Une vingtaine d’individus sont espérés dans les années à venir et Christophe Bec aimerait obtenir les premières pontes d’ici à trois ans.

Au sein des terrariums des colibris, le biotope est scrupuleusement respecté, du programme lumineux imitant la course du soleil, jusqu’au brumisateur permettant de maintenir le taux d’humidité souhaité.

Jusqu’à 12 ans d’espérance de vie

Du nectar de fleur, seule nourriture ingérée par l’animal, est apporté trois fois par jour, de façon à éviter qu’il ne tourne à cause de la chaleur.

Mais même si le colibri exige attention et soin, Christophe Bec l’affirme : « L’idée reçue selon laquelle c’est un animal fragile est fausse. Si on réunit toutes les conditions dont il a besoin pour évoluer sereinement, il n’est pas plus fragile qu’un autre oiseau. Certains peuvent d’ailleurs vivre jusqu’à 10 ou 12 ans, ce qui est une belle longévité, quand on considère leur taille. »

A terme, les cuisines où le nectar de fleur est préparé, ainsi que les cages d’élevage hébergeant les autres colibris, seront également visibles du public, via un espace spécialement aménagé.

Source : Le Progrès.

[Philippe]

Antibes : le parc aquatique Marineland propose une plongée avec les dauphins
Pour séduire davantage les touristes, l’espace Marineland d’Antibes propose une nouvelle activité depuis le 11 juillet 2015.
Le parc aquatique a ouvert un lagon pour être au plus près des mammifères. Les bassins sont séparés par une simple vitre. Les baigneurs n’ont plus qu’à plonger pour observer les dauphins, des raies et quelques tortues.

Source (avec reportage vidéo) : www.bfmtv.com/mediaplayer/video/antibes ... 93543.html

[Philippe]

Un parc fauconnier renouvelé à Verneuil-sur-Avre

Bâlines (Eure). Le Bois des aigles, parc animalier et de loisirs, est le domaine incontournable pour découvrir de nombreuses espèces de rapace.

S’il est un domaine qui s’ouvre sur le monde des rapaces, c’est bien celuis du Bois des aigles, près de Verneuil-sur-Avre, Bâlines. Qu’ils soient diurnes ou nocturnes, ces oiseaux de proie fascinent. Et au Bois des aigles, les fauconniers s’adonnent à un spectacle qui ravit petits et grands : les rapaces obéissent au doigt et à la voix de leur maître.
Le parc animalier possède un atout non négligeable : une forêt de cinq hectares dans laquelle des volières reproduisent l’environnement naturel des oiseaux.
« C’est plus difficile à entretenir. Il faut beaucoup nettoyer les sous-bois mais nous avons la chance que les oiseaux se reproduisent mieux », explique l’une des quatre fauconniers du domaine.

Une renaissance

C’est une renaissance pour le Bois des Aigles. L’année dernière, le parc a été repris par une nouvelle équipe. Elle a construit un bâtiment pour donner des spectacles à l’intérieur en cas de froid ou de pluie que les oiseaux et le public n’aiment pas.

Au sein de l’équipe, la communication et la coopération se sont renforcées.

Après le spectacle, les fauconniers confient des oiseaux aux spectateurs, non sans leur avoir prêté l’indispensable gant de cuir.
Il est possible ensuite de se promener dans la forêt. Ce sont 200 oiseaux de 60 espèces différentes qui peuplent les volières.
Site : www.naturama-leboisdesaigles.fr

Source : Paris-Normandie.

[didier]

Elle a construit un bâtiment pour donner des spectacles à l’intérieur en cas de froid ou de pluie que les oiseaux et le public n’aiment pas.

Un jour qu'il pleuvait à Beauval, j'avais demandé si le spectacle était annulé, on m'avait répondu que les rapaces n'étaient pas dérangés par la pluie, et en effet tout s'était déroulé normalement.

[Philippe]

Parc de l'Auxois : la volière des loriquets
Si le nouvel enclos des lions de l'Angola constitue la grande nouveauté en 2015 au Parc de l'Auxois, l'établissement bourguignon a proposé à ses visiteurs deux autres nouveautés cette année.
° Une volière abritant un cacatoès blanc (Cacatua alba), un oiseau classé en danger par l'UICN. Cette volière se trouve sur le "chemin des amoureux" serpentant entre l'enclos de contact des chèvres naines et les parcs des dingos et des émeus :

° la volière de contact des loriquets de Swainson (Trichoglossus haematodus molucanus ou Trichoglossus moluccanus selon les auteurs) dont voici quelques photos prises début août :

[Philippe]

Les dinosaures jouent les prolongations au zoo de Thoiry

Alors qu’ils devaient initialement quitter Thoiry à la fin du mois d'août, les dinosaures y resteront finalement jusqu’au 27 septembre. La direction du zoo a en effet décidé de prolonger l’animation estivale au franc succès. Pour rappel, douze créatures préhistoriques grandeur nature ont pris place dans le parc le 1er juin dernier.

Des reproductions en latex confectionnées au Texas aux Etats-Unis, capables de bouger grâce à un système de mécanisation mais aussi d’émettre de sourds grognements. Parmi elles, on retrouve notamment le tricératops, le brachiosaure, ou encore le redoutable T-rex. L’arrivée de cette animation avait fait augmenter le billet de 1 €, soit 31 € pour une entrée adulte et 24,70 € pour un ticket 3-14 ans.

Source : Le Parisien.

[Laurent77]

Bonjour à tous,

le parc des félins a déposé une demande pour une extension de 20 hectares!!

Le 2 juin 2015, la SARL du Parc des Félins a déposé un dossier de demande d’autorisation d’étendre le parc zoologique éponyme sur 20 hectares supplémentaires vers l’Est, le long de la route départementale, en direction de COULOMMIERS et d’aménager dans le nouvel espace des enclos pour des Primates, ainsi que des volières destinées à accueillir des Psittacidés (famille des Perroquets). Par ailleurs, le dossier tire le bilan des neuf années d’exploitation passées et souhaite soutenir l’intérêt des visiteurs et développer l’activité, tout en maitrisant l’impact futur de l’établissement sur son environnement.

Source : http://www.driee.ile-de-france.developp ... _2015_.pdf