Les animaux du nouveau Vincennes

[raphaël]

Les manchots c'est ce qu'on voit à la toute fin ?
Quel est le point d'eau visible au bout de 4 secondes, avec une sorte de chemin qui passe au milieu, longé par des roches peintes en blanc ?

[bastet_75]

Selon moi oui il s'agit de l'enclos des Manchots.. j'ai du mal avec cette zone de la partie patagonie, qui n'est que minérale pour l'instant.

Il me semble que le point d'eau est la zone " Delta Africain " qui touche l'enclos des girafes, avec les marabouts, hérons goliath, grue couronnée noire ...

[gibbon]

Après vérification, l'Ara hyacinthe est bien une espèce amazonienne. Il a donc le droit d'être à Vincennes!

[Antoine6259]

Oui, l'enclos des manchots c'est ce que l'on voit tout à la fin ! Je pense que cet endroit va rester très minéral, le but est quand même de montrer une côte rocheuse... Les reportages s'attardent rarement sur la zone Patagonie car aucune espèce n'est encore arrivée (sauf les pudus mais je ne sais pas s'ils sont déjà dans leur enclos définitif ?)

Je suis aussi assez sceptique sur le rendu du plan d'eau de la zone Africaine... Attendons de voir !

Le temps était visiblement très gris le jour où la vidéo a été prise, donc cela ne donne pas un aspect très joyeux. Néanmoins, quasiment tout semble prêt.

[bastet_75]

à terme je vois bien des plantes aquatiques, dans le plan d'eau Africain, et je crois que ça peut donner un rendu très sympa.

Dans la Zone Patagonie, je souhaiterais voir quand même quelques plantes dans l'enclos des manchots et Otaries, et diverses roches, graviers, sables que l'on pourrais retrouver sur les plages là bas ainsi qu'au fond du bassin.

Peu de parcs exploitent ce qui, pour des otaries entre autre, peut être un enrichissement : elles aimes bien fouiller les roches, dans les galets, elles sont très curieuses.

pour moi les côtes patagoniennes c'est aussi ça...*

[Therabu]

Après vérification, l'Ara hyacinthe est bien une espèce amazonienne. Il a donc le droit d'être à Vincennes!

Oui il a le "droit" (et la chance au vu de leur installation...) d'être à Vincennes... En effet tout dépend du degré de cohérence auquel on s'attache.

L'ara hyacinthe n'est pas un oiseau forestier mais de savanes. Par la suite il est en grande majorité présent dans le cerrado brésilien et le Pantanal, au sud du Brésil. Donc selon moi lorsque l'on souhaite présenter une forêt tropicale, cet oiseau est loin d'être le plus caractéristique. Alors oui il y a quelques populations dans la partie sud du massif amazonien. Hormis leur nombre qui est réduit, ces animaux vivent dans des "poches" très particulières qui n'ont rien à voir avec l'idée que l'on se fait de l'Amazonie et de la manière dont elle sera présentée à Vincennes. Oiseaux.net spécifie que dans cette région, les aras hyacinthes ne fréquentent que les clairières, vallées et ravins escarpés et parois rocheuses. Ce qui ne sera à ma connaissance pas pris en compte à Vincennes.

C'est un débat sans fin et je m’arrêterais là puisque l'on peut tout justifier à partir du moment où l'on lève les contraintes que l'on s'est précédemment fixé (La zone Guyane qui devient Amazonie pour finalement englober des espèces provenant encore d'autres milieux). Mais pour moi l'ara hyacinthe n'est ni un oiseau forestier, ni un oiseau guyanais et n'a donc rien à faire dans cette zone, d'autant plus que de nombreux autres espèces semblables sont disponibles en captivité.

[raphaël]

Le temps était visiblement très gris le jour où la vidéo a été prise, donc cela ne donne pas un aspect très joyeux. Néanmoins, quasiment tout semble prêt.

Justement, un zoo c'est comme un maison ou un appartement, faut toujours le voir un jour triste, si il donne encore envie ou pas !

[okapi]

A ce titre, Londres fonctionne bien aussi en hiver… Question de ciel et de lumière sans doute, mais aussi en fin de journée, lorsque la nuit commence à tomber et que les lampes du parc créent une étrange atmosphère. Vienne en plein hiver, en revanche, c'est plus triste.

[bastet_75]

Les animaux s'installent au parc Zoologique

[06/03/2014]
Au fur et à mesure que leur habitat se termine, les animaux aménagent petit à petit dans leurs tout nouveaux locaux du parc zoologique de Paris. Ainsi zèbres, vautours, loups, chiens des buissons, singes laineux, oiseaux, différentes espèces de lémuriens...ont déjà pris possession des lieux et se familiarisent avec leur nouvel espace avant l'ouverture au public le 12 avril.

Après 9 ans de travaux, le parc zoologique de Paris, anciennement zoo de Vincennes, va ouvrir ses portes le 12 avril. Les animaux seront répartis sur cinq biozones distinctes correspondant à leur milieu d'origine.


Environ un mois avant l'ouverture, un millier d'animaux à réceptionner

Même si quelques engins s'activent encore dans un coin et que des travaux de finitions sont toujours en cours, la totalité des enclos des animaux du parc zoologique est terminée. C'est un millier d'animaux de 170 espèces différentes qui vont s'intaller petit à petit dans un nouveau zoo plus clair, plus aéré, plus végétalisé (40% de végétation supplémentaire).

Même si, en cette période d'hiver, les végétaux ne sont pas encore en pleine croissance, des îlots verts commencent à prendre forme. Les girafes sont restées sur place mais d'autres animaux arrivent chaque jour d'autres zoos européens. La réception et la mise en place de toute cette faune représente un gros travail. Les nouveaux arrivants doivent en effet se familiariser avec un nouvel espace, de nouveaux soigneurs, et de nouveaux colocataires pas toujours de la même espèce. C'est ainsi que 3 grands koudous partagent leur espace extérieur avec trois autruches. Cette cohabitation permet aux animaux d'être moins confinés et de bénéficier de plus d'espace.
A leur arrivée, les animaux sont isolés dans un premier temps dans une zone tampon qui peut être leur habitat intérieur ou un enclos spécifique, et où ils sont observés par les vétérinaires. Ce n'est qu'ensuite, quand ils commencent à se familiariser qu'ils peuvent être libérés dans leur enclos extérieur. Ils apprennent très vite à regagner spontanément leur habitat respectif.


Le parc zoologique en chiffres:
- 5 biozones: Europe (10 800m2) - Guyane (12 530m2) - Madagascar (9 655m2) - Sahel Soudan (45 215m2) - Patagonie (16 570m2)
- 250 personnes travaillent sur le site dont: 2 vétérinaires, 2 aides vétérinaires et 50 soigneurs
- 171 000 plants de 870 espèces végétales ont été plantés, 2258 nouveaux arbres, 150 000 arbustes, vivaces, graminées, plantes aquatiques
- 4,2 km de circuit de promenade
- 1000 animaux dont 74 espèces d'oiseaux, 42 espèces de mammifères, 21 espèces de reptiles, 17 espèces d'amphibiens et 15 espèces de poissons

A la rencontre des premiers occupants du parc zoologique

Dans le nouveau parc il n'y aura plus d'ours, éléphants, hippopotames qui ont besoin de très grands espaces. Par contre, vous pourrez voir de nouvelles espèces comme les jaguars, lamantins, pumas.
Même si 50% des animaux sont déja arrivés beaucoup ne sont pas encore visibles. Une grande partie d'entre eux est en cours d'adaptation et restent à l'intérieur. Nous en avons quand même rencontré quelques-uns.


Les 16 girafes étaient déjà là, elles sont restées sur place pendant les travaux, et désormais elles disposent de deux fois plus d'espace à l'intérieur et trois fois plus à l'extérieur. Les deux mâles font chambre et enclos séparés pour que la reproduction reste sous contrôle. Par la suite, de nouveaux girafons pourraient venir compléter l'équipe existante. Les girafes sont de sortie quand la température extérieure est de 10° minimum.
Des squatteurs du bois de Vincennes ont déjà pris leurs marques. Des oies bernaches profitent du tout nouveau bassin et un couple de Colverts a pris possession d'un îlot bien placé en surplomb.
Au pied du grand rocher, les vautours ont repris possession de leur ancienne volière. Dans un premier temps le grand rocher ne sera pas ouvert au public parce qu'il nécessite des travaux qui seront réalisés plus tard.


Cinq loups arrivés d'Espagne s'ébattent joyeusement dans un vaste enclos planté de conifères et émaillé de grands rochers. Peu farouches, ils s'approchent de la baie vitrée et nous observent avec curiosité. Les loups vivent en meute très hiérarchisée. Le mâle dominant doit être introduit en premier. Les autres viennent après pour respecter l'ordre naturel et ne pas créer de conflit.
Dans la grande volière des oiseaux commencent à voler en liberté. Des Ibis noirs, des hérons, des vanneaux...plus tard des flamands roses vont arriver. Pour le moment cette gent ailée reconnaît l'espace et se heurte encore parfois à la barrière des filets. Des nichages au sol ou en hauteur sont prévus pour que chaque oiseau puisse se reproduire sans être géné par les autres espèces.
Les chiens des buissons, petits carivores trapus ont été autorisés à sortir dans leur enclos. Ils peuvent toujours se réfugier dans leur habitat privé mais l'attrait du dehors est le plus fort.
Les singes laineux profitent joyeusement des multiples cordages, lianes, troncs d'arbres dans lesquels ils exécutent des prouesses acrobatiques. Ils ont l'air d'apprécier pleinement leur nouveau terrain de jeu.
Dans la moiteur de la grande serre tropicale, au milieu des végétaux, Aras et perroquets multicolores sont en liberté et côtoient des tamarins, des sakis à face blanche et plusieurs sortes de lémuriens (eux sont dans des enclos vitrés enfouis dans l'exubérante végétation). Par la suite des paresseux vont arriver et se promèneront en liberté. Tous ces hôtes produisent des sons de jungle tropicale.


Trois femelles zèbres, nouvellement arrivées de Moscou et d'Edimbourg, profitent de leur espace extérieur après avoir fait connaissance en espace clos. Un peu plus loin trois grands koudous et trois autruches parcourent leur enclos avec nonchalance.
Très bientôt un rhinocéros blanc va arriver de Thoiry. Un mâle et deux femelles lions occuperont leur habitat chauffé en forme de rocher, un puma arrivera du Chili et sera là pour l'ouverture. Aramis, le célèbre jaguar noir en transit à la ménagerie du jardin des plantes, va bientôt regagner son enclos dans la zone Guyane. La ménagerie restera complémentaire au parc zoologique en se spécialisant dans les animaux d'Asie. En tout c'est un millier d'animaux de 170 espèces différentes que vous pourrez cotoyer dès le 12 avril prochain.

source : Paris.fr

[didier]

74 espèces d'oiseaux, 42 espèces de mammifères, 21 espèces de reptiles, 17 espèces d'amphibiens et 15 espèces de poissons

Je serais curieux d'avoir la liste exacte, pour les mammifères çà ne doit pas être compliqué.

[bastet_75]

Zootierlist a sans douté déjà commencé à la constituer

[bastet_75]

Les trois singes capucins guyanais ont été transférés lundi de la Ménagerie du Jardin des Plantes au Parc zoologique de Paris. Les deux femelles, Camopi et Cayenne, sont issues du milieu naturel et pourraient compter parmi les fondatrices d'un programme d'élevage, si la famille s'agrandit.

source : facebook du parc


en lien l'histoire des 2 guenons et les ambitions du programme d'élevage du Parc Zoologique

http://blog.francetvinfo.fr/zoo/2014/03 ... spoir.html

[Antoine6259]

Ah ? J'étais persuadé que les capucins étaient déjà partis depuis quelque temps pour laisser leur place dans la Singerie aux macaques ouandérous ?
En tout cas, autre transfert depuis la Ménagerie et pas des moindres : Le charismatique Aramis est parti pour Vincennes ce matin !

En parlant de la volière et des espèces, savez-vous quels sont les oiseaux que l'on voit y voler dans la vidéo ? Car ça ne semble pas très gros ?

En ce qui concerne la liste des mammifères : Guanaco, puma, mara, pudu, otarie, viscache (sont-ils encore prévus ?) Zèbre de Grévy, Girafe, grand koudou, addax, lion, oryx algazelle, rhinocéros blanc, loup ibérique, glouton, lynx de scandinavie, loutre d'Europe, tapir, chien des buissons, cabiai, jaguar, capucin brun, singe laineux, paresseux didactyle, saki à face blanche, titi roux, tamarin bicolore, tamarin lion à tête dorée, lamantin, tamanoir, fossa, roussette, vari à ceinture blanche, grand hapalémur, maki catta, vrai roux, lémur couronné, lémur à ventre roux, petit hapalémur, propithèque couronné... Soit 42 espèces pour moi ?
On peut donc envisager quelques surprises supplémentaires du coté de la serre (par une ou deux espèces de petits singes, ou des petits animaux vivant au sol comme les tatous ou les agoutis dans les volières.)

Enfin, en ce qui concerne le temps, disons que là avec la météo, la saison, le fait qu'il y ait encore peu d'animaux, et les végétaux qui ne sont pas encore vraiment développés, on cumule pas mal de choses ! Il faut que le parc arrive à être beau en toute saison, ce qui pour moi est indispensable dans un zoo urbain.
Je ne connais ni Londres ni Vienne, mais j'ai pu visiter Amsterdam au mois de décembre et c'était assez mitigé. Disons que certains parties comme la Fauverie paraissent encore plus tristes, la plaine africaine est pour moi esthétiquement moins réussie qu'à Lyon (et en hiver ça donnait un peu l'impression d'un grand terrain sableux avec des flaques.) Mais à l'opposé toutes les parties avec de l'eau ont pas mal de charme (étang des flamants, ile des varis...) Les volières ont été aménagées avec une végétation essentiellement persistante qui fait qu'elles ne changent pas trop d'aspect, et on apprécie encore davantage le dépaysement lorsque l'on rentre dans les parties en intérieur comme la maison des oiseaux ou la serre.

[bastet_75]

les Ibis noirs , hérons, et les vanneaux sont arrivés ( CF le texte cité plus haut )

Ce sont sans doute les Vanneaux..


je suis surpris, il me semblait que ce devaient être de toutes autres espèces accompagnant les flamants..

[Antoine6259]

Zootierlist a sans douté déjà commencé à la constituer

C'est vrai ! Et là voici :

http://www.zootierliste.de/zoosmap.php?showzoo=10000453

Même si dans le cas de Vincennes elle va surement être souvent à la traine pendant un mois, car les arrivées se font quasiment tous les jours.
Je viens de lire sur ActuZoo que ce matin, les ibis rouges (tout le groupe ?) et les tamarins à mains rousses avaient eux aussi quitté le Jardin des Plantes !

Sinon, un autre article ici :

LES ANIMAUX S'INSTALLENT AU PARC ZOOLOGIQUE DE PARIS

Les animaux aménagent petit à petit dans leurs tout nouveaux locaux du parc zoologique de Paris. Ainsi zèbres, vautours, loups, chiens des buissons, singes laineux, oiseaux, différentes espèces de lémuriens... ont déjà pris possession des lieux et se familiarisent avec leur nouvel espace avant l'ouverture au public le 12 avril.

Après 9 ans de travaux, le parc zoologique de Paris, anciennement zoo de Vincennes, va ouvrir ses portes le 12 avril. Les animaux seront répartis sur cinq biozones distinctes correspondant à leur milieu d'origine.

A leur arrivée, les animaux sont isolés dans un premier temps dans une zone tampon qui peut être leur habitat intérieur ou un enclos spécifique, et où ils sont observés par les vétérinaires. Ce n'est qu'ensuite, quand ils commencent à se familiariser qu'ils peuvent être libérés dans leur enclos extérieur. Ils apprennent très vite à regagner spontanément leur habitat respectif.

Un défi : regrouper 1 000 animaux au jour J

"Nous sommes dans la situation de nos prédécesseurs lorsqu’ils ouvrirent le zoo en 1934, nous repartons de zéro". Fabrice Bernard, chef soigneur, est au cœur de cette aventure unique : reconstituer une collection animale et la préparer pour le jour J.

La majorité des animaux avait déjà quitté le zoo avant l’ouverture du chantier, en novembre 2008, à l’exception du groupe des girafes et d’un groupe de grands hapalémurs, lémuriens fragiles. La plupart des animaux qui ont été placés dans d’autres parcs zoologiques ne reviendront pas, mis à part des représentants des groupes de babouins, de flamants roses et de manchots, ou de leurs descendants.

Le regroupement des nouveaux arrivants a mobilisé : les soigneurs-animaliers, les gestionnaires de collection, les vétérinaires et tous leurs alter ego dans les zoos partenaires, ainsi que les transporteurs spécialisés, de nombreux mois - voire des années - avant l’ouverture du parc.

La gestion du repeuplement est un processus complexe, il fallait être prêt à accueillir un animal réservé dans un autre parc animalier, en fonction de l’avancement des travaux. La collection animale n’est pas figée au jour de l’ouverture, tous les couples ou groupes ne sont pas nécessairement constitués, les populations sont appelées à évoluer.

D’où viennent les animaux ?

Aucun animal n’est prélevé dans la nature et le Muséum a veillé à ce que les acquisitions ne nourrissent jamais le commerce parallèle des espèces sauvages. Presque tous les animaux proviennent d’autres zoos, dans le cadre d’échanges entre institutions zoologiques membres de l’EAZA (European Association of Zoos and Aquaria) qui réunit 345 institutions dans 41 pays. Reptiles et oiseaux peuvent parfois provenir des saisies des douanes.

Certains animaux ont effectué de longs trajets : Aramis, le jaguar mâle est arrivé du zoo de Varsovie, des zèbres sont venus de Moscou, le puma du Chili, un lamantin des Pays-Bas et un autre d’Allemagne, des lémuriens de six différents pays européens, le fossa de Duisbourg, le caïman de Cayenne, les babouins d’Édimbourg et de Nuremberg, la femelle tamanoir de Singapour, les flamants roses de Lyon, les arapaïmas de Nausicaa… etc. Certains animaux ont été temporairement hébergés à la Ménagerie du Jardin des Plantes.

L’acclimatation des nouveaux arrivants, un patient apprentissage

Des heures d’attention sont nécessaires pour acclimater les animaux, c’est-à-dire les familiariser avec leurs nouvelles structures, leurs nouveaux soigneurs et les habituer au climat parisien. Les soigneurs doivent également faire connaissance avec les nouveaux arrivants qu’ils sont appelés à côtoyer, à nourrir et à soigner.

Pour les espèces qui font leur entrée au Parc Zoologique, comme le lamantin ou les reptiles, une véritable formation est nécessaire, elle comprend des exercices préparatoires parfois peu communs, comme d’apprendre à manipuler un anaconda ou acquérir un niveau de plongeur professionnel pour s’occuper des lamantins, des otaries et de l’entretien de leur bassin.

Source : http://www.neuillyjournal.com/actus/paris-actu/item/6961-les-animaux-sinstallent-au-parc-zoologique-de-paris