Zoo de Jurques :
Les premiers bébés sont arrivés
Des arbres déracinés, des clôtures arrachées, l’hiver fut long et apporta son lot de désagréments au parc zoologique de Jurques. « L’enclos des wallabies (kangourous de petite taille) a été détruit, nous avons dû leur courir après pour les rattraper », raconte Guillaume Ourry, le dirigeant du parc.
Heureusement, les premiers rayons de soleil apparaissent et le printemps est aux portes du zoo. « La saison commence : nous sommes ouverts tous les jours jusqu’au 28 septembre », annonce-t-il.
Naissance
Si les cigognes et les manchots préparent leur nid, le zoo compte déjà quelques naissances. De petits wallabies albinos et marrons se baladent dans la poche de leur mère depuis un mois et demi.
Un perroquet du Gabon, considéré comme le meilleur parleur, rejoindra bientôt ses congénères dans la volière. « La mère ayant pondu à côté du nid, nous l’élevons sous couveuse », explique Guillaume Ourry. A deux mois, le petit volatile a presque toutes ses plumes. « A sa naissance, il pesait 14 g. Nous devions le nourrir toutes les deux heures », rapporte le dirigeant du zoo.
Le parc compte également une naissance remarquable : « Pour la première fois, en octobre dernier, deux guépards ont vu le jour au zoo », annonce fièrement Guillaume. Contrairement aux autres fêlins, les guépards se reproduisent assez difficilement. « On compte seulement dix naissances de ce type chaque année en Europe », précise-t-il.
Espèces menacées
Le parc zoologique de Jurques fait partie du Programme européen pour les espèces menacées. Le mâle guépard ayant servi à la reproduction provenait d’un autre zoo appartenant, lui aussi, à ce programme d’élevage. Les animaux issus de celui-ci font l’objet d’échanges entre parcs pour assurer la survie de leur espèce.
A l’heure actuelle, le zoo de Jurques compte 650 animaux d’environ 150 espèces différentes. Cette entreprise familiale ne compte que 14 salariés. « Nous recherchons un chef soigneur et un soigneur avec de l’expérience », lance Guillaume Ourry.
Expérience
Pour tous ceux qui rêveraient de postuler, le zoo offre une opportunité singulière : « Nous proposons des pass soigneur qui permettent aux visiteurs de partager le quotidien d’un membre du personnel pendant quelques heures », explique Guillaume. Le pass adulte existait déjà et attirait un public parfois venu de loin. Les propriétaires ont donc décidé de créer, cette année, le pass junior réservé aux jeunes âgés de 9 à 13 ans.
Le zoo propose d’autres activités, cette fois-ci gratuites, permettant aux visiteurs d’approcher d’un peu plus près les animaux. Deux volières sont ainsi ouvertes au public : celle des perruches australiennes et la jungle aux perroquets, autre nouveauté de la saison. « Le parc des lémuriens est également accessible sous la surveillance d’un soigneur », assure Guillaume Ourry. Seule consigne : ne pas toucher les animaux. Comme l’énonce le propriétaire : « Ils doivent rester sauvages ».
Source : http://www.lavoixlebocage.fr/2014/03/12 ... t-arrives/
Les premiers bébés sont arrivés
Des arbres déracinés, des clôtures arrachées, l’hiver fut long et apporta son lot de désagréments au parc zoologique de Jurques. « L’enclos des wallabies (kangourous de petite taille) a été détruit, nous avons dû leur courir après pour les rattraper », raconte Guillaume Ourry, le dirigeant du parc.
Heureusement, les premiers rayons de soleil apparaissent et le printemps est aux portes du zoo. « La saison commence : nous sommes ouverts tous les jours jusqu’au 28 septembre », annonce-t-il.
Naissance
Si les cigognes et les manchots préparent leur nid, le zoo compte déjà quelques naissances. De petits wallabies albinos et marrons se baladent dans la poche de leur mère depuis un mois et demi.
Un perroquet du Gabon, considéré comme le meilleur parleur, rejoindra bientôt ses congénères dans la volière. « La mère ayant pondu à côté du nid, nous l’élevons sous couveuse », explique Guillaume Ourry. A deux mois, le petit volatile a presque toutes ses plumes. « A sa naissance, il pesait 14 g. Nous devions le nourrir toutes les deux heures », rapporte le dirigeant du zoo.
Le parc compte également une naissance remarquable : « Pour la première fois, en octobre dernier, deux guépards ont vu le jour au zoo », annonce fièrement Guillaume. Contrairement aux autres fêlins, les guépards se reproduisent assez difficilement. « On compte seulement dix naissances de ce type chaque année en Europe », précise-t-il.
Espèces menacées
Le parc zoologique de Jurques fait partie du Programme européen pour les espèces menacées. Le mâle guépard ayant servi à la reproduction provenait d’un autre zoo appartenant, lui aussi, à ce programme d’élevage. Les animaux issus de celui-ci font l’objet d’échanges entre parcs pour assurer la survie de leur espèce.
A l’heure actuelle, le zoo de Jurques compte 650 animaux d’environ 150 espèces différentes. Cette entreprise familiale ne compte que 14 salariés. « Nous recherchons un chef soigneur et un soigneur avec de l’expérience », lance Guillaume Ourry.
Expérience
Pour tous ceux qui rêveraient de postuler, le zoo offre une opportunité singulière : « Nous proposons des pass soigneur qui permettent aux visiteurs de partager le quotidien d’un membre du personnel pendant quelques heures », explique Guillaume. Le pass adulte existait déjà et attirait un public parfois venu de loin. Les propriétaires ont donc décidé de créer, cette année, le pass junior réservé aux jeunes âgés de 9 à 13 ans.
Le zoo propose d’autres activités, cette fois-ci gratuites, permettant aux visiteurs d’approcher d’un peu plus près les animaux. Deux volières sont ainsi ouvertes au public : celle des perruches australiennes et la jungle aux perroquets, autre nouveauté de la saison. « Le parc des lémuriens est également accessible sous la surveillance d’un soigneur », assure Guillaume Ourry. Seule consigne : ne pas toucher les animaux. Comme l’énonce le propriétaire : « Ils doivent rester sauvages ».
Source : http://www.lavoixlebocage.fr/2014/03/12 ... t-arrives/
