Dans les coulisses du zoo de Mulhouse
Les zoos modernes ont pour but d’améliorer le quotidien de leurs pensionnaires en créant des espaces adaptés. Pour cela, des études sont menées pour connaître leurs besoins et leurs comportements. Le zoo de Mulhouse s’est donc engagé à créer des espaces adaptés pour accueillir de nouvelles espèces, tel le bœuf musqué, le renard polaire. Le zoo prévoit également d’agrandir l’espace vital des ours polaires en créant trois enclos (un enclos pour les mâles, un enclos pour les femelles et un autre en cas de reproductions). Le parc accueillera désormais trois ours (un couple venant d’un autre zoo et l’ancienne femelle ours polaire Tina, hébergée au zoo de la Palmyre durant la rénovation). Les éléments de décor seront somptueux, avec différentes textures de sol à l’extérieur.
En tout, l’espace dédié aux ours couvrira 10 000 m². Quant au couple de loups à crinière, il devrait très prochainement intégrer son enclos très moderne, composé principalement de bois. Seront mis à leurs dispositions une rivière sèche, des abris, de l’herbe ou encore des minéraux. Il disposera également d’un espace assez vaste. Le public sera au plus près du couple, bénéficiant d’une vue panoramique grâce aux deux vitres de protections. Le groupe de cinq macaques de Tonkéan pourrait prochainement quitter le zoo, au cœur duquel la création d’un jardin des plantes géant est envisagée.
Tous les zoos du monde sont en relations quant aux échanges animaux. Mais, avant d’accueillir de nouvelles espèces, il faut respecter un cahier des charges. En effet créer des enclos modernes suppose des contraintes. La principale réside dans le respect de l’environnement naturel de l’animal, tout en intégrant des plantes qui ne doivent pas être néfastes à la santé de l’animal. Tout cela est coûteux, surtout l’aménagement des bâtiments intérieurs, mais aussi l’électricité nécessaire au chauffage en hiver. N’oublions pas les matériels d’entretien et ceux qu’utilisent vétérinaires et soigneurs. Ajoutons qu’un enclos n’est jamais définitif, car le milieu naturel peut toujours être enrichi afin d’inciter l’animal à redécouvrir son espace vital. Par exemple, le fait de cacher la nourriture pour amener l’animal à la chercher : ainsi il développera plus facilement un instinct naturel.
Source : http://www.lalsace.fr/actualite/2013/10 ... e-mulhouse
Les zoos modernes ont pour but d’améliorer le quotidien de leurs pensionnaires en créant des espaces adaptés. Pour cela, des études sont menées pour connaître leurs besoins et leurs comportements. Le zoo de Mulhouse s’est donc engagé à créer des espaces adaptés pour accueillir de nouvelles espèces, tel le bœuf musqué, le renard polaire. Le zoo prévoit également d’agrandir l’espace vital des ours polaires en créant trois enclos (un enclos pour les mâles, un enclos pour les femelles et un autre en cas de reproductions). Le parc accueillera désormais trois ours (un couple venant d’un autre zoo et l’ancienne femelle ours polaire Tina, hébergée au zoo de la Palmyre durant la rénovation). Les éléments de décor seront somptueux, avec différentes textures de sol à l’extérieur.
En tout, l’espace dédié aux ours couvrira 10 000 m². Quant au couple de loups à crinière, il devrait très prochainement intégrer son enclos très moderne, composé principalement de bois. Seront mis à leurs dispositions une rivière sèche, des abris, de l’herbe ou encore des minéraux. Il disposera également d’un espace assez vaste. Le public sera au plus près du couple, bénéficiant d’une vue panoramique grâce aux deux vitres de protections. Le groupe de cinq macaques de Tonkéan pourrait prochainement quitter le zoo, au cœur duquel la création d’un jardin des plantes géant est envisagée.
Tous les zoos du monde sont en relations quant aux échanges animaux. Mais, avant d’accueillir de nouvelles espèces, il faut respecter un cahier des charges. En effet créer des enclos modernes suppose des contraintes. La principale réside dans le respect de l’environnement naturel de l’animal, tout en intégrant des plantes qui ne doivent pas être néfastes à la santé de l’animal. Tout cela est coûteux, surtout l’aménagement des bâtiments intérieurs, mais aussi l’électricité nécessaire au chauffage en hiver. N’oublions pas les matériels d’entretien et ceux qu’utilisent vétérinaires et soigneurs. Ajoutons qu’un enclos n’est jamais définitif, car le milieu naturel peut toujours être enrichi afin d’inciter l’animal à redécouvrir son espace vital. Par exemple, le fait de cacher la nourriture pour amener l’animal à la chercher : ainsi il développera plus facilement un instinct naturel.
Source : http://www.lalsace.fr/actualite/2013/10 ... e-mulhouse