Réserve Zoologique de Calviac présente
Un Futur pour la Nature
Un Futur pour la Nature
« L’espoir de l’avenir, il est dans la nature et dans les hommes qui restent fidèles à la nature. » Felix-Antoine Savard, (1896-1982)
Résumé
En 2008 ouvre la Réserve Zoologique de Calviac : un conservatoire unique de la biodiversité dédié à la protection des espèces menacées. Cinq ans plus tard, un jeune réalisateur met en lumière ce projet de zoo à travers un court-métrage documentaire.
Synopsis :
Il demeure au plus profond de nous tous l’attachement à un monde vaste et sauvage. Un monde fait de jungles, de fleurs et d’animaux mal connus. Un monde qui nous semble loin, ailleurs. C'est cette nature oubliée que le zoo offre à son visiteur de retrouver.
Le film de Pascal Gaubert retrace l’histoire de cette rencontre entre l’animal et le visiteur, entre la nature et l'homme.
Et si le zoo devenait aujourd’hui le moyen de veiller sur elle ? Et si, dans un monde en pleine mutation, pouvait poindre enfin, ici, une conception responsable de la protection de la nature ? Et si, à Calviac, s’ouvrait un nouveau chapitre de cette histoire ?
Note d’intention :
Il y a encore 60 ans, les zoos étaient, avec la chasse sportive, l’une des premières causes du massacre des animaux sauvages. Aujourd’hui, pourtant, certains d’entre eux cherchent à lutter contre l’inexorable dévastation des écosystèmes et des populations animales.
Ce court-métrage documentaire mêle histoire(s) passée(s) et histoire(s) actuelle(s). Il traduit l’évolution de la démarche des zoos au cours du temps. Il s’interroge sur la place nouvelle du zoo dans la société et son implication dans la protection des espèces menacées.
La Réserve Zoologique de Calviac est l’un de ces zoos d’un genre nouveau. Le film met l’accent sur sa singularité : un parc qui privilégie avant tout le bien-être animal, un parc intégralement dédié à la préservation des espèces menacés, un parc dont les bénéfices sont destinés à des programmes de protection. Ainsi, même si l’animal de zoo est au centre du documentaire, il n’apparaît à l’image que lorsque la narration a démontré le sens de sa présence en ces lieux et transformé le regard que lui porte le spectateur.
Le zoo est aussi abordé du point de vue du public : l’enfant qui apprend à connaître la nature et s’étonne devant les lémuriens, le voisin qui cultive son jardin sous le regard des ibis chauves, le spécialiste qui transmet son savoir au plus grand nombre, le villageois qui raconte la création près de chez lui de ce lieu singulier ; tous sont interrogés et interviennent dans le documentaire, ponctuant discrètement les autres scènes du film.
Lieux de tournage :
L’essentiel du tournage se fera au sein de la Réserve de Calviac, à quelques kilomètres de Sarlat, en Dordogne, au lieu dit « Sous le Roc ».
D’autres séquences prises dans la région permettront de saisir l’implantation de la Réserve dans son territoire et l’implication des acteurs du voisinage. Enfin d’autres séquences seront tournées en bords de Loire et dans d’autres parcs zoologiques d’Europe qui ont façonné l’esprit de la Réserve et coopèrent avec elle au quotidien (Doué-la-Fontaine, Jersey, Arnhem).
Le réalisateur :
Pascal Gaubert est un jeune réalisateur issu de l’Institut Francophone pour la Formation au Cinéma Animalier de Ménigoute. Il a déjà réalisé deux courts métrages salués par la critique et les festivals français : prix du film documentaire, prix du meilleur court-métrage, prix des grandes écoles. Depuis, il a coréalisé un film de 52 minutes sur la forêt de Bialowieza en Pologne et réalisé des films pour des parcs nationaux ou des institutions publiques. En 2013, il travaille sur le film Le Plus Beau Pays du Monde qui sera diffusé sur France 2 à Noël 2013.
À quoi servira la collecte ?
Location du matériel de tournage : elle représente 2% du coût du matériel neuf soit environ 140€ par jour de tournage. Liste du matériel utilisé : Canon 5D ; objectif 17-40mm et 35 – 120mm ; trépied Sachtler ; enregistreur zoom H4N ; 1 couple de micro cardioïdes ; petit matériel (cartes compact flash, perche…); banc de montage : 1600€
Post production : achat d’images d’archives pour la partie historique, composition musicale, droits d’auteur : 1600 €
Transports (bateau, voiture) : déplacements au Durrell wildlife park (Jersey), au zoo d’Arnhem (Pays-Bas), au zoo de Kessingland (Angleterre), en Gironde pour observer l’habitat du vison d’Europe et à Toulouse pour récupérer les Visons arrivant d’Estonie : 1100 €
Impression DVD (1000 pièces) : 1100€
Total : 5400 €
Pour soutenir le projet, http://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/un-futur-pour-la-nature