Un babouin en cavale stoppé sur le toit d'une maison dans le quartier Odysseum
« Ce n’était pas un babouin d’opérette », lâche cet officier des sapeurs-pompiers héraultais. Il est vrai que, samedi après-midi, ses collègues ont dû user de patience et de prudence pour capturer ce cynocéphale. Lequel s’était réfugié sur le toit d’une maison de la rue Tarido, dans le quartier d’Odysseum. Visiblement surexcité, l’animal se montrait agressif et refusait tout net de quitter son promontoire.
Un vétérinaire a donc été appelé en renfort. Et un coup de fusil hypodermique plus tard, le singe catarhinien avait perdu de sa gouaille et de sa superbe. Dormant comme un bébé, il a ensuite été récupéré par des agents de l’Office national des forêts d’Olargues. Lesquels ont, dans un premier temps, contacté le zoo de Lunaret. Mais le site montpelliérain n’ayant plus de place pour accueillir ce pensionnaire, les fonctionnaires ont ensuite confié l’animal à une association basée près de Bédarieux. C’est là que l’animal devrait rester en quarantaine. Un temps nécessaire pour s’assurer qu’il n’est porteur d’aucun virus.
Reste désormais à savoir à qui appartient cet animal et s’il a été volontairement abandonné ou s’il s’est échappé. Un travail de police qui s’annonce d’ores et déjà compliqué. À moins, peut-être, de menacer le primate d’un placement en garde à vue.
Source : http://www.midilibre.com/articles/2010/ ... 46035.php5
« Ce n’était pas un babouin d’opérette », lâche cet officier des sapeurs-pompiers héraultais. Il est vrai que, samedi après-midi, ses collègues ont dû user de patience et de prudence pour capturer ce cynocéphale. Lequel s’était réfugié sur le toit d’une maison de la rue Tarido, dans le quartier d’Odysseum. Visiblement surexcité, l’animal se montrait agressif et refusait tout net de quitter son promontoire.
Un vétérinaire a donc été appelé en renfort. Et un coup de fusil hypodermique plus tard, le singe catarhinien avait perdu de sa gouaille et de sa superbe. Dormant comme un bébé, il a ensuite été récupéré par des agents de l’Office national des forêts d’Olargues. Lesquels ont, dans un premier temps, contacté le zoo de Lunaret. Mais le site montpelliérain n’ayant plus de place pour accueillir ce pensionnaire, les fonctionnaires ont ensuite confié l’animal à une association basée près de Bédarieux. C’est là que l’animal devrait rester en quarantaine. Un temps nécessaire pour s’assurer qu’il n’est porteur d’aucun virus.
Reste désormais à savoir à qui appartient cet animal et s’il a été volontairement abandonné ou s’il s’est échappé. Un travail de police qui s’annonce d’ores et déjà compliqué. À moins, peut-être, de menacer le primate d’un placement en garde à vue.
Source : http://www.midilibre.com/articles/2010/ ... 46035.php5
