Un ours polaire en Auverge pour le tournage d'un film...
Ours, chevaux, bisons, rapaces… Il ne manque que les mammouths, dont le décorateur a reconstitué un squelette, à la ménagerie préhistorique de Jacques Malaterre. Tous ces animaux présents dans le film "Ao", sur l'homme de Néandertal, existaient à l’époque préhistorique. Le réalisateur a utilisé des chevaux hollandais gris-blanc de race Fjord, un troupeau de bisons d’élevage du sud de la France, et un ours polaire venu de Vancouver.
C’est le célèbre dresseur Jean-Philippe Varin qui a supervisé les séquences animalières. « Les bisons sont des têtes de lard, plus puissants que des taureaux camarguais. Il a fallu les habituer à emprunter un itinéraire en les attirant avec de la nourriture. C’est le même principe pour les vautours, qu’on pousse à rester sur le squelette du mammouth en dissimulant de la viande », détaille le dresseur.
La séquence du combat avec l’ours (une femelle), tournée en Auvergne, du côté de La Bourboule, fut la plus dangereuse à réaliser. C’est son dresseur canadien, le seul à pouvoir l’approcher, qui a doublé l’acteur principal. Au préalable, il lui avait fallu déshabituer l’animal, car il est naturellement programmé pour attaquer quand il aperçoit de la fourrure. La séquence a été tournée dans une zone de sécurité protégée de grillages. Des techniciens se tenaient tout autour, armés de fusils à seringues hypodermiques, au cas où le plantigrade s’échapperait.
Source : http://www.leparisien.fr/loisirs-et-spe ... 087181.php
Ours, chevaux, bisons, rapaces… Il ne manque que les mammouths, dont le décorateur a reconstitué un squelette, à la ménagerie préhistorique de Jacques Malaterre. Tous ces animaux présents dans le film "Ao", sur l'homme de Néandertal, existaient à l’époque préhistorique. Le réalisateur a utilisé des chevaux hollandais gris-blanc de race Fjord, un troupeau de bisons d’élevage du sud de la France, et un ours polaire venu de Vancouver.
C’est le célèbre dresseur Jean-Philippe Varin qui a supervisé les séquences animalières. « Les bisons sont des têtes de lard, plus puissants que des taureaux camarguais. Il a fallu les habituer à emprunter un itinéraire en les attirant avec de la nourriture. C’est le même principe pour les vautours, qu’on pousse à rester sur le squelette du mammouth en dissimulant de la viande », détaille le dresseur.
La séquence du combat avec l’ours (une femelle), tournée en Auvergne, du côté de La Bourboule, fut la plus dangereuse à réaliser. C’est son dresseur canadien, le seul à pouvoir l’approcher, qui a doublé l’acteur principal. Au préalable, il lui avait fallu déshabituer l’animal, car il est naturellement programmé pour attaquer quand il aperçoit de la fourrure. La séquence a été tournée dans une zone de sécurité protégée de grillages. Des techniciens se tenaient tout autour, armés de fusils à seringues hypodermiques, au cas où le plantigrade s’échapperait.
Source : http://www.leparisien.fr/loisirs-et-spe ... 087181.php