Nouveautes 2017 dans les parcs francais

[raphaël]

N'est ce pas un enclos qui abritait des wallabies ?

[zoovenirs]

Ils sont installés à la place des grues de Manchourie, si je me souviens bien.

[Philippe]

Six guépards au Zoo de la Barben (13)

C'est la première fois que ce zoo accueille cette espèce mythique ! Il s'agit d'une mère âgée de 8 ans et de ses jeunes enfants nés en juin 2015. Un espace végétalisé de 3.000m2 leur est dédié spécialement adapté aux besoins de ce félin.

La famille de félin est arrivée mercredi 26 avril dernier en provenance du Safari de Peaugres en Ardèche. Un parc spécialisé dans la reproduction de cette espèce mythique et très menacée.

Une grande famille

Un groupe de 6 guépards : la mère, Tamika, âgée de 8 ans et ses cinq petits (XL, Xtra, Xena, Xenon et Xeres).

Pour leur arrivée, le zoo s'est agrandit. 3.000 m² végétalisés ont été adaptés aux besoins de ces nouveaux pensionnaires. " C'est une espèce qui aime se mettre en hauteur. Nous leur avons donc créé une bute au milieu de leur enclos pour qu'ils puissent surplomber leur parc ", explique Louis Pons, co-gérant du zoo.

Cette arrivée est un réel événement pour le zoo qui accueille cette espèce mythique pour la première fois. " On a ouvert un nouvel espace pour les visiteurs. C'est un véritable agrandissement du parc. "

Les guépards dans le collimateur

Dans les prochains jours, les soigneurs animaliers étudieront la réaction des six guépards. " Il est important qu'ils ne stressent pas et qu'ils gardent leur complicité comme dans l'ancien parc ", commente Mathieu, soigneur des carnivores.

La responsable zoologique fera également attention à leur nutrition. " Il est important qu"ils mangent bien. Ils se nourrissent uniquement de viande fraîche. Ils sont très sensibles à la digestion. Il faut des livraisons spéciales de viandes fraîches tous les jours. La gestion sera plus compliquée ", explique Adeline, responsable zoologique et pédagogique.

Le guépard : médaille d'or du sprint

Ce félin africain est l'animal terrestre le plus rapide au monde. Il peut atteindre les 110km/h mais cela sur quelques centaines de mètres seulement. Il n'est pas très endurant, sa température corporelle monte rapidement et ses muscles se tétanisent.

Une espèce menacée

En 2016, il ne restait plus que 7.100 d'entre eux en Afrique et 49 en Iran.

Ceci est dû à la raréfaction de leur habitat et des proies, liée principalement à l’activé humaine. De plus, cette espèce est depuis longtemps chassée et braconnée pour sa fourrure.

Les zoos se mobilisent

Les zoos d'Europe ont mis en place un Programme d'élevage européen : les échanges d'animaux entre les parcs ainsi que la reproduction sont gérés de manière très rigoureuse.

Source : France Bleu Provence.

[Philippe]

Refuge de l'Arche (Mayenne) : les coatis bruns déménagent

Mercredi 3 mai 2017, les coatis bruns ont déménagé pour s'installer avec les ratons-laveurs.
Le premier couple de coatis était détenu par des particuliers du département de l'Orne. Les propriétaires qui ne possédaient pas les autorisations obligatoires pour les détenir ont du se séparer de leurs animaux dans l'urgence Ceux-ci sont arrivés au Refuge de l'Arche le 7 décembre 2007.

Source : page Facebook du Refuge de l'Arche.

[mokoko]

La Barben: cet enclos a l'air magnifique du point de vu de la conception enfin quelque chose qui ressemble vraiment à un habitat naturel ça me rappelle mon safari au kenya

Les sables d'ozone: si les potamochères se trouvent à la place des grues de Mandchourie alors ce n'est pas du tout à coté des girafes c'est même à l'opposé

[kelloche53]

C'est bizarre, pour le refuge j'ai beau chercher dans ma mémoire, je ne me souviens pas d'y avoir vu des coatis .. ma dernière visite remonte à juin 2016 pourtant c'est pas si loin ^^

Si quelqu'un à une idée d'où ils étaient dans le parc avant

[Philippe]

Safari de Peaugres (Ardèche) : le tatou déménage !

Le tatou du Safari de Peaugres a déménagé, passant de la rerre aux 1000 cachettes à celle des Minus.
Cette nouvelle serre de 450 m2 est entièrement consacrée aux animaux d’Amérique du Sud.
Source : page Facebook du Safari de Peaugres.
Et un lien vers une vidéo présentant le nouvel environnement de ce tatou : https://www.facebook.com/safari.de.peau ... 922408142/

[Vinch]

La Barben: cet enclos a l'air magnifique du point de vu de la conception enfin quelque chose qui ressemble vraiment à un habitat naturel ça me rappelle mon safari au kenya

Les sables d'ozone: si les potamochères se trouvent à la place des grues de Mandchourie alors ce n'est pas du tout à coté des girafes c'est même à l'opposé

Ils sont installés à la place des grues de Manchourie, si je me souviens bien.

D'accord, merci. Je me souviens très bien où étaient les grues de Mandchourie. Effectivement, pas du tout à côté des girafes, et l'enclos n'est pas très grand.

[Philippe]

Région Rhône-Alpes-Auvergne : de zoo en zoo, à la rencontre des nouveaux venus de l’année dans la région

À chaque saison, son lot de naissances et d’arrivées. Présentation de quelques-uns de ces animaux fascinants que vous pouvez découvrir dans les parcs de la région.

Un « drôle » de chien des buissons à Peaugres
Il a un corps allongé, des pattes courtes et une drôle de frimousse carrée, rehaussée de petites oreilles… Voici le chien des buissons. Un canidé, au comportement social proche de celui du loup, que l’on retrouve en Amérique centrale et du sud, dans les forêts et zones marécageuses. Animal semi-aquatique, il plonge et nage avec une grande aisance grâce aux membranes qu’il a entre les doigts. En Ardèche, le Safari de Peaugres vient d’accueillir deux spécimens, deux femelles nées dans un zoo danois. L’occasion d’en apprendre encore plus sur cet animal étonnant, assez rare dans les zoos européens.

A Peaugres. Tarifs : de 21 à 24 €. http://www.safari-peaugres.com

La belle panthère des neiges du Parc animalier d’Auvergne
L’an dernier, le Parc animalier d’Auvergne, dans le Puy-de-Dôme, avait accueilli une panthère des neiges mâle (Gabriel) issue du zoo d’Helsinki. Fin février, elle a été rejointe par une jolie femelle d’un an (Taja), dans l’enclos qui reproduit l’habitat naturel de ces félins de l’extrême (ils évoluent jusqu’à 5 500 m d’altitude). Avec sa robe gris pâle à gris jaune constellée de taches pleines et de rosettes, ses pattes courtes, ses pieds larges, son regard captivant, sa longue queue qui représente presque la moitié de sa longueur totale, elle est belle, cette panthère. À l’état sauvage, cette espèce est en danger. Dans les montagnes d’Asie centrale, de Sibérie et de l’Altaï, moins de 6 000 individus sont recensés. Vous pouvez aussi découvrir des spécimens de panthères des neiges au Parc d’attractions et animalier du Pal, dans l’Allier.

A Ardes-sur-Couze. Tarifs : de 15 à 17 €. http://www.parcanimalierdauvergne.fr

Les fascinants alligators du Mississippi du Pal
Quasi-mascotte des Everglades, en Floride, ou des bayous de Louisiane, l’alligator du Mississippi évolue exclusivement aux USA.

On le retrouve (mais c’est plus rare) jusqu’au sud de l’état de New York. Effrayant, sauvage, fascinant, il a fait son apparition au zoo du Pal, dans l’Allier.

Le parc vient d’accueillir 22 spécimens (3 mâles, 19 femelles) dans un écosystème reconstitué en extérieur, proche de leur milieu naturel.

A Saint-Pourçain-sur-Besbre. Tarifs : de 25 à 28 €. http://www.lepal.com

Carnets rose et bleu à Touroparc
En Saône-et-Loire, Touroparc vient de connaître plusieurs naissances ces derniers mois. Il y a ces adorables bébés galagos du Sénégal (de petits primates des forêts et savanes d’Afrique tropicale), ces jolis makis catta (des lémurs de Madagascar)… Ou encore ces drôles de petits maras, plus connus sous le nom de lièvres de Patagonie…

Le zoo attend d’autres naissances dans les mois à venir : de girafes, de tortues, de zèbres de Grévy (ils évoluent au Kenya et en Éthiopie), d’aras… Une vraie petite nurserie.

A Romanèche-Thorins. Tarifs : de 16,90 à 23,90 €. http://www.touroparc.com

Source : Le Progrès.

Un tout d'horizon très incomplet sans, notamment, Lyon, Saint-Martin-la-Plaine, Villars-les-Dombes ou encore Les Abrets...

[Philippe]

Allier : Le PAL dévoile son Alligator Park

Cette année, l’alligator Park est l’une des nouveautés du PAL, parc animalier et parc d'attractions, situé près de Moulins (Allier). Vingt-deux « alligators du Mississippi » se sont installés dans une zone aquatique naturelle de 3.000 m2 .

Venus d'Espagne, du Danemark et d'autres parcs français, vingt-deux alligators sont arrivés au PAL fin mars. Ils ont ensuite hiverné jusqu'aux beaux jours, afin de prendre place dans l'environnement naturel qui leur a été aménagé.

« Ces carnivores sont séparés en trois bassins différents selon leur taille. Un premier bassin comporte quatre adultes, de 2 à 3,8 mètres. Le second accueille neuf "adolescents" de 2,50 mètres environ. Puis le dernier bassin reçoit onze jeunes alligators d'1,50 mètre. Nous avons recréé leurs conditions naturelles d'Amérique. C'est une installation unique en Europe, avec une eau chauffée autour des 23 degrés, mais également filtrée grâce aux plantes », explique Arnaud Bennet, le directeur du parc animalier.

Une équipe de cinq dresseurs soigneurs, habitués aux mammifères marins du PAL, a dû apprendre à s'occuper de ces carnivores.

« Il nous faudra du temps pour apprendre à connaître ces alligators, et pour qu'ils aient confiance en nous. De plus, nous les approchons principalement lors des repas. Mais il faut savoir qu'un alligator ne mange que 3 % de son poids. C'est-à-dire que Georges, notre plus vieil alligator de 25 ans, et qui pèse 130 kg, ne mange qu'un poulet par semaine et pendant la période de l'hivernage, ils ne mangent pas du tout. Si ce carnivore est dangereux, c'est à cause de son instinct de territoire, qu'il cherche à protéger », détaille Anne-Sophie Simonet, qui fait partie de l'équipe des soigneurs dresseurs.

Trois mâles et dix-neuf femelles sont installés dans les différents bassins. La reproduction est l'un des prochains objectifs du PAL. « Une "baby station" est prévue afin d'accueillir les bébés alligators. Un œuf qui éclôt à 30 degrés sera une femelle, alors qu'à 33 degrés ce sera un mâle. Nous pouvons ainsi gérer la reproduction de cette espèce », décrit Anne-Sophie Simonet.

S'occuper des alligators consiste notamment à les observer et à vérifier la filtration de l'eau. « C'est assez drôle de voir les alligators cohabiter avec les tortues. Vu qu'ils mangent peu, nous leur donnons des souris, des poissons ou encore des rats, et ils ne sont donc pas tentés de manger les tortues à côté d'eux », explique Anne-Sophie Simonet.

Scénographie. Sous forme d’un parcours pédagogique, les visiteurs sont invités à traverser des ponts suspendus et des vieux bâtiments abandonnés. L’histoire imaginée et proposée est celle d’un vieux parc d’élevage d’alligators abandonné, qui a été dévasté suite à un ouragan dans le bayou du Mississippi. Cette installation a été créée à l’occasion de ce scénario mais aussi pour reconstituer l’écosystème naturel des alligators.

Source (avec reportage vidéo et diaporama) : http://www.lamontagne.fr/moulins/loisir ... 01537.html

[zoovenirs]

Quelques nouvelles photos de l'avancée des travaux de l'enclos des jaguars.

[MartinKülker]

Ça ma l'air petit !

[Joseph]

Je trouve aussi cela ridiculement petit ... De plus, les félins ne pourront surement pas se soustraire à la vue du public avec ce point de vue surplombant l'enclos.

[guirosama]

C'est affreusement vide surtout

[Macan]

En effet c'est minuscule, j'espère n'y voir qu'un individu. Je ne peux m'empêcher de comparer cette volière à la nouvelle des chats viverrins de la flèche, visiblement plus grande pour une espèce beaucoup plus petite...