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Le nouveau Vincennes 09/2011 - 04/2014 ?
Re: Le nouveau Vincennes 09/2011 - 04/2014 ?
Je crois me souvenir d'un rapport de CA du museum, que les entrées seront gérées par l'entreprise du ppp ,et non pas par le mnhn qui paiera l'entretient et le remboursement soit pres de 10 millions par an, mais je ne suis pas sur du tout, est ce que quelqu'un en sait plus ?
- okapia johnstoni
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Re: Le nouveau Vincennes 09/2011 - 04/2014 ?
J'essaierai de faire des photos prochainement, j'ai fait le tour en voiture récemment, j'ai le sentiment que les travaux sont bien avancés et que l'on en est au stade des finitions et de l'enrichissement des enclos, je suis persuadé que tout sera prêt pour avril 2014 comme prévu .
En France , la liberté d'expression est un principe intangible, c'est sur cette base que toute personne peut librement émettre une opinion, positive ou négative, sur un sujet mais aussi sur une personne physique ou morale, une institution .
- didier
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Re: Le nouveau Vincennes 09/2011 - 04/2014 ?
Entretien paru dans Valeurs actuelles le 28/03/2013 :
Dans un an, le zoo de Vincennes rouvrira ses portes. Sa nouvelle directrice, Sophie Ferreira Le Morvan, explique sur quels arguments scientifiques et pédagogiques nouveaux il a été conçu. Elle revient aussi sur les délicates opérations de placement des animaux dans d’autres institutions pendant les travaux.
Plus de trois années de travaux, de 2011 à 2014, pour rénover le Parc zoologique de Paris, familièrement appelé zoo de Vincennes : le chantier s’imposait en raison de l’obsolescence du parc, mais surtout du changement de mission des zoos. Ce ne sont plus des vitrines où sont exposés les animaux ; ils participent à la conservation des espèces menacées d’extinction, s’impliquent dans les programmes scientifiques d’élevage et contribuent à une meilleure connaissance de la biodiversité. Récemment nommée à la tête du Parc zoologique de Paris, qui dépend, comme le Jardin des Plantes, du Muséum national d’histoire naturelle, Sophie Ferreira Le Morvan, professionnelle de la gestion des sites touristiques complexes, devra mettre en valeur les espèces abritées par le zoo.
Quels seront les grands changements ?
Le Muséum national d’histoire naturelle a conduit une réflexion sur l’écosystème, le bien-être animal et l’immersion du visiteur. Nous avons pris le parti de supprimer, autant que possible, les barrières visuelles entre les visiteurs et les animaux, qui deviendront des ambassadeurs de la nature. Pour cela, nous avons réalisé un énorme travail de réaménagement avec la création de plaines (la surface arbustive a été augmentée de 40 %), de talus et de buttes.
Pour offrir des points de vue variés, les parcours empruntés par les visiteurs seront volontairement sinueux ; ils leur réserveront bien des surprises… Il y aura notamment des enclos d’immersion, comme une serre de 1 466 mètres carrés : les oiseaux voleront dans le même espace que celui où déambuleront les visiteurs. Mais nous avons voulu également conserver l’esprit de l’ancien zoo, avec son environnement très minéral et une forte présence des rochers, notamment le “grand rocher”, élément emblématique du parc zoologique depuis son ouverture, en 1934.
En quoi les zoos parisiens (Vincennes et le Jardin des Plantes) se différencieront-ils ?
Chacun aura ses propres collections animales et son identité propre ; il existera une complémentarité entre les collections des deux zoos. Nous avons choisi, par exemple, de centrer la ménagerie du Jardin des Plantes autour de l’Asie. C’est avant tout un choix guidé par la surface disponible dans les deux parcs.
Qu’avez-vous fait des animaux pendant les travaux ?
Nous avons dispersé la quasi-totalité d’entre eux. Avant le début des travaux, en 2011, le zoo comptait entre huit cents et mille animaux répartis en 170 espèces. Dès 2006, nous avons pris contact avec plusieurs dizaines d’établissements dans le monde entier, en France, en Europe, en Afrique et même aux États-Unis pour essayer de placer — temporairement ou définitivement — les animaux. Cela a été un travail de longue haleine, qui s’est poursuivi jusqu’en 2010.
Seuls les grands hapalémurs (des lémuriens fragiles) et les girafes, un autre des symboles du Parc zoologique de Paris, sont restés sur place. Deux raisons à cela : d’abord, l’importance du troupeau de girafes (seize membres), qu’il était difficile de disperser. Ensuite, déplacer les girafes, avec tous les risques que cela comporte, aurait compromis une à deux saisons de reproduction.
Quelles espèces ont été les plus faciles à placer ?
Sans conteste les plus rares ! Les lémuriens, par exemple, ont été très rapidement dispersés, car les zoos parisiens ont développé une expertise reconnue mondialement dans l’élevage des propithèques. En revanche, nous avons eu plus de difficultés à trouver des points de chute pour les ours, animaux généralement très répandus dans les zoos. Les ours bruns “souffrent” aussi de leur longue espérance de vie, ce qui ne facilite pas leur placement. Pour les plantigrades, nous avons commencé nos recherches dès 2004 ; ils ne reviendront vraisemblablement pas au Parc zoologique de Paris, pour des raisons de bien-être, car les ours ont besoin de grands enclos pour être à l’aise et aussi parce que la collection animale a changé, mais nous continuons à les suivre à distance…
Comment se sont déroulés les placements temporaires ?
Nous nous sommes rendu compte que certains d’entre eux s’étaient traduits par des naissances… Le problème de la “garde” de la progéniture a été réglé au cas par cas, suivant que cette éventualité ait été ou non prévue dans le contrat de dépôt.
Mais très souvent, une grande partie des animaux n’appartient pas à un zoo ; ils font fait partie d’un plan d’élevage européen. Des coordonnateurs, chargés de suivre le développement des espèces animales, ont donc géré les naissances. Nous avons rencontré tous les cas de figure — don, retour et partage de progéniture —, mais cela n’a jamais donné lieu à des contreparties financières.
Comment se passera le retour des animaux ?
Tout est prévu et certains animaux, comme les fourmiliers, les lémuriens et quelques oiseaux, sont déjà arrivés. C’est une étape extrêmement réglementée pour tout ce qui concerne la veille sanitaire. Les animaux seront mis en quarantaine et des examens plus ou moins poussés selon leur origine seront pratiqués pour s’assurer de leur état de santé.
Leur retour est une période complexe, car, dans le même temps, les travaux du zoo se poursuivent. Mais nous sommes armés pour y faire face : faire partie du Muséum national d’histoire naturelle est une force ; nous pouvons compter sur l’excellence de cette grande institution en recherche et en expertise.
Propos recueillis par Frédéric Paya .
Dans un an, le zoo de Vincennes rouvrira ses portes. Sa nouvelle directrice, Sophie Ferreira Le Morvan, explique sur quels arguments scientifiques et pédagogiques nouveaux il a été conçu. Elle revient aussi sur les délicates opérations de placement des animaux dans d’autres institutions pendant les travaux.
Plus de trois années de travaux, de 2011 à 2014, pour rénover le Parc zoologique de Paris, familièrement appelé zoo de Vincennes : le chantier s’imposait en raison de l’obsolescence du parc, mais surtout du changement de mission des zoos. Ce ne sont plus des vitrines où sont exposés les animaux ; ils participent à la conservation des espèces menacées d’extinction, s’impliquent dans les programmes scientifiques d’élevage et contribuent à une meilleure connaissance de la biodiversité. Récemment nommée à la tête du Parc zoologique de Paris, qui dépend, comme le Jardin des Plantes, du Muséum national d’histoire naturelle, Sophie Ferreira Le Morvan, professionnelle de la gestion des sites touristiques complexes, devra mettre en valeur les espèces abritées par le zoo.
Quels seront les grands changements ?
Le Muséum national d’histoire naturelle a conduit une réflexion sur l’écosystème, le bien-être animal et l’immersion du visiteur. Nous avons pris le parti de supprimer, autant que possible, les barrières visuelles entre les visiteurs et les animaux, qui deviendront des ambassadeurs de la nature. Pour cela, nous avons réalisé un énorme travail de réaménagement avec la création de plaines (la surface arbustive a été augmentée de 40 %), de talus et de buttes.
Pour offrir des points de vue variés, les parcours empruntés par les visiteurs seront volontairement sinueux ; ils leur réserveront bien des surprises… Il y aura notamment des enclos d’immersion, comme une serre de 1 466 mètres carrés : les oiseaux voleront dans le même espace que celui où déambuleront les visiteurs. Mais nous avons voulu également conserver l’esprit de l’ancien zoo, avec son environnement très minéral et une forte présence des rochers, notamment le “grand rocher”, élément emblématique du parc zoologique depuis son ouverture, en 1934.
En quoi les zoos parisiens (Vincennes et le Jardin des Plantes) se différencieront-ils ?
Chacun aura ses propres collections animales et son identité propre ; il existera une complémentarité entre les collections des deux zoos. Nous avons choisi, par exemple, de centrer la ménagerie du Jardin des Plantes autour de l’Asie. C’est avant tout un choix guidé par la surface disponible dans les deux parcs.
Qu’avez-vous fait des animaux pendant les travaux ?
Nous avons dispersé la quasi-totalité d’entre eux. Avant le début des travaux, en 2011, le zoo comptait entre huit cents et mille animaux répartis en 170 espèces. Dès 2006, nous avons pris contact avec plusieurs dizaines d’établissements dans le monde entier, en France, en Europe, en Afrique et même aux États-Unis pour essayer de placer — temporairement ou définitivement — les animaux. Cela a été un travail de longue haleine, qui s’est poursuivi jusqu’en 2010.
Seuls les grands hapalémurs (des lémuriens fragiles) et les girafes, un autre des symboles du Parc zoologique de Paris, sont restés sur place. Deux raisons à cela : d’abord, l’importance du troupeau de girafes (seize membres), qu’il était difficile de disperser. Ensuite, déplacer les girafes, avec tous les risques que cela comporte, aurait compromis une à deux saisons de reproduction.
Quelles espèces ont été les plus faciles à placer ?
Sans conteste les plus rares ! Les lémuriens, par exemple, ont été très rapidement dispersés, car les zoos parisiens ont développé une expertise reconnue mondialement dans l’élevage des propithèques. En revanche, nous avons eu plus de difficultés à trouver des points de chute pour les ours, animaux généralement très répandus dans les zoos. Les ours bruns “souffrent” aussi de leur longue espérance de vie, ce qui ne facilite pas leur placement. Pour les plantigrades, nous avons commencé nos recherches dès 2004 ; ils ne reviendront vraisemblablement pas au Parc zoologique de Paris, pour des raisons de bien-être, car les ours ont besoin de grands enclos pour être à l’aise et aussi parce que la collection animale a changé, mais nous continuons à les suivre à distance…
Comment se sont déroulés les placements temporaires ?
Nous nous sommes rendu compte que certains d’entre eux s’étaient traduits par des naissances… Le problème de la “garde” de la progéniture a été réglé au cas par cas, suivant que cette éventualité ait été ou non prévue dans le contrat de dépôt.
Mais très souvent, une grande partie des animaux n’appartient pas à un zoo ; ils font fait partie d’un plan d’élevage européen. Des coordonnateurs, chargés de suivre le développement des espèces animales, ont donc géré les naissances. Nous avons rencontré tous les cas de figure — don, retour et partage de progéniture —, mais cela n’a jamais donné lieu à des contreparties financières.
Comment se passera le retour des animaux ?
Tout est prévu et certains animaux, comme les fourmiliers, les lémuriens et quelques oiseaux, sont déjà arrivés. C’est une étape extrêmement réglementée pour tout ce qui concerne la veille sanitaire. Les animaux seront mis en quarantaine et des examens plus ou moins poussés selon leur origine seront pratiqués pour s’assurer de leur état de santé.
Leur retour est une période complexe, car, dans le même temps, les travaux du zoo se poursuivent. Mais nous sommes armés pour y faire face : faire partie du Muséum national d’histoire naturelle est une force ; nous pouvons compter sur l’excellence de cette grande institution en recherche et en expertise.
Propos recueillis par Frédéric Paya .
En France , la liberté d'expression est un principe intangible, c'est sur cette base que toute personne peut librement émettre une opinion, positive ou négative, sur un sujet mais aussi sur une personne physique ou morale, une institution .
- didier
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Re: Le nouveau Vincennes 09/2011 - 04/2014 ?
Photos prises le 30/03/2013 :

La galerie située à l'entée .

zone située entre la sortie de la galerie et la grande serre .


Enclos des loutres (peu de changement ?)

Sur la droite c'est l'enclos des babouins de Guinée , en zoomant , çà donne çà :

Le haut de l'enclos (contre le grand rocher) :


La galerie située à l'entée .

zone située entre la sortie de la galerie et la grande serre .


Enclos des loutres (peu de changement ?)

Sur la droite c'est l'enclos des babouins de Guinée , en zoomant , çà donne çà :

Le haut de l'enclos (contre le grand rocher) :

En France , la liberté d'expression est un principe intangible, c'est sur cette base que toute personne peut librement émettre une opinion, positive ou négative, sur un sujet mais aussi sur une personne physique ou morale, une institution .
- didier
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Re: Le nouveau Vincennes 09/2011 - 04/2014 ?
La suite :

Un bâtiment pour herbivore (ancienne zone des loups blancs) .
Pour les nostalgiques , on arrive à la seule zone préservée (mini ferme , oryx beisa) où j'ai pu apercevoir des ratites juvéniles .


Un bâtiment qui m'a intrigué ?
Toujours sur cette même avenue , une structure toute en longueur qui rejoint l'entrée principale :


Un bâtiment pour herbivore (ancienne zone des loups blancs) .
Pour les nostalgiques , on arrive à la seule zone préservée (mini ferme , oryx beisa) où j'ai pu apercevoir des ratites juvéniles .


Un bâtiment qui m'a intrigué ?

Toujours sur cette même avenue , une structure toute en longueur qui rejoint l'entrée principale :

En France , la liberté d'expression est un principe intangible, c'est sur cette base que toute personne peut librement émettre une opinion, positive ou négative, sur un sujet mais aussi sur une personne physique ou morale, une institution .
- didier
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Re: Le nouveau Vincennes 09/2011 - 04/2014 ?
En France , la liberté d'expression est un principe intangible, c'est sur cette base que toute personne peut librement émettre une opinion, positive ou négative, sur un sujet mais aussi sur une personne physique ou morale, une institution .
- didier
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Re: Le nouveau Vincennes 09/2011 - 04/2014 ?
Merci beaucoup pour ces photos Didier !!
Voilà toujours le plan pour s'y retrouver : http://www.leprintempsdesanimaux.fr/jpeg/le%20projet/grandes/E78C.jpg
Les deux bâtiments en longueur de part et d'autre de l'entrée sont tout simplement les bâtiments d'accueil (caisses, boutique...) Ils seront normalement recouverts de grillages sur lesquels monteront des plantes grimpantes (on voit les grillages et leur structure.)
La première volière que tu montres devrait être celle des fossas.
Le bâtiment que tu montres avec les deux portes pourrait être celui qui accueillerait des okapis ?
Le bâtiment en moellons roses je ne vois pas... Il est où exactement ?
La volière de la fin, du coté du lac ce serait celle des pumas.
Voilà toujours le plan pour s'y retrouver : http://www.leprintempsdesanimaux.fr/jpeg/le%20projet/grandes/E78C.jpg
Les deux bâtiments en longueur de part et d'autre de l'entrée sont tout simplement les bâtiments d'accueil (caisses, boutique...) Ils seront normalement recouverts de grillages sur lesquels monteront des plantes grimpantes (on voit les grillages et leur structure.)
La première volière que tu montres devrait être celle des fossas.
Le bâtiment que tu montres avec les deux portes pourrait être celui qui accueillerait des okapis ?
Le bâtiment en moellons roses je ne vois pas... Il est où exactement ?
La volière de la fin, du coté du lac ce serait celle des pumas.
- Antoine6259
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Re: Le nouveau Vincennes 09/2011 - 04/2014 ?
La volière est plus haute que ce que laisse supposer la photo, je ne pense pas qu'elle soit destinée à des pumas .
J'étais côté lac, à mi avenue, lorsque j'ai photographié le bâtiment "rose", on aperçoit la grande serre derrière .
J'étais côté lac, à mi avenue, lorsque j'ai photographié le bâtiment "rose", on aperçoit la grande serre derrière .
En France , la liberté d'expression est un principe intangible, c'est sur cette base que toute personne peut librement émettre une opinion, positive ou négative, sur un sujet mais aussi sur une personne physique ou morale, une institution .
- didier
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Re: Le nouveau Vincennes 09/2011 - 04/2014 ?
Oui j'ai vu tout ça aussi. Je trouve l'enclos des babouins et le haut rocher situé à côté très beaux. Et je trouve que ça ressemble énormément à l'ancien Zoo. D'ailleurs ce rocher était présent dans l'ancien Zoo.
Antoine6259, tes identifications des bâtiments me semblent correctes mais j'ai un doute pour celui que tu as désigné comme étant celui des okapis: je penserais plutôt à celui des lions, car l'emplacement de la zone Afrique équatoriale sera dans un premier temps un espace de détente pour les visiteurs, et je ne vois pas pourquoi ils construiraient les bâtiments animaliers plusieurs années avant l'ouverture de la zone.
Antoine6259, tes identifications des bâtiments me semblent correctes mais j'ai un doute pour celui que tu as désigné comme étant celui des okapis: je penserais plutôt à celui des lions, car l'emplacement de la zone Afrique équatoriale sera dans un premier temps un espace de détente pour les visiteurs, et je ne vois pas pourquoi ils construiraient les bâtiments animaliers plusieurs années avant l'ouverture de la zone.
« Les oiseaux ne descendent pas des dinosaures, ce sont des dinosaures à proprement parler. »
Guillaume Lecointre
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gibbon - Messages: 2657
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Re: Le nouveau Vincennes 09/2011 - 04/2014 ?
J'ai l'impression Didier qu'il ne faut pas trop se fier à la hauteur qui est trompeuse... Car si on regarde la photo de l'autre volière, on peut voir que les fondations sont visibles et que le niveau du sol sera sûrement rehaussé. Peut-être en est-il de même pour l'autre ?
Gibbon, ce n'est pas toi qui avait entendu que les okapis seraient peut-être présents dés la ré-ouverture, bien que la zone consacrée à l'Afrique tropicale soit prévue pour plus tard ?
Car justement, j'avais vu un plan du parc avec la fameuse zone de détente dessus (donc sans la zone Afrique tropicale) et on avait l'impression que la bâtiment des okapis s'y trouvait aussi... Il faudrait que je le retrouve !
Gibbon, ce n'est pas toi qui avait entendu que les okapis seraient peut-être présents dés la ré-ouverture, bien que la zone consacrée à l'Afrique tropicale soit prévue pour plus tard ?
Car justement, j'avais vu un plan du parc avec la fameuse zone de détente dessus (donc sans la zone Afrique tropicale) et on avait l'impression que la bâtiment des okapis s'y trouvait aussi... Il faudrait que je le retrouve !
- Antoine6259
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Re: Le nouveau Vincennes 09/2011 - 04/2014 ?
Tiens voilà, c'était le plan montré par ActuZoo pour la visite du chantier : http://i34.servimg.com/u/f34/12/94/28/69/110.jpg
- Antoine6259
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Re: Le nouveau Vincennes 09/2011 - 04/2014 ?
Oui effectivement c'est moi qui avais entendu Alexis Lécu dire cela à la conférence du 12 janvier dernier. Tu as peut-être raison ce pourrait être le bâtiment des okapis.
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Guillaume Lecointre
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gibbon - Messages: 2657
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Re: Le nouveau Vincennes 09/2011 - 04/2014 ?
Quand on regarde depuis l'extérieur, il y a successivement le bâtiment des girafes, celui que j'ai posté aujourd'hui (une petite partie), puis juste avant la partie ancienne préservée, il y a ces bâtiments en cours de travaux :


En France , la liberté d'expression est un principe intangible, c'est sur cette base que toute personne peut librement émettre une opinion, positive ou négative, sur un sujet mais aussi sur une personne physique ou morale, une institution .
- didier
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Re: Le nouveau Vincennes 09/2011 - 04/2014 ?
Aucun doute, c'est ce dernier bâtiment qui se situe dans la zone Afrique Equatoriale .
En France , la liberté d'expression est un principe intangible, c'est sur cette base que toute personne peut librement émettre une opinion, positive ou négative, sur un sujet mais aussi sur une personne physique ou morale, une institution .
- didier
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Re: Le nouveau Vincennes 09/2011 - 04/2014 ?
Donc tu as raison Gibbon, l'autre c'est l'arrière des lions ! Et pour ce dernier bâtiment, la question est toujours de savoir s'il accueillera des okapis ou pas... Profitera t-il des départs de Rotterdam ?
- Antoine6259
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