Il faut sauver la girafe de Rotschild !
La sous-espèce de Rothschild menacée dans la savane africaine. L’Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN) souhaite interpeler les organisations sur le cas d’une espèce animale en danger : la girafe de Rothschild. Un appel qui fait écho à la campagne onusienne de 2010 : année internationale de la biodiversité. Une nouvelle espèce qui rejoint la longue liste des mammifères menacés d’extinction. Tout un symbole d’une faune africaine précaire…
La sous-spèce de Rothschild dans le rouge :
La girafe de Rothschild fait parler d’elle ! Cette sous-espèce qui ne passe pas inaperçue à l’écoute de son nom porte le patronyme de Walter Rothschild. Zoologue et banquier, il fait partie d’un des tout premiers à porter une définition sur l’une des huit sous-espèces de girafes répertoriées. C’est la seconde espèce des girafes à faire partie de la longue liste des espèces menacées d’extinction selon l’UICN. Le développement des activités agricoles met en péril l’habitat naturel du plus haut des mammifères terrestres. Ainsi, très fragile au changement, la girafe paye les conséquences de l’activité humaine. Voilà qui devrait donner du grain à moudre à l’approche de la Conférence des parties de la Convention sur la diversité biologique à l’automne prochain…
10e réunion de la Conférence des parties de la Convention sur la diversité biologique :
Pour croiser la girafe de Rothschild il faut aller du côté Sahara, dans le sud. C’est au Kenya et surtout en Ouganda que sont répertoriées les 670 girafes qui font de la résistance dans un environnement en complète mutation. Les parcs naturels protégés ainsi que les réserves privées font donc office de nouvelle résidence improvisée pour cette espèce également appelée girafe d’Ouganda. Voilà qui illustre bien la menace que fait planer l’exil du plus haut des mammifères terrestres loin de son habitat naturel. Dans cette nouvelle liste rouge des animaux en danger, la prochaine Conférence des parties de la Convention sur la diversité biologique (COP10/ 13 octobre) au Japon sera le moyen de se pencher sur la relation climat/biodiversité.
Pour une fois, ce n’est pas le braconnage qui est pointé du doigt par l'UICN. Rappelons que ce triste business sur le plus haut des mammifères terrestres se poursuit toujours malgré la protection de l’animal dans la plupart des pays africains.
Source : http://www.durable.com/actualite/articl ... child_1408
La sous-espèce de Rothschild menacée dans la savane africaine. L’Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN) souhaite interpeler les organisations sur le cas d’une espèce animale en danger : la girafe de Rothschild. Un appel qui fait écho à la campagne onusienne de 2010 : année internationale de la biodiversité. Une nouvelle espèce qui rejoint la longue liste des mammifères menacés d’extinction. Tout un symbole d’une faune africaine précaire…
La sous-spèce de Rothschild dans le rouge :
La girafe de Rothschild fait parler d’elle ! Cette sous-espèce qui ne passe pas inaperçue à l’écoute de son nom porte le patronyme de Walter Rothschild. Zoologue et banquier, il fait partie d’un des tout premiers à porter une définition sur l’une des huit sous-espèces de girafes répertoriées. C’est la seconde espèce des girafes à faire partie de la longue liste des espèces menacées d’extinction selon l’UICN. Le développement des activités agricoles met en péril l’habitat naturel du plus haut des mammifères terrestres. Ainsi, très fragile au changement, la girafe paye les conséquences de l’activité humaine. Voilà qui devrait donner du grain à moudre à l’approche de la Conférence des parties de la Convention sur la diversité biologique à l’automne prochain…
10e réunion de la Conférence des parties de la Convention sur la diversité biologique :
Pour croiser la girafe de Rothschild il faut aller du côté Sahara, dans le sud. C’est au Kenya et surtout en Ouganda que sont répertoriées les 670 girafes qui font de la résistance dans un environnement en complète mutation. Les parcs naturels protégés ainsi que les réserves privées font donc office de nouvelle résidence improvisée pour cette espèce également appelée girafe d’Ouganda. Voilà qui illustre bien la menace que fait planer l’exil du plus haut des mammifères terrestres loin de son habitat naturel. Dans cette nouvelle liste rouge des animaux en danger, la prochaine Conférence des parties de la Convention sur la diversité biologique (COP10/ 13 octobre) au Japon sera le moyen de se pencher sur la relation climat/biodiversité.
Pour une fois, ce n’est pas le braconnage qui est pointé du doigt par l'UICN. Rappelons que ce triste business sur le plus haut des mammifères terrestres se poursuit toujours malgré la protection de l’animal dans la plupart des pays africains.
Source : http://www.durable.com/actualite/articl ... child_1408