Le parc animalier se situe dans un plus grand parc, où se trouvent également un sentier botanique, un parc d’attractions pour les enfants…

une fois passée cette première caisse, on parcourt donc d’abord une grande allée dans le parc, pour finalement arriver à la caisse du zoo en lui-même, annoncé par des panneaux de mise en garde sur la conduite à tenir avec des singes en liberté :



nous voici donc dans le parc animalier, mais les animaux mettent du temps à arriver ! une première ligne droite nous fait marcher dans une belle végétation, entourée de panneaux pédagogiques :

puis l’on arrive à un croisement de chemins :

c’est à cet endroit qu’on peut voir la première espèce du parc : oh stupeur ! Il ne s’agit nullement de primates, mais d’un couple de coatis à nez blancs présentés dans un joli enclos luxuriant, séparé du public par une basse barrière en métal assez jolie :




il faut alors emprunter le chemin de gauche qui nous emmène vers le secteur Saïmiri. L’entrée dans la zone est assez spéciale…il faut constituer un groupe de 10 à 15 personnes et attendre devant un petit portail. Puis une personne déguisée en militaire nous ouvre pour nous expliquer notre « mission » dans la zone avant de nous emmener vers un autre employé déguisé en mexicain (sombrero compris) qui nous fait passer le pont métallique. N’ayant rien compris au néerlandais, j’ai trouvé ça un peu perte de temps mais bon si ça amuse les enfants…
en tout cas nous voici dans le secteur des saïmiris, partie très boisée du parc :

sur le coté droit après le pont, une île de taille moyenne mais pourvue de grands arbres présente une famille de singes hurleurs. Les conditions de vie sont idéales pour ces jolis primates



leur île est reliée à une maison que partagent aussi leurs voisins, les capucins. Leur île est beaucoup moins végétalisée mais dispose de nombreux agrès et cordes pour l’activité des primates :


dans la suite de la visite, un enclos entre les arbres présente la version sauvage du cochon d’Inde, qui a donné les races domestiques que nous connaissons tous. Ce type d’espèce a une valeur pédagogique forte pour les jeunes enfants :


enfin on arrive dans la zone de forêt consacrée pleinement aux saïmiris. Et là, je me dis que décidément cette espèce est super intéressante dans ce type d’installation : l’activité est permanente, on s’y régale. En plus le cadre, forestier, avec des terre-plein et un ruisseau, est idéal. Quelques photos de ce moment superbe :









dans le parc des saïmiris, un petit enclos présente également la version sauvage des dindons. La boucle finie, on retombe devant l’enclos des coatis, et il faut continuer tout droit.
C’est le secteur malgache qui arrive alors. Une vaste volière permet d’observer dans la végétation, et derrière des vitres, une petite famille des rarissimes propithèques de Verreaux, que le parc reproduit et présente en cohabitation avec des pintades vulturines :





