
Après avoir franchi l'entrée du parc, le visiteur, qui se retrouve sur une petite place entourée de plantes exotiques, peut se drigier vers sa droite et emprunter le pont aménagé en 1985 au-dessus de l’A84 bordant le Zoo. Il lui permet d'accéder à la première partie de l'établissement, divisé en deux depuis la construction de cette route, que cette paserelle surplombe à une dizaine de mètres de hauteur.
Pont surplombant la routeLes animaux domestiques, plus particulièrement ceux de races normandes, occupent une place importante au sein du Zoo de Champrépus, qui les présente dans une grande mini-ferme qui accueille le public pour son retour sur la terre-ferme.
Vue générale de la mini-fermeMouton d'Ouessant, ânes du Cotentin, baudets du Poitou, chèves naines, vaches pies noires, cochons vietnamiens, dindons, coqs brahmas et autres petits lapins domestiques occupent ainsi un ensemble 5 vastes enclos herbeux, dans le quel le public est parfois invité à pénétrer, couvrant au totale une superficie avoisinant les 5000 m².
Exemple d'enclos pour animaux domestiques, ici occupé par les moutons
Dindon domestique (Meleagris gallopavo "domestique")Un important système de pédagogie a été développé autour de cette zone, dans de petites cabanes en bois, comprenant notamment une nurserie où éclosent régulièrement des poussins, ainsi qu'une reconstitution de vache domestique, qu'ils est librement possible de "traire" !
Bâtiment pédagogique sur la mini-fermeLa
volière de contact à connotation sud-américaine, dite "tropicale", dans le quel les visiteurs peuvent se retrouver au milieu d'oiseaux tropicaux et entouré de fleurs exotiques, a été inaugurée dans la clairière environnante au début de l'année 2005.

Volière tropicale de contactA l'intérieur de celle-ci, une famille de ouistitis de Geoffroy (
Callithrix geoffroyi) bénéficie d'une petite île, visible dès l'entrée, laissée naturelle par la présence de hautes herbes et d'arbustes, adjointe à une cabane en bois faisant office de loge de nuit, visible grâce à une baie vitrée.
Installation des ouistitis
Ouistiti de Geoffroy (Callithrix geoffroyi)Les grandes feuilles de bananiers et les plantes grimpantes exotiques sont ici les hôtes des ibis rouges (
Eudocimus ruber), des guiras cantaras (
Guira cantara), ou des aigrettes garzettes (
Aigretta garzetta), bien que ces dernières n'étant pas originaires d'Amérique du Sud; offrant un parfait lieu de nidification à ces étonnants oiseaux, loin du regard des visiteurs. Cachés entre la végétation, le public pourra également tenter d'apercevoir deux espèces de pigeons particulièrement discrètes et peu courantes en captivité : Le pigeon du Pérou (
Patagioenas oenops), unique en France, et le pigeon à ailes blanches (
Patagioenas corensis), dont la population européenne est estimée à moins de 10 individus. Enfin, les cours d'eau qui traversent l'installation, offrent un lieu d'accueil à l'un des anatidés les plus colorés qu'il existe, la sarcelle à collier (
Calonetta leucophrys). Ce sont donc en tout 6 espèces représentés par une dizaine d'individus qui volent en totale liberté au coeur de cet espace, également occupé par un couple d'aras bleus et jaunes (Ar
a ararauna), qui vit dans une petite fosse agréamenté de quelques perchoirs.
Sarcelle à collier (Calonetta leucophrys)
Pigeon du Pérou (Patagioenas oenops)
Ara bleu et jaune (Ara ararauna)La seconde réalisation, un grand bâtiment en bois qui a pu être aperçue depuis la mini-ferme, forme l'unique point d'observation devant l'enclos des tigres, représenté par un couple appartenant à la sous-espèce de Sumatra (
Panthera tigris sumatrae). L’espace qui leur a été offert était autrefois occupé par des tigres hybrides, qui ont été transférés vers d’autres parcs zoologiques, et qui ont cédé leur place à une sous-espèce pure et plus menacée dans le milieu naturel, permettant au zoo de participer à l’E.E.P. pour cette espèce et de financer des programmes de sauvagerde dans son milieu naturel asiatique. Ils évoluent au Zoo de Champrépus dans un vaste enclos herbeux parsemé de rochers et aménagé sous le couvert des quelques arbres voisins, tandis qu’une caverne agrémente le centre de l’installation.
Observatoire devant l’enclos des tigres
Enclos des tigres
Tigre de Sumatra (Panthera tigris sumatrae)En sortant de cette zone tropicale pour retrouver l’air libre, le visiteur peut découvrir sur sa droite le complexe consacré à la présentation des chimpanzés (
Pan troglodytes), seuls grands singes présentés au parc. Ils disposent de deux enclos intérieurs de taille réduite, construits en 1986, reliés entre-eux et totalement vitrés, leur permettant simplement de voir la lumière du soleil. Leur aménagement, bien qu’il se limite à quelques structures d’escalade, comprend un imporant effort d’enrichissement, renforcé par l’ajout de jouets pour enfants, de cagettes en bois… Le sol, à l’origine bétonné a été recouvert d’une légère couche de paille, et les murs qui l’entoure ont été réaménagés pour donner un maximum de terrain accidenté aux 3 animaux, aujourd’hui très âgés, élevés par le directeur il y a plusieurs dizaines d’années, alors qu’ils n’avaient que quelques mois.
Enclos des chimpanzés
Chimpanzé (Pan troglodytes)Juste en face, une large île végétalisée, recouverte d’un discret filet est le lieu de vie d’un groupe familial d’espiègles saïmiris communs (
Saimiri sciureus), composé d’une dizaine d’individus. Ils disposent d’un réseau de branchages reliés entre eux au milieu d’une dense végétation à la quelle ils ont complètement accès, rendant difficile l’observation des animaux entre les fourrés et les buissons. Le petit cours d’eau qui fait office de séparation naturelle entre le public et les primates sud-américains, accueille diverses espèces d’anatidés, dont le superbe canard carolin (
Aix sponsa).

Enclos des saïmiris
Saïmiri commun, ou singe écureuil (Saimiri sciureus)
Canard carolin (Aix sponsa) mâle en plumage nuptialAménagé près de la zone marécageuse que l’on découvrira par la suite, l’enclos des panthères constitue l’un des pôles les plus importants pour la sauvegarde animale au zoo de Champrépus, qui enregistre, depuis Kiara en 2001, de régulières naissances au sein du couple présenté au parc, qui s’est par la suite reproduit en 2002, en 2003, et en 2006, fait d’autant plus réjouissant qu’ils appartiennent à la sous-espèce iranienne de Perse (
Panthera pardus saxicolor), en voie de disparition dans son milieu naturel, où sa population ne dépasserait pas les 1300 individus.
Ils disposent d’un vaste enclos totalement vitré sur sa façade et recouvert d’un grillage, recréant une plaine herbeuse parsemée de grands rochers et de troncs nus, traversé en son centre par un petit ruisseau, relié à une loge de nuit visible par l’intermédiaire d’une baie vitrée.
Enclos des panthères

Panthère de Perse (Panthera pardus saxicolor)Le visiteur, passant un petit ponton en bois en contournant l’enclos des panthères, se retrouve au cœur de la zone appelée «
Le marais des Flamants ». Ici, une petite colonie de flamants du Chili (
Phoenicopterus chilensis), constituée de 7 individus, occupe l’enclos principal de cette partie aquatique qui peut être considérée comme une extension de la volière tropicale. En face, entre les iris et les prêles, il peut découvrir l’installation aménagée à l’air libre des aras rouges (
Ara macao), aménagée au milieu des roseaux, et agrémentée de perchoirs, créés naturellement par l’ajout de branchages.
Enclos des flamants
Ponton et enclos des aras
Ara rouge (Ara macao)Une grande volière végétalisée construite sous l’ombre des chênes voisins, conclut la première partie du Zoo de Champrépus, par l’observation discrète de 4 espèces d’oiseaux, originaires d’Afrique et d’Asie : Le percnoptère d’Egypte (
Neophron percnopterus), le héron garde-bœuf (
Bubulcus ibis), le pigeon roussard, ou de Guinée (
Columba guinea), et un mâle tragopan de Temminck (
Tragopan temmincki), superbe phasianidé à la robe rouge pointillée de blanc et à la tête bleue-vif.
Volière des hérons garde-bœufs, des percnoptères et du tragopan
Héron garde-bœuf (Bubulcus ibis)
Tragopan de Temminck (Tragopan temmincki)Le visiteur, peut ensuite regagner le jardin botanique qu’il avait laissé sur sa droite au début de l’extension, et surplomber une deuxième fois la route, pour atteindre la seconde partie du parc, et découvrir les 5 hectares qu’il reste à visiter.
En regagnant la terre ferme, le public peut emprunter un petit sentier qu’il l’emmène à la découverte d’un vaste enclos herbeux permettant la présentation d’espèces exotiques domestiquées par les hommes pour les produits qu’ils leur offrent (Pelage, lait…). Il s’agit d’un couple de yacks domestiques (
Bos primigenius f. taurus), accompagnés de leur dernier rejeton, de lamas (
Lama glama), d’alpagas (
Lama pacos), et de 3 chameaux domestiques (
Camus ferus f. bactrianus).
Enclos dit pour « animaux exotiques domestiqués »
Lamas (Lama glama) et alpaga (Lama pacos)
Jeune yack domestique (Bos primigenius f. taurus)L’installation des babiroussas (
Babyrousa babyrussa), suidé sauvage particulièrement singulier et peu courant en captivité, est aménagée sur une surface herbeuse peu large, mais particulièrement longue, séparée des visiteurs par un fossé sec. Le couple encore présent, qui bénéficie de l’ombre des arbres et d’une maison vitrée à la quelle il est relié, est composé d’un mâle âgé de 12 ans, possédant comme les autres individus mâles de son espèce, deux paires de défenses qui se recourbent vers son crâne, et d’une femelle très âgée qui, à l’âge de 18 ans, finit ses jours dans un enclos aménagé derrière l’installation principale, non visible du public. Il s’agit dans l’hexagone, d’une espèce asiatique que l’on ne trouve qu’à Champrépus et à l’Espace Animalier de Saint-Martin la Plaine, qui fut le premier à en accueillir. Il faut noter que sa population captive européenne ne dépasse pas les 40 spécimens, et que dans la nature (les îles de la Papouasie Nouvelle-Guinnée), elle est estimée à moins de 4000 animaux.
Enclos des babiroussas


Mâle babiroussa (Babyrousa babyrussa)Après avoir franchi quelques mètres sous la forêt, le visiteur peut pénétrer à l’intérieur d’un vaste observatoire en bois, qui fait face par l’intermédiaire de grandes baies vitrées, à l’enclos des lions africains (
Panthera leo).

Observatoire devant l’enclos des lionsUne vaste installation a été réservée au couple présenté depuis plusieurs années à Champrépus, où ils disposent d’une partie herbeuse, à découvert, et d’une zone plus forestière, derrière la quelle ils peuvent se dissimuler du regard du public, offrant de multiples enrichissements naturels aux félins.
Enclos des lions

Lion africain (Panthera leo)L’enclos des loutres naines d’Asie (
Aonyx cinerea), aménagé dans la clairière au centre des bois environnants, constitue, de part son aspect naturel et l’espace relativement important offert aux animaux, une des fiertés du parc. Deux bassin, l’un surmonté par un petit ruisseau dans le quel il se jette, et le second, d’un plus grand volume, en aqua-vision, permettent d’observer la nage gracieuse de ces mustélidés semi-aquatiques, tandis qu’une partie terrestre plantée de hautes herbes naturelles et garnie de rochers permet facilement aux animateurs du Zoo de Champrépus de présenter au public une animation portée sur la préservation de cette espèce, nommée « Goûter des loutres », tout en offrant un agréable lieu d’observation pour les visiteurs, et pour le couple de loutres, qui semble évoluer dans un environnement totalement naturel.

Enclos des loutres
Loutre naine d’Asie, aussi appelée à griffes courtes (Aonyx cinerea)L’enclos des loutres marque la séparation avec la zone bio-géograpique dans le quel le visiteur vient de pénétrer, consacrée au Continent Noir :
L’Afrique. Cette partie totalement réaménagée avec l’extension de la plaine africaine en 2006, est aménagée sur une surface de près de 2 hectares, et accueille près d’une dizaine d’espèces originaires des savanes africaines.
Entrée sur le territoire africainElle commence par la découverte du monde aérien des oiseaux, par l’intermédiaire d’une longue volière herbeuse d’une hauteur de plus de 5 mètres, permettant aux 4 espèces présentées dans cette installation de voler librement entre les arbres dans les quels ils ont pu naturellement construire leur nid. Elle est le lieu de vie d’un couple de grues couronnées noires (
Balearica pavonina pavonina), d’un percnoptère d’Egypte (
Neophron percnopterus), d’ibis sacrés (
Threskiornis aethiopicus), et de deux cigognes blanches (
Ciconia ciconia).
Volière africaine
Grue couronnée noire (Balearica pavonina pavonina)
Percnoptère d’Egypte (Neophron percnopterus)En contournant la volière décrite plus haute, le visiteur, après avoir parcouru quelques mètres entre les graminés africains, se retrouve sur un promontoire naturel qui lui permet d’avoir une vue globale sur l’une des dernières réalisations du parc, inaugurée en 2006 et aménagée en contrebas, qui trône depuis cette date parmi les attractions majeures à Champrépus :
la plaine africaine, et ses animaux vedettes, les girafes.
Aménagée en légère pente face aux collines normandes, elle est constituée d’une partie supérieure, au sol recouvert d’une fine couche de sable, tandis que le bas de l’installation, d’une surface d’un hectare, est totalement herbeux. Un monticule entouré de fils eléctriques a également été créé au centre de l’enclos, et planté de grands chênes.

Plaine africaine 4 espèces originaires des savanes africaines y cohabitent paisiblement aujourd’hui. Il s’agit de blesboks, ou damalisques à front blanc (
Damalisque pygargus phillipsi), d’autruches (
Struthio camelus), d’un groupe de zèbres de Grant (
Equus quagga boehmi) accompagné du dernier rejeton, qui a vu le jour début 2007, et de trois jeunes girafes du Soudan (
Giraffa camelopardalis antiquorum), un mâle nommé Lucky, né le 2 avril 2003 à Planète-Sauvage (Port-Saint-Père), et deux autres mâles arrivés plus tôt, appelés Moumoumi et Niamey, âgés de 2 ans et demi, et qui mesurent déjà 3,50 mètres de hauteur.
Autruche (Struthio camelus)
Girafe du Soudan (Giraffa camelopardalis antiquorum)Un post d’observation en bois garni de panneaux pédagogiques sur la sauvegarde des dernières girafes du Niger a été aménagé à l’une des extrémités de la plaine, tandis que l’intérieur du bâtiment des girafes peut être aperçu par l’intermédiaire d’une baie vitrée qui donne directement sur les stalles des herbivores
Post d’observation devant la plaine africaine
Bâtiment des girafesLe couple de guépards (
Acinonyx jubatus) présent à Champrépus, a pour lieu de vie un vaste enclos totalement herbeux, situé en face de la plaine africaine, que le visiteur peut découvrir par l’intermédiaire de deux observatoires vitrés.
Observatoire devant l’enclos des guépardsLes deux félins y disposent d’un important domaine où ils peuvent librement évoluer, entre les buissons, les arbres et les branchages qui agrémentent leur installation, qui s’étend sur une surface atteignant près de 1000 m² de verdure, terminant cette zone africaine riche en découvertes.
Enclos des guépards
Guépard (Acinonyx jubatus)Avant cela, il reste à découvrir deux volières à l’armature ancienne, séparées entre-elles par un bâtiment commun, où ont élu domicile deux espèces de cercopithèques, des primates africains. Il s’agit de cercopithèques dianes (
Cercopithecus diana), et de 4 cercopithèques de Brazza (
Cercopithecus neglectus), un mâle reproducteur, Bataké, arrivé de la station biologique de Paimpont (Bretagne), accompagné d’une femelle, Ngaka, avec la quelle il a eu plusieurs petits, dont une femelle âgée de 2 ans qui vit toujours aux côtés de ses parents, et de son petit frère, Djaké, le dernier né du groupe, qui a vu le jour le 27 février 2008.
L’aménagement et l’enrichissement des cages dans les quels ils vivent a été poussé malgré la taille relativement réduite de ces dernières, notamment par l’ajout de troncs nus fixés entre-eux afin de crééer un entremêlement de branchages.
Volière des cercopithèques dianes
Enclos des cercopithèques de BrazzaLe visiteur quitte peu à peu le monde africain en repassant près des lions, pour atteindre la partie malgache consacrée à la présentation de la faune insulaire de la 5ème plus grande île du monde :
Madagascar, et ses lémuriens.
Paysage typique de la zone malgacheLe public est directement confronté à rencontrer ses étrangs primates primitifs, en les approchant de plus près grâce à l’enclos de contact destiné à se retrouver à leurs côtés dans un vaste territoire, qui fait parti des plus grands de ce genre en France. La première partie de l’installation, totalement dénudée est destinée à représenter les zones désertiques du sud de l’île, qui constitue le lieu de représentation de l’animation nommée « le goûter des lémuriens », où sont nourris les individus de la colonie, qui compte 14 spécimens : Les 11 makis cattas (
Lemur catta), et les trois makis à front blanc (
Eulemur fulvus albifrons), qui disposent également, un peu plus bas, d’une reconstitution de la brousse épineuse, avec ses yuccas, ses palmiers et ses éboulis rocheux, où il n’est pas rare de voir évoluer les animaux, comme ils le feraient dans la nature, dans cet environnement parfaitement recréé, traversé par un pont suspendu qui le surplombe.
Zone désertique de l’enclos de contact des lémuriens


Zone broussailleuse de l’enclos de contact des lémuriens

Lémur à front blanc (Eulemur fulvus albifrons) et maki catta (Lemur catta)


Maki catta (Lemur catta)

Lemur à front blanc (Eulemur fulvus albifrons)En ressortant de cette réalisation qui semble des plus réussies pour ce genre d’espèces, le visiteur peut longer les deux grandes îles destinées à accueillir les deux autres espèces de lémuriens présentées à Champrépus : Le vari roux (
Varecia rubra), et le vari noir et blanc (
Varecia variegata variegata), qui ont la chance d’avoir accès aux arbres plantés dans leurs enclos, ou de courir entre les bambous et les roseaux, près de l’eau qui fait office de séparation naturelle entre le public et les animaux.
Ile des varis noirs et blancs

Ile des varis rouxC’est en retournant à la place aménagée au début du zoo, près des fosses des aras chloroptères (
Ara chlorotpera) et des aras bleus et jaunes (
Ara ararauna), que se conclue la visite, que le public peut quitter après plusieurs heures de promenade, les souvenirs déjà plein la tête.
En conclusion, le Zoo de Champrépus offre une agréable ballade au public au milieu d’un parc paysager où les plantes et les animaux se mêlent parfaitement dans un environnement unique en son genre, où les espèces présentées y disposent pour la plupart de très bonnes conditions de vie. 