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Nederlands ZooTour 2009. Etape 2 : Blijdorp Rotterdam
Re: Nederlands ZooTour 2009. Etape 2 : Blijdorp Rotterdam
J'attend la suite avec impatiente, merci.
"Le droit de dire ce que nous pensons est le droit de tout homme libre, dont on ne saurait le priver sans exercer la tyrannie la plus odieuse." Voltaire
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pazero - Messages: 731
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Re: Nederlands ZooTour 2009. Etape 2 : Blijdorp Rotterdam
Il faut alors refaire demi-tour pour repasser devant l’enclos des chameaux afin de continuer le chemin. Nous sommes dans le secteur de l’Asie tropicale. La balade dans cette zone est très agréable car entièrement sous les arbres, nombreux ici. En premier lieu, une jolie prairie séparée du public par une mare voit cohabiter des petites antilopes cervicapres et les gros bovidés que sont les bantengs.



Juste à coté, un enclos du même style héberge les cerfs du Prince Alfred, cervidés parmi les plus rares du globe, pour la protection desquels le Blijdorp s’implique.

Le fossé d’eau qui séparait alors animaux et visiteurs forme une boucle, et des macaques ouandérous vivent ici sur une grande île naturelle.


A droite, un nouvel enclos héberge un autre groupe de cerfs du prince Alfred.

On arrive alors à une intersection de plusieurs chemins, et diverses possibilités s’offrent à nous. Pour ma part, j’ai emprunté le chemin de droite qui est en fait la boucle du marais asiatique.

Ce marais, de conception récente, est une vraie réussite de reconstitution du milieu.
Le ponton que l’on emprunte surplombe la mare, entourée de végétation. On découvre d’abord une berge où vivent des grus à cou blanc.


Puis, au milieu du marais, une belle île tout en longueur et agrémenté de troncs morts ainsi que de cordes abrite une famille de macaques de Tonkéan. On peut voir se profiler au loin la grande volière marécageuse que l’on va bientôt traverser.



Pour le moment, des loutres cendrées sont visibles dans un discret petit enclos rocailleux pourvu d’un bassin en aquavision.

Pénétrons alors dans la grande volière asiatique. Le volume disponible pour les animaux est vraiment impressionnant, et le chemin sinue dans une végétation luxuriante entre différentes mares colonisées par les oiseaux. On peut observer, entre autres, des ibis sacrés, des hérons garde-bœufs, des faisans dorés, des aigrettes, des hérons bihoreaux, plusieurs espèces d’anatidés…la balade est très agréable.





Enfin, un pont suspendu nous fait quitter ce bel endroit luxuriant pour nous plonger dans l’obscurité de la grotte aux chauves-souris asiatiques. L’endroit est vraiment très sombre, même pour voir les chiroptères, et les photos sont impossibles.

Une fois regagné l’extérieur, les chemins se croisent à nouveau. En face de nous, un grand bassin artificiel, lieu de vie des goélands et des mouettes, possède en son centre une petite île herbeuse sans végétation haute, où vit pour le moment une famille de colobes. Mais le développement de la nouvelle zone africaine va entrainer prochainement leur déménagement, et c’est tant mieux.


A droite du bassin, deux enclos circulaires, entourés de bambous, abritent les tigres de Sumatra. Ces enclos peuvent être d’abord surplombés grâce à un pont, puis un tunnel vitré permet d’accéder au plus près du lieu de vie des fauves. Il faut savoir que jusqu’à très récemment, ces deux enclos abritaient les otaries et les ours blancs du parc. C’est donc un magnifique exemple de reconversion d’une vieille structure, car il faut bien admettre que même s’ils sont un peu étroits, ces enclos remplis de végétation et pourvus chacun d’un point d’eau sont désormais tout à fait adaptés aux grands félins asiatiques.



A cet endroit, le chemin principal nous conduirait dans la partie africaine. Il faut donc rebrousser chemin, pour revenir au carrefour d’où nous avions vu le marais asiatique, et prendre une nouvelle allée, qui nous fait longer le jardin chinois que l’on visitera après. On arrive ensuite devant une jolie clairière séparée du public par un bras d’eau, où vit encore une fois une famille de cerfs du Prince Alfred. Au bout de l’enclos, un fossé sec permet de se retrouver au plus près de ces beaux animaux.



En face, une volière plus discrète, noyée dans la végétation, abrite des chats pêcheurs.

Le chemin nous entraine ensuite devant la reconstitution d’une cabane philippine. Avant l’entrée, une famille de rares sangliers des Visayas vivent dans un enclos ombragé sous le couvert des arbres.



La cabane en elle-même sert de lieu pédagogique pour présenter les riches écosystèmes des îles des Philippines. On peut également y voir les loges intérieures des macaques ouandérous, des cerfs et des sangliers.


à l’extérieur, une discrète volière abrite des lophophores.
Dans le même style, un cul-de-sac nous emmène vers la récente reconstitution d’une cabane sur pilotis, habitation classique de certains peuples d’Asie du sud-est. Cette installation ne présente aucune espèce animale mais est très fournie en terme de maquettes, panneaux et expositions pédagogiques. C’est également le lieu utilisé par les scolaires pour approfondir leur visite.

Il convient alors d’emprunter un nouveau ponton au-dessus d’un étang, afin de longer sur la gauche l’île des pélicans frisés et des cormorans, abritant un grand nombre d’individus de chaque espèce, et sur la droite la berge luxuriante des plus discrètes grues de Mandchourie.



A cet endroit, la végétation, composée majoritairement de conifères, représente le biotope des espèces du nord de l’Asie. Les plus beaux représentants en sont les panthères de Chine, majestueux félins disposant ici d’un vaste enclos naturellement aménagé de roches, troncs morts et buissons.


Sur le côté, deux jolies volières abritent les fascinants rapaces nocturnes que sont les chouettes lapones et les chouettes épervières


Enfin, la zone asiatique s’achève par le jardin chinois. Il essentiellement végétal, mais quelques espèces animales sont observables, notamment des porte-muscs dans un petit enclos à la végétation dense, des esturgeons dans un bassin à l’air libre, et des langurs de François dans une volière vitrée, exigüe et ancienne.
Jardin chinois :


enclos des porte-muscs

bassin des esturgeons

langurs de François




Juste à coté, un enclos du même style héberge les cerfs du Prince Alfred, cervidés parmi les plus rares du globe, pour la protection desquels le Blijdorp s’implique.

Le fossé d’eau qui séparait alors animaux et visiteurs forme une boucle, et des macaques ouandérous vivent ici sur une grande île naturelle.


A droite, un nouvel enclos héberge un autre groupe de cerfs du prince Alfred.

On arrive alors à une intersection de plusieurs chemins, et diverses possibilités s’offrent à nous. Pour ma part, j’ai emprunté le chemin de droite qui est en fait la boucle du marais asiatique.

Ce marais, de conception récente, est une vraie réussite de reconstitution du milieu.
Le ponton que l’on emprunte surplombe la mare, entourée de végétation. On découvre d’abord une berge où vivent des grus à cou blanc.


Puis, au milieu du marais, une belle île tout en longueur et agrémenté de troncs morts ainsi que de cordes abrite une famille de macaques de Tonkéan. On peut voir se profiler au loin la grande volière marécageuse que l’on va bientôt traverser.



Pour le moment, des loutres cendrées sont visibles dans un discret petit enclos rocailleux pourvu d’un bassin en aquavision.

Pénétrons alors dans la grande volière asiatique. Le volume disponible pour les animaux est vraiment impressionnant, et le chemin sinue dans une végétation luxuriante entre différentes mares colonisées par les oiseaux. On peut observer, entre autres, des ibis sacrés, des hérons garde-bœufs, des faisans dorés, des aigrettes, des hérons bihoreaux, plusieurs espèces d’anatidés…la balade est très agréable.





Enfin, un pont suspendu nous fait quitter ce bel endroit luxuriant pour nous plonger dans l’obscurité de la grotte aux chauves-souris asiatiques. L’endroit est vraiment très sombre, même pour voir les chiroptères, et les photos sont impossibles.

Une fois regagné l’extérieur, les chemins se croisent à nouveau. En face de nous, un grand bassin artificiel, lieu de vie des goélands et des mouettes, possède en son centre une petite île herbeuse sans végétation haute, où vit pour le moment une famille de colobes. Mais le développement de la nouvelle zone africaine va entrainer prochainement leur déménagement, et c’est tant mieux.


A droite du bassin, deux enclos circulaires, entourés de bambous, abritent les tigres de Sumatra. Ces enclos peuvent être d’abord surplombés grâce à un pont, puis un tunnel vitré permet d’accéder au plus près du lieu de vie des fauves. Il faut savoir que jusqu’à très récemment, ces deux enclos abritaient les otaries et les ours blancs du parc. C’est donc un magnifique exemple de reconversion d’une vieille structure, car il faut bien admettre que même s’ils sont un peu étroits, ces enclos remplis de végétation et pourvus chacun d’un point d’eau sont désormais tout à fait adaptés aux grands félins asiatiques.



A cet endroit, le chemin principal nous conduirait dans la partie africaine. Il faut donc rebrousser chemin, pour revenir au carrefour d’où nous avions vu le marais asiatique, et prendre une nouvelle allée, qui nous fait longer le jardin chinois que l’on visitera après. On arrive ensuite devant une jolie clairière séparée du public par un bras d’eau, où vit encore une fois une famille de cerfs du Prince Alfred. Au bout de l’enclos, un fossé sec permet de se retrouver au plus près de ces beaux animaux.



En face, une volière plus discrète, noyée dans la végétation, abrite des chats pêcheurs.

Le chemin nous entraine ensuite devant la reconstitution d’une cabane philippine. Avant l’entrée, une famille de rares sangliers des Visayas vivent dans un enclos ombragé sous le couvert des arbres.



La cabane en elle-même sert de lieu pédagogique pour présenter les riches écosystèmes des îles des Philippines. On peut également y voir les loges intérieures des macaques ouandérous, des cerfs et des sangliers.


à l’extérieur, une discrète volière abrite des lophophores.
Dans le même style, un cul-de-sac nous emmène vers la récente reconstitution d’une cabane sur pilotis, habitation classique de certains peuples d’Asie du sud-est. Cette installation ne présente aucune espèce animale mais est très fournie en terme de maquettes, panneaux et expositions pédagogiques. C’est également le lieu utilisé par les scolaires pour approfondir leur visite.

Il convient alors d’emprunter un nouveau ponton au-dessus d’un étang, afin de longer sur la gauche l’île des pélicans frisés et des cormorans, abritant un grand nombre d’individus de chaque espèce, et sur la droite la berge luxuriante des plus discrètes grues de Mandchourie.



A cet endroit, la végétation, composée majoritairement de conifères, représente le biotope des espèces du nord de l’Asie. Les plus beaux représentants en sont les panthères de Chine, majestueux félins disposant ici d’un vaste enclos naturellement aménagé de roches, troncs morts et buissons.


Sur le côté, deux jolies volières abritent les fascinants rapaces nocturnes que sont les chouettes lapones et les chouettes épervières


Enfin, la zone asiatique s’achève par le jardin chinois. Il essentiellement végétal, mais quelques espèces animales sont observables, notamment des porte-muscs dans un petit enclos à la végétation dense, des esturgeons dans un bassin à l’air libre, et des langurs de François dans une volière vitrée, exigüe et ancienne.
Jardin chinois :


enclos des porte-muscs

bassin des esturgeons

langurs de François

Les animaux des zoos sont les ambassadeurs de leurs cousins sauvages. (Pierre Gay)
- raphaël
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- Localisation: gironde
Re: Nederlands ZooTour 2009. Etape 2 : Blijdorp Rotterdam
Cette derniére zone asiatique est superbe. Domage de ne pas avoir inclus les si rares langurs de Franços... 

- Therabu
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Re: Nederlands ZooTour 2009. Etape 2 : Blijdorp Rotterdam
C’en est donc fini pour la grande partie asiatique du Blijdorp. A cet endroit se situe « Riviera Hall », le bâtiment historiquement le plus important du parc, qui présente un grand nombre d’espèces tropicales issus des 4 coins du globe.

L’entrée peut se faire par plusieurs endroits. Je suis pour ma part arrivé du côté du grand terrarium des dragons de Komodo. J’ai pu observer deux jeunes individus dans cette jolie installation.


Ensuite, dans le hall central, les terrariums se succèdent où sont présentées diverses espèces de reptiles, d’amphibiens, d’insectes, de poissons… je ne pourrai pas vous faire une liste exhaustive de ce que j’ai vu, voici donc quelques photos.




Ce hall central, de la forme d’un rectangle, donne accès à plusieurs ailes secondaires. La première est réservée aux oiseaux tropicaux. Alors que certaines espèces sont présentées en couple dans des volières fonctionnelles pour la reproduction (c’est le cas des aras hyacinthes, de plusieurs espèces de cacatoès et de toucans) d’autres vivent leur vie en complète liberté dans la serre et sa végétation dense.





Puis, une autre porte débouche devant un grand bassin couvert à sa surface de nénuphars tropicaux, immenses plantes capables de supporter le poids d’un enfant.


Le retour dans le hall central permet également d’avoir accès aux loges intérieures des hippopotames nains, des girafes et des gorilles. Mais je n’ai pu voir que la première espèce : les girafes ont déménagé dans la nouvelle savane, et l’aile des gorilles était ce jour-là fermée.

En sortant de ce grand bâtiment, on se trouve au niveau de l’entrée historique du Blijdorp, ce qui correspond donc à la partie la plus ancienne du parc.
Près de cette entrée, un vaste marais naturel abrite un grand groupe de flamants roses.

Juste en face, une vieille installation de style dépassé hébergeait lors de ma visite une famille de manchots du Cap. Mais aujourd’hui, cette espèce a quitté le parc, et l’enclos est en travaux.

on arrive alors devant 2 vieilles fosses à fauves bordés par un fossé d’eau. Ces installations font partie des plus anciennes de l’histoire du parc, et ne sont pas vraiment adaptées aux grands carnivores présentés, malgré de bons efforts d’aménagement.
La première abrite une famille d’hyènes tachetées.

la deuxième fosse, de même style, présente des lions d’Asie.


L’entrée peut se faire par plusieurs endroits. Je suis pour ma part arrivé du côté du grand terrarium des dragons de Komodo. J’ai pu observer deux jeunes individus dans cette jolie installation.


Ensuite, dans le hall central, les terrariums se succèdent où sont présentées diverses espèces de reptiles, d’amphibiens, d’insectes, de poissons… je ne pourrai pas vous faire une liste exhaustive de ce que j’ai vu, voici donc quelques photos.




Ce hall central, de la forme d’un rectangle, donne accès à plusieurs ailes secondaires. La première est réservée aux oiseaux tropicaux. Alors que certaines espèces sont présentées en couple dans des volières fonctionnelles pour la reproduction (c’est le cas des aras hyacinthes, de plusieurs espèces de cacatoès et de toucans) d’autres vivent leur vie en complète liberté dans la serre et sa végétation dense.





Puis, une autre porte débouche devant un grand bassin couvert à sa surface de nénuphars tropicaux, immenses plantes capables de supporter le poids d’un enfant.


Le retour dans le hall central permet également d’avoir accès aux loges intérieures des hippopotames nains, des girafes et des gorilles. Mais je n’ai pu voir que la première espèce : les girafes ont déménagé dans la nouvelle savane, et l’aile des gorilles était ce jour-là fermée.

En sortant de ce grand bâtiment, on se trouve au niveau de l’entrée historique du Blijdorp, ce qui correspond donc à la partie la plus ancienne du parc.
Près de cette entrée, un vaste marais naturel abrite un grand groupe de flamants roses.

Juste en face, une vieille installation de style dépassé hébergeait lors de ma visite une famille de manchots du Cap. Mais aujourd’hui, cette espèce a quitté le parc, et l’enclos est en travaux.

on arrive alors devant 2 vieilles fosses à fauves bordés par un fossé d’eau. Ces installations font partie des plus anciennes de l’histoire du parc, et ne sont pas vraiment adaptées aux grands carnivores présentés, malgré de bons efforts d’aménagement.
La première abrite une famille d’hyènes tachetées.

la deuxième fosse, de même style, présente des lions d’Asie.

Les animaux des zoos sont les ambassadeurs de leurs cousins sauvages. (Pierre Gay)
- raphaël
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Re: Nederlands ZooTour 2009. Etape 2 : Blijdorp Rotterdam
Excellent rapport, quelques petites remarques:
- les chameaux de Bactriane vivent 'avec' les onagers (pas de chevaux de prezwalski)
- les takins et les macaques japonais vivent dans la dernière zone asiatique non rénovée. Au futur, cette zone est prévue pour des takins, petit panda et peut-être singes dorés
- zone Asia du nord: panthera pardus japonensis ou panthera pardus orientalis/amurensis?
- les chameaux de Bactriane vivent 'avec' les onagers (pas de chevaux de prezwalski)
- les takins et les macaques japonais vivent dans la dernière zone asiatique non rénovée. Au futur, cette zone est prévue pour des takins, petit panda et peut-être singes dorés
- zone Asia du nord: panthera pardus japonensis ou panthera pardus orientalis/amurensis?
- Aigle des singes
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Re: Nederlands ZooTour 2009. Etape 2 : Blijdorp Rotterdam
C'est vrai qu'il est dommage que les langurs de François (espèce que je ne connaissais même pas, je croyais qu'il n'y avait que ceux de Java) soient dans cette volière. A voir s'il ne serait pas possible de leur faire quelque chose sur l'île qui héberge actuellement les colobes ?
Curieux sinon les enclos des hyènes et des lions d'Asie...
Curieux sinon les enclos des hyènes et des lions d'Asie...
- Antoine6259
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Re: Nederlands ZooTour 2009. Etape 2 : Blijdorp Rotterdam
Vraiment pas mal
excellentes photos
J'attend la partie africaine, si il y en à une, avec impatiente
excellentes photos
J'attend la partie africaine, si il y en à une, avec impatiente
"Le droit de dire ce que nous pensons est le droit de tout homme libre, dont on ne saurait le priver sans exercer la tyrannie la plus odieuse." Voltaire
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pazero - Messages: 731
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- Localisation: Paris 16e
Re: Nederlands ZooTour 2009. Etape 2 : Blijdorp Rotterdam
Bonsoir à tous.
magnfique zoo et magnifique photos j'attend la suite avec impatience
!!
Seul point négatif les enclos des lions,hènes,langurs et otaries.
A bientôt.
magnfique zoo et magnifique photos j'attend la suite avec impatience

Seul point négatif les enclos des lions,hènes,langurs et otaries.
A bientôt.
"Je suis une part de tout ce que j'ai rencontré" José Ortega y Gasset.
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Simon38 - Messages: 1159
- Enregistré le: Mercredi 22 Avril 2009 12:25
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Re: Nederlands ZooTour 2009. Etape 2 : Blijdorp Rotterdam
merci pour la correction aigle des singes. je n'ai pas vu les équidés cohabitant avec les chameaux, j'en ai déduis qu'il s'agissait de przewalski mais ce sont donc des onagres.
bon projet pour la partie thibétaine, quant aux panthères, je pense à des orientasis ?
revenons au compte rendu, nous étions à la fosse des lions :
l’intérieur de ce bâtiment est accessible, mais trop sombre pour les photos. Les loges sont vraiment étroites, et encore certaines sont fusionnées. A noter que 2 autres civettes malaises sont présentées dans une loge chacune.
Le chemin replonge ensuite sous les arbres, pour emmener devant un curieux, mais superbe, enclos à loups européens. Ceux-ci sont visibles derrière des palissades en bois, et vivent dans un grand espace laissé totalement à l’état naturel. Une vraie réussite !


le chemin fait ensuite le tour de cet enclos à loups, on aura donc d’autres points de vue.
Une prairie classique présente des wallabies, de Bennett me semble-t’il :

sur la droite du sentier, une vieil enclos tout en longueur séparé par un fossé, du style de celui des vigognes au JDP, héberge une famille de rennes. Même si on est loin des conditions d’Overloon, la place est assez importante.


dans ce secteur, le masterplan prévoit la zone européenne. Mais pour le moment on en est loin, puisqu’à coté des rennes, sur la gauche, une vaste fosse sableuse présente dans de bonnes conditions un groupe de suricates.


la zone est vraiment en pleine transition : on passe ensuite sous une volière en tunnel, qui héberge curieusement…des wallabies bicolores. Apparemment la structure a longtemps été occupée par des hiboux.

A cet endroit, un nouveau point de vue s’ouvre sur la forêt des loups. C’est à cet endroit que les canidés se sont laissé apercevoir quelques instants :


enfin, le chemin débouche sur un nouveau croisement. A gauche, c’est la grande aire de jeux. Si j’étais encore enfant, je crois que je trouverai ça bien plus tentant que les banals châteaux gonflables de nos zoos français :

a droite, on peut observer les dernières vieilles structures du parc. Tout d’abord un petit enclos tout en rond autour d’un bâtiment central héberge des ratons laveurs. Les conditions de vie sont loin d’être optimales mais il est clair que cet enclos était auparavant divisé en plusieurs, et abritait des espèces plus grosses. C’est donc une pas mauvaise reconversion.

Puis, l’on peut voir la vieille galerie des petits félins. C’est une longue succession d’enclos de très petite taille, aménagés souvent de quelques branches et d’un bassin, au sol bétonné. On peut y observer des chats pêcheurs et des servals, et les autres félins vu précédemment (chats manuls ou chats dorés) y habitaient avant.


il faut alors revenir à l’intersection précédente, au niveau de l’aire de jeu, pour voir la zone la plus récente du parc. Au passage, on peut voir les premières espèces africaines du parc, et non des moindres : un vaste enclos naturel, aménagé en colline, avec des troncs morts et des arbres, est le lieu de vie de la famille de gorilles de Rotterdam :

malheureusement les primates étaient invisibles, et comme la partie du Riviera Hall qui leur est consacrée était fermée, je n’ai pas vu ces superbes animaux. Souvenez-vous qu’à son inauguration, cet enclos était en fait une île, mais après la spectaculaire évasion d’un gorille mâle, le fossé d’eau a été comblé et remplacé par des vitres. A coté du parc à gorilles, une vieille volière vitrée, dans le style de celle des langurs, présente des cercopithèques africains, mais impossible de me rappeler quelle espèce, si quelqu’un sait :

Revenu sur l’allée principale, on s’approche donc de la nouvelle zone africaine. Mais un peu de patience, en premier lieu on rentre dans une nouvelle vaste volière, qui évoque elle les espaces naturels néerlandais, à savoir les canaux et les marais. C’est le territoire rêvé des limicoles, notamment les avocettes, présentées ici en grand groupe.




une seconde volière, plus fournie en végétation, présente des espèces plus méridionales comme l’ibis falcinelle ou les spatules blanches :


c’est alors que commence le secteur de la savane africaine, l’un des plus aboutis du Blijdorp, et surtout le plus récent puisqu’il a moins d’un an. On entre en premier lieu dans une serre de taille moyenne, sur un pont. Les aménagements sont tout en bois. A gauche on peut voir un bassin en aquavision pour des crocodiles du Nil :

à droite, un grand enclos en contrebas reconstitue les milieux rocheux du continent noir. Des tortues sillonnées vivent dans cet espace, que survolent avec grâce un essaim de guêpiers. Sur les rochers de discrets damans se cachent. L’ensemble est très réussi !









en se rapprochant de la sortie, un autre bassin abrite encore des crocodiles, tandis qu’un enclos sableux loge des porcs-épics :


on retrouve alors l’air libre, pour admirer la partie de la savane réservée aux gros ongulés. En tout cas, cette serre africaine, sans être immense, présente dans un cadre magnifique des espèces attractives pour le public tout en étant peu courantes.
bon projet pour la partie thibétaine, quant aux panthères, je pense à des orientasis ?
revenons au compte rendu, nous étions à la fosse des lions :
l’intérieur de ce bâtiment est accessible, mais trop sombre pour les photos. Les loges sont vraiment étroites, et encore certaines sont fusionnées. A noter que 2 autres civettes malaises sont présentées dans une loge chacune.
Le chemin replonge ensuite sous les arbres, pour emmener devant un curieux, mais superbe, enclos à loups européens. Ceux-ci sont visibles derrière des palissades en bois, et vivent dans un grand espace laissé totalement à l’état naturel. Une vraie réussite !


le chemin fait ensuite le tour de cet enclos à loups, on aura donc d’autres points de vue.
Une prairie classique présente des wallabies, de Bennett me semble-t’il :

sur la droite du sentier, une vieil enclos tout en longueur séparé par un fossé, du style de celui des vigognes au JDP, héberge une famille de rennes. Même si on est loin des conditions d’Overloon, la place est assez importante.


dans ce secteur, le masterplan prévoit la zone européenne. Mais pour le moment on en est loin, puisqu’à coté des rennes, sur la gauche, une vaste fosse sableuse présente dans de bonnes conditions un groupe de suricates.


la zone est vraiment en pleine transition : on passe ensuite sous une volière en tunnel, qui héberge curieusement…des wallabies bicolores. Apparemment la structure a longtemps été occupée par des hiboux.

A cet endroit, un nouveau point de vue s’ouvre sur la forêt des loups. C’est à cet endroit que les canidés se sont laissé apercevoir quelques instants :


enfin, le chemin débouche sur un nouveau croisement. A gauche, c’est la grande aire de jeux. Si j’étais encore enfant, je crois que je trouverai ça bien plus tentant que les banals châteaux gonflables de nos zoos français :

a droite, on peut observer les dernières vieilles structures du parc. Tout d’abord un petit enclos tout en rond autour d’un bâtiment central héberge des ratons laveurs. Les conditions de vie sont loin d’être optimales mais il est clair que cet enclos était auparavant divisé en plusieurs, et abritait des espèces plus grosses. C’est donc une pas mauvaise reconversion.

Puis, l’on peut voir la vieille galerie des petits félins. C’est une longue succession d’enclos de très petite taille, aménagés souvent de quelques branches et d’un bassin, au sol bétonné. On peut y observer des chats pêcheurs et des servals, et les autres félins vu précédemment (chats manuls ou chats dorés) y habitaient avant.


il faut alors revenir à l’intersection précédente, au niveau de l’aire de jeu, pour voir la zone la plus récente du parc. Au passage, on peut voir les premières espèces africaines du parc, et non des moindres : un vaste enclos naturel, aménagé en colline, avec des troncs morts et des arbres, est le lieu de vie de la famille de gorilles de Rotterdam :

malheureusement les primates étaient invisibles, et comme la partie du Riviera Hall qui leur est consacrée était fermée, je n’ai pas vu ces superbes animaux. Souvenez-vous qu’à son inauguration, cet enclos était en fait une île, mais après la spectaculaire évasion d’un gorille mâle, le fossé d’eau a été comblé et remplacé par des vitres. A coté du parc à gorilles, une vieille volière vitrée, dans le style de celle des langurs, présente des cercopithèques africains, mais impossible de me rappeler quelle espèce, si quelqu’un sait :

Revenu sur l’allée principale, on s’approche donc de la nouvelle zone africaine. Mais un peu de patience, en premier lieu on rentre dans une nouvelle vaste volière, qui évoque elle les espaces naturels néerlandais, à savoir les canaux et les marais. C’est le territoire rêvé des limicoles, notamment les avocettes, présentées ici en grand groupe.




une seconde volière, plus fournie en végétation, présente des espèces plus méridionales comme l’ibis falcinelle ou les spatules blanches :


c’est alors que commence le secteur de la savane africaine, l’un des plus aboutis du Blijdorp, et surtout le plus récent puisqu’il a moins d’un an. On entre en premier lieu dans une serre de taille moyenne, sur un pont. Les aménagements sont tout en bois. A gauche on peut voir un bassin en aquavision pour des crocodiles du Nil :

à droite, un grand enclos en contrebas reconstitue les milieux rocheux du continent noir. Des tortues sillonnées vivent dans cet espace, que survolent avec grâce un essaim de guêpiers. Sur les rochers de discrets damans se cachent. L’ensemble est très réussi !









en se rapprochant de la sortie, un autre bassin abrite encore des crocodiles, tandis qu’un enclos sableux loge des porcs-épics :


on retrouve alors l’air libre, pour admirer la partie de la savane réservée aux gros ongulés. En tout cas, cette serre africaine, sans être immense, présente dans un cadre magnifique des espèces attractives pour le public tout en étant peu courantes.
Les animaux des zoos sont les ambassadeurs de leurs cousins sauvages. (Pierre Gay)
- raphaël
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Re: Nederlands ZooTour 2009. Etape 2 : Blijdorp Rotterdam
Les singes dans la vieille volière vitrée à côté des gorilles sont probablement des cercocebus atys lunulatus (ou C. torquatus l.), white-crowned mangabey
Les singes sur le point de vue de gorilles sont des Cercopithecus nicititans, greater white-nosed guenon
Pour l'affirmation definitive, je dois contrôler mes notes ce soir.
Je ne connais pas les nom en français.
Les singes sur le point de vue de gorilles sont des Cercopithecus nicititans, greater white-nosed guenon
Pour l'affirmation definitive, je dois contrôler mes notes ce soir.
Je ne connais pas les nom en français.
- Aigle des singes
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Re: Nederlands ZooTour 2009. Etape 2 : Blijdorp Rotterdam
Pour les premiers, ce sont donc logiquement des mangabeys couronnés. A crow c'est une couronne
Il y en a un groupe au Jardin des Plantes
Cercopithecus nicititans est appelé hocheur ou "pain à cacheter".
Enfin comme toujours, les noms scientifiques sont toujours plus fiables


Cercopithecus nicititans est appelé hocheur ou "pain à cacheter".
Enfin comme toujours, les noms scientifiques sont toujours plus fiables

- Antoine6259
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Re: Nederlands ZooTour 2009. Etape 2 : Blijdorp Rotterdam
J'affirme les deux espèces
- Aigle des singes
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Re: Nederlands ZooTour 2009. Etape 2 : Blijdorp Rotterdam
merci pour les précisions sur les espèces, aigle des singes.
finissons donc cette belle visite :
Le premier contact avec les ongulés africains est l’observation possible, derrière des grandes vitres, de la toute nouvelle maison des girafes du zoo.


la visite de cette zone se fait sur une longue passerelle, d’où on longe l’enclos principal : celui des girafes. Une reconstitution d’un baobab présente une exposition pédagogique sur cet arbre central dans l’écosystème de la savane africaine.

maison des girafes de dehors

les girafes sont l’espèce centrale de la zone. Elles bénéficient d’un parc de bonne taille observable depuis la passerelle.



Mais d’autres enclos abritent d’autres espèces, séparés de celui des girafes par un simple fossé d’eau. On peut y trouver des zèbres, des grands koudous et des autruches, la collection finale n’étant à mon avis pas encore établie.



la descente de la passerelle se fait sur une petite place où l’on trouve une volière abritant des tisserins, ces jolis oiseaux africains faisant des nids très complexes.


Sur la gauche, un joli marécage présente une famille de marabouts.

en revenant un peu sur nos pas, on peut avoir une nouvelle vision de l’enclos des zèbres et des autruches.

sur la gauche, un petit enclos entouré d’un bras d’eau héberge un groupe de mangoustes fauves.


si l’on continuait sur ce chemin, on retomberait devant l’ile des colobes. Il faut donc finir la boucle, repasser devant les marabouts pour déboucher dans le secteur de l’Afrique tropicale.
On se retrouve sur une ligne droite. A droite justement, un petit enclos verdoyant abrite des diks-diks de Kirk :



Dans le prolongement, une bien plus grande prairie, bordée d’arbres, présente l’une des plus grosses et des plus belles antilopes africaines, le bongo. 3 individus étaient visibles lors de ma visite :



en face de ces deux enclos, un grand parc tout en longueur, au sol couvert d’écorce et avec une partie boueuse, représente le milieu de vie d’une jolie famille de potamochères roux de rivière, animaux très actifs :




Enfin, pour boucler la zone africaine, ainsi que la visite du parc, il convient d’admirer l’une des espèces les plus emblématiques du Blijdorp, j’ai nommé l’okapi. En effet le zoo de Rotterdam présente une grande famille de ces majestueux cousins des girafes, dans deux enclos à peu près équivalents :


mais mon arrivée dans cet endroit était trop tardive : tous les okapis étaient déjà rentrés dans leur bâtiment. C’est assez étonnant de voir autant de ces animaux concentrés dans un seul bâtiment !





et c’est ainsi que se termine la visite du Blijdorp Rotterdam. La boucle nous fait retomber devant la serre asiatique, il s'agit alors de retraverser le passage sous la rocade pour regagner l'extension puis le parking.
Pour conclure, la visite du Blijdorp est vraiment impressionnante. Y passer une journée suffit à peine. Le parc dans son ensemble est vraiment magnifique.
Même si l'on peut relever encore quelques vieilles structures, comme les volières à langurs ou la fosse aux lions et hyènes.
Mais au final, ces rares déceptions sont noyées dans la réussite des biotopes nouvellement crées, comme la grande et superbe partie asiatique, la nouvelle extension présentant les Amériques ou encore le nouveau secteur africain, vraiment prometteur. De plus, on sent dans la visite une gestion vraiment dynamique du parc. Les petits félins étaient tous en instance de déménagement lors de mon passage, les manchots l'ont été quelques jours après...
Je pense que d'ici quelques années Rotterdam aura peut-être le plus beau zoo de ville européen, car toutes les nouveautés sont faites dans un souci d'esthétisme et de qualité sûrs.
finissons donc cette belle visite :
Le premier contact avec les ongulés africains est l’observation possible, derrière des grandes vitres, de la toute nouvelle maison des girafes du zoo.


la visite de cette zone se fait sur une longue passerelle, d’où on longe l’enclos principal : celui des girafes. Une reconstitution d’un baobab présente une exposition pédagogique sur cet arbre central dans l’écosystème de la savane africaine.

maison des girafes de dehors

les girafes sont l’espèce centrale de la zone. Elles bénéficient d’un parc de bonne taille observable depuis la passerelle.



Mais d’autres enclos abritent d’autres espèces, séparés de celui des girafes par un simple fossé d’eau. On peut y trouver des zèbres, des grands koudous et des autruches, la collection finale n’étant à mon avis pas encore établie.



la descente de la passerelle se fait sur une petite place où l’on trouve une volière abritant des tisserins, ces jolis oiseaux africains faisant des nids très complexes.


Sur la gauche, un joli marécage présente une famille de marabouts.

en revenant un peu sur nos pas, on peut avoir une nouvelle vision de l’enclos des zèbres et des autruches.

sur la gauche, un petit enclos entouré d’un bras d’eau héberge un groupe de mangoustes fauves.


si l’on continuait sur ce chemin, on retomberait devant l’ile des colobes. Il faut donc finir la boucle, repasser devant les marabouts pour déboucher dans le secteur de l’Afrique tropicale.
On se retrouve sur une ligne droite. A droite justement, un petit enclos verdoyant abrite des diks-diks de Kirk :



Dans le prolongement, une bien plus grande prairie, bordée d’arbres, présente l’une des plus grosses et des plus belles antilopes africaines, le bongo. 3 individus étaient visibles lors de ma visite :



en face de ces deux enclos, un grand parc tout en longueur, au sol couvert d’écorce et avec une partie boueuse, représente le milieu de vie d’une jolie famille de potamochères roux de rivière, animaux très actifs :




Enfin, pour boucler la zone africaine, ainsi que la visite du parc, il convient d’admirer l’une des espèces les plus emblématiques du Blijdorp, j’ai nommé l’okapi. En effet le zoo de Rotterdam présente une grande famille de ces majestueux cousins des girafes, dans deux enclos à peu près équivalents :


mais mon arrivée dans cet endroit était trop tardive : tous les okapis étaient déjà rentrés dans leur bâtiment. C’est assez étonnant de voir autant de ces animaux concentrés dans un seul bâtiment !





et c’est ainsi que se termine la visite du Blijdorp Rotterdam. La boucle nous fait retomber devant la serre asiatique, il s'agit alors de retraverser le passage sous la rocade pour regagner l'extension puis le parking.
Pour conclure, la visite du Blijdorp est vraiment impressionnante. Y passer une journée suffit à peine. Le parc dans son ensemble est vraiment magnifique.
Même si l'on peut relever encore quelques vieilles structures, comme les volières à langurs ou la fosse aux lions et hyènes.
Mais au final, ces rares déceptions sont noyées dans la réussite des biotopes nouvellement crées, comme la grande et superbe partie asiatique, la nouvelle extension présentant les Amériques ou encore le nouveau secteur africain, vraiment prometteur. De plus, on sent dans la visite une gestion vraiment dynamique du parc. Les petits félins étaient tous en instance de déménagement lors de mon passage, les manchots l'ont été quelques jours après...
Je pense que d'ici quelques années Rotterdam aura peut-être le plus beau zoo de ville européen, car toutes les nouveautés sont faites dans un souci d'esthétisme et de qualité sûrs.
Les animaux des zoos sont les ambassadeurs de leurs cousins sauvages. (Pierre Gay)
- raphaël
- Messages: 7204
- Enregistré le: Mercredi 10 Août 2005 15:24
- Localisation: gironde
Re: Nederlands ZooTour 2009. Etape 2 : Blijdorp Rotterdam
Merci, merci beaucoup pour ce compte rendus qui dura plus d'une semaine, le compte rendu du plus beau zoo d'Europe qu'est Rotterdam.
J'ai trouvé extrêmement bien faite les zones américaine, africaine ainsi que la grande volière.
Ce zoo ne donne pas une impression de zoo de ville: on ne voit jamais les immeubles
J'ai passé de très bons moments à lire petit à petit les articles,
Merci!
J'ai trouvé extrêmement bien faite les zones américaine, africaine ainsi que la grande volière.
Ce zoo ne donne pas une impression de zoo de ville: on ne voit jamais les immeubles
J'ai passé de très bons moments à lire petit à petit les articles,
Merci!
"Le droit de dire ce que nous pensons est le droit de tout homme libre, dont on ne saurait le priver sans exercer la tyrannie la plus odieuse." Voltaire
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pazero - Messages: 731
- Enregistré le: Mardi 09 Juin 2009 7:44
- Localisation: Paris 16e
Re: Nederlands ZooTour 2009. Etape 2 : Blijdorp Rotterdam
Merci beaucoup Raphaël pour cette "visite guidée" de l'un des plus beaux parcs européens. J'ai hâte d'y retourner!
- okapi
- Messages: 12061
- Enregistré le: Lundi 02 Juin 2008 19:02
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