Avant la fin de saison je voulais à tt prix retourner faire un tour à la VDS pour, au moins apercevoir, la petite dernière

). A force le temps passe, un créneau météo donc hop nous voila partis sur les routes .. Enfin devrais je dire les chemins

) Allez à la VDS est tj une aventure on à la sensation de se perdre dans une campagne sans fin qui inspire une gaitée toute relative sans compter que bien évidemment alors que le ciel était d’un bleu immaculé au départ il ne cessait de se couvrir. Et ça à pas loupé arrivé à la VDS plafond bas et gris avec de courtes éclaircies, maudis je suis jamais je n’aurais droit là bas a un franc soleil

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Donc pour ce post intéressons nous à la dure vie du lémuriens, plus spécialement le Vari roux. Après être venu prendre une légère collation au nourrissage de 12h il est grand temps d’envisager une petite sieste réparatrice. Un bonheur n’arrivant jamais seule le soleil donne en plein sur le petit chemin et le banc face au mandrile. Toute la troupe (cata, vari, …) est donc rassemblé là. C’est un parterre de lémuriens, il y en a partout. Doucement on s’approche on observe on s’accroupis et bientôt c’est l’encerclement

) Impossible dés lors d’éviter le contact 30 secondes accroupis et c’est 3 vari accroché au sac à dos photo et parfois un sur les genoux aussi. Ont doit s’informer mutuellement avant de bouger mon « angoisse » du moment c’est de marcher sur une patte ou d’en bousculer un. Et qu’il est difficile de ne pas céder à la tentation de caresser ces boules de poils qui se pressent autours de nous mais fièrement on y arrive et si besoin était un gentil rappel, du soigneur de surveillance, à une famille anglaise qui a un peu vite confondu avec une peluche est bien là pour nous le rappeler.
Donc au milieu de cette adorable pagaille le banc est une place de choix et un vari bulle grave dessus

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Clic clac le bruit répété du déclencheur le tire un instant de son repos, ou il retourne aussitôt.
Mr se redresse et prend ses aises
Avant de se recoucher de l’autre coté
Et de reprendre sa sieste
Bref que du bonheur, on a dû rester là presque une heure à regarder et mitrailler ces petits bonhommes. Il faut quasi s’allonger par terre pour être à leur hauteur (et par conséquent à leur portée

) ). Coté photo on démarre au télé vite trop long on passe au transtandard trop long lui aussi et on finit au grand angle ou on se fait piéger par la focale en se retrouvant collé à l’animal son nez dans le pare soleil

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