Premières visite de cette saison 2020 dans un contexte un peu particulier, le masque faisant de la buée sur les lunettes et le viseur !
Sanctuaire des okapisLors de mes deux visites, les cercopithèques et calaos n'étaient pas présentés dans la volière pour favoriser la reproduction des autres oiseaux.
La femelle okapi était facilement visible mais il faut dire que son enclos laisse peu de points de retrait à l'exception du bâtiment.




Okapi
Depuis la passerelle du sanctuaire, on voit finalement assez peu de choses car à l'exception de quelques oiseaux terrestres (pintades et canards), les oiseaux restent principalement dans les frondaisons. Finalement, ceux que l'on voit le plus, ce sont les nombreux moineaux qui nichent dans la hutte centrale.

Canard à bosse

Pintade de Pucheran

Ibis sacré

Moineau
La bonne nouvelle, c'est que le mirador permet d'observer tout ce petit monde.
A chaque fois que nous sommes allé à ce point de vue, nous avions le panorama de la volière pour nous tout seul : un régal en fin de journée avec la lumière plongeante même si je n'est toujours pas vu les touracos géants. Voir le vol des différentes espèces d'oiseaux au dessus de la canopée reste exceptionnel en parc zoologique.

Hagedash



Cigogne d'Abdim


Pigeon rameron

Pigeon de Guinée



Rollier à ventre bleu

Vautour palmiste africain immature, un petit nouveau dans la volière


Nidification chez les tantales

Photobomb !

Gris du Gabon



Vautour moine





Ombrette

Colombar à front nu

Bec-ouvert
Le sanctuaire des okapis laisse un arrière-goût décevant. Evidemment l'installation est incroyable et même pour les okapis dont les enclos ne sont pas gigantesques, je crois que l'immersion au sein de la forêt de bambous est un véritable atout. Mais par rapport à l'ouverture, la vie est devenue plus discrète dans le sanctuaire où pullulaient les touracos de toutes les couleurs. Les gros oiseaux viennent moins souvent devant la hutte, en partie parce que la canopée se referme avec les années. En l'absence des singes et calaos, l'arrivée d'espèces comme les rolliers, le palmiste et les gris du Gabon sont de vrais atouts mais restent peu visible si l'on ne grimpe pas en haut du belvédère. Pour le futur, on pourrait rêver d'un grand groupe de gris du Gabon qui casseraient les oreilles !
Canyon des léopards


Léopard de Java


Panda roux